Crier : "Va la querre à l'aille" à "Champagne" , ce chien que nul n'avait éduqué à rabattre les vaches là où elles devaient brouter .
Il pleuvait .
Immobile , assis sur une pierre plate , enveloppé dans la pèlerine de caoutchouc , à chaque goutte de pluie frappant la capuche , répondaient de fines coulures d'eau . Je ressentais le mystère d'être " esse " ; ce que plus tard je nommerai " le cœur du temps qui passe " .
Dans l'abri sans toit , paré de grosses pierres gris bleues , j'étais le vent , qui par rafales , griffait mon visage .
J'entrouvrais et fermais les yeux ; pour découvrir le plein et le délié dans le mi-clos de mon corps .
Je léchais l'humide autour de mes lèvres .
Les mains à l'abri , j'étais tout ce qui m'entourait , sans que je ne le touche .
Je savais que Grand'père viendrait me chercher pour rentrer les vaches .
ultime petre ,farfalle di zitiddina ,i rami senza foglie di l'arburuùn alcerà più a polvera da a strada .La coccinelle sera libérée de la boîte aux ampoulesper l'erba a puntapiglià u volu ,e so ali neri sottu à a chitina rossa maculata nerafrustendu contr'à a mo guancia .À a fine di u bastone ,lever la bouse sècheè scopre i vermi è l'insettiin u so travagliu di descomposizionecun per rè ,le coléoptère noir .torna a petra ,hè di vede u recinte scurupressione da l'internu ,hè di scuntrà in solitudecù l'ochju di u core .ellu hè petre ,nantu à a pastura ,pusatu cù u tempu .Hè a mo libertàper metteli induve vogliu , piùjuste sur le passage des cavaliers. 203