Ella cammina in u ghjornulogorrea duttilepatte duveteusee pelle bollenteella ombreghja l'asfaltudi u so arcu di robba .Nemicu di e perfezioniu basgiu di i visitoriscurisce a cornice di a so portacaverna travolgenteoù trône le Dieuchì u so prufilu incita .Terminazione di una sustanza infrangibleella si arrampica meditendu a muntagna à e trè forcaaspettu esitante di i costumi di a menteella dà a sciabola di l'amatoriin i campi di l'Intoccabiliprestufuligginaombra di nunda .283
Ùn pò suppurtà per esse in vacanze da a Verità Pruvu davanti à una vita mia micca à prufanà lettori teneri e intelligenti criniere di u cantu di a bughjura .
I tuffo è rumming a magnificenza di a notte cattedrale .
Aghju accumpagnatu i fasgi di terra è sangue squirting fora di e trincee .
Filtru è lascio passà i pensieri pesanti di speranza .
I strappa da a morte ciò chì ùn hè natu è suscite in u ghjocu di e circustanze e grandi rosette di luce .
Ombre Cecità progressiva A pocu à pocu mi sbucava è sparse cù una miriade di frammenti l'enigma di i ghjorni à vene l'ultime splendore di un crepuscolo à a vigilia di una ultima visita .
mani stese Imploru u celu vastu è fertilizà a nostra terra ultimu impulsu per vultà in sè stessu eternu ritornu di u porcu fabuloso versu a fonte induve stà zittu .
A contrario du mystère du verbe Ci saria l'illuminazione di un sole spirituale Spread of impulsive data Splendore restituitu di u desideriu Senza a sentenza degradante .
U mio hè u compitu À u passaghju inespettatu di a bughjura Eclissi di una prima visione L'enigma intervene Senza negligenza fà a lege .
Fortezza di luce U vitralu scuru palesa u so reversu Martiriu davanti à a porta di l'anghjuli Bury i tesori di appartenenza A trascendenza di u puntu finali s'infla .
Cuscenza di esse ciliegia A soffre di tanta cuscenza Sorrisu da u core à a polpa Dà mi l'anima amore radiante Esce da sta caduta Calchì volta soffrenu In illusione di tante assenze Coagulated in u mirliton di afflictions In redenzione per una tristezza umiliata Allora campà per sempre Sughera, nascita di pelli profumate sudatu Tracce di lava petrificata In u sole chì versa a notte À u core di a bellezza Incuntrà l'orsu di campagna d'erba molle Puis disparaîtreA parte di u sonu propagatu in epilogu À traversu u filtru di u silenziu . 280
Ne pas s'attacher en vibration danser le feu les bras ouverts le silence pour transmission chaque battement de cœur échangé à découvrir la science et le beau en fermant les yeux ces images qui nous assaillent sans comprendre absolument frappé en intériorité fasciné engoncé la pensée libérée par étapes sentir la présence écarter le faux sans abstraction sans peur sans question avec vigueur au gré des circonstances se consacrer à l'étude se nourrir de pain et d'eau la joie ouverte en intégralité supprimer les barrières par ondes développées sans fragmentation d'avec la courbure le sens du bien confié à tous en conversation avec l'un de quête et de signe avec l'autre nous faire décoller en l'œuvre par l'émerveillement prononcer la parole en intimité accueillir l'évidence tel éclat de rire lascià ne pas faire l'intéressant être le pauvre en don de soi être le moi et toi être le souffle être la plume entrant par la fenêtre .
Larmesviolon de l'âmeattente du savoir .Alarmecontre celle qui mentce peu de semence .En armesversé dans ce sièclestupide diktat .Larmesen regard caméral'arbre tremble .Alarmede vengeance pointjuste l'éloignement .En armesfondamentalement froidesdéposées sur le seuil .Larmespar manque de chaleurune gelée sur le sol .Alarmesans que derrière la collinemontent les officiants .En armespasse le train de la mineque les vélos suivent .Larmesdevant le mausoléefleurent les années surannées .Alarmesans lumière ni musiqueclaquent les oriflammes .En armesl'épilogue gloussése change en mystère .Larmesd'une naissance sans ridestourne la Grand-Roue.Alarmerentrer au pays des mortsherbes vertes dans la main ouverte .En armesl'Oeil tranche l'ombilicd'un regard virginal.Larmesdéjà grossed'un abaissement des paupières .Alarmefuligineuses herbes enflamméesla mort bulles d'argent .En armesle rêve d'un enterrementsans clair de lune .Larmesde gravats répandussous nos pas de plomb .Alarmetôt entréeavec casquette siglée .En armesceint d'une large ceinturedévaler la pente .Larmesau soleil paradisles mots se toisent .Alarmesans repentanceau creux des terres blanches .En armesau bord du troupelleter cette manne .276
Jacasserie des mots en impertinence au fruit mûr de la mutation la parenthèse moderne se ferme puis s'ouvre le pas nommé.
D'isthmes en lagunes la mer creuse les reins de l'onirique sapience d'une rationalité tombée en déshérence .
De Dieu parler par évitement brutaliser ce qui requiert sens et passions reflétant les bavardages faire l'éloge de la raison sensible .
De la paille pour les vilains sans écrit sans parole l'exemplarité en perspective la mule passe le gué.
L'imaginaire et le sacré prennent des voies détournées en perversion les pulsions pullulent capillarisent le corps social.
Suivre le chemin descendant au sacramentel des rencontres sportives aux zéniths enchantés le matérialisme transcendé.
S'organisent les faits de reliance en l'odyssée de l'empathie sans quantification ces formes meilleures .
Ritualisées par le bénévolat en générosité les émotions collectives déclenchent des allures liturgiques .
Musique piano aux piverts enchanteurs le visible gros de l'invisible rappelle par digression le son grave du discernement .
Croissance harmonieuse des monastères le grand silence paradoxal au bruité des racines saillantes renouvelle les eaux de la jouvence.
En désaccord ces deux sociétés l'officielle redondante et l'officieuse passe-muraille en décalage d'intuitions inopinées.
Se purger des paroles illusoires s'asseoir pour trouvant ses mots le verbe à porter de main pallier l'incantation banalisée.
Mots et choses mise en pertinence le Vrai matrice fécondante du paradigme manifesté secouant de poésie et de mystique mêlées l'entièreté de l'Être .
Le muet du Mystère à découvert communion des silences ailes déployées dans l'azur compatible cette aspiration à être heureux en errance tendre juste l'instant de notre vie .