Anın aniliyi

Un peu plus qu’un trou noir
Aspirant une étoile
Avons perçu
La petite cellule des égarés
Comme barque sans lien
Cherchant parabole
À se dire
Au couchant
Que la coquille du mental ergoteur
Se brisera
Sur la tranquille inflexibilité
D’un cœur appartenant aux nuages.

Toileux frimas des orifices
Que de gloses faut-il
Pour aborder
Pas de deux oblige
Les simagrées d’un poème qui n’en est pas un
Alors que dehors
Il ne faut tarder
À nourrir
Bouches petites
Comme des chas d’aiguille
Éternellement sur le qui-vive
Anın aniliyi.

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