Sò u guerrieru di l'ombra è l'onda amara ùn mi farà rompe u ghjuramentu. Quantu " Il " hè ghjuntu è mi culpisce da daretu la voie lactée s'enroula d'une écharpe dernière.
mi suscita ferita di gola recurrente l'appel par dessus la canopéeau grand vent des nuits pluvieusesaccroupicontre l'arbre-maître. Je porte à la bouchel'eau d'écorces fraîchesoreille tenduele sol des feuilles mortesbruissant des souvenirs éteints. S'exhalent les odeurs du maraisla lune rousse jouede ses pupilles aiguiséesla danse d'un écarté de ciel clairentre les draperies de la ramureet le fuligineux des nuages. Je porte l'insigne pouvoirsur le pavois des obligésde me perdre en fissiles parolessur l'orbe gelédes songes rouges sangs. 381