Clapotis éternels

De cette coupe belle   
Où rassembler nuits éternelles   
Coule ma peine   
Entre les ridelles   
Du char des martyrs   
Suspendu    
Par la faim et la soif   
Aux poutres de la grange   
Et la majesté douce   
Du tissage des saisons   
À la prompte allégeance   
Au monde ancien et jamais advenu.      
 
Parons au plus pressé   
Soyons de mèche   
Avec l'allongement du noir   
Pour recouvrir de plâtre grossier   
Les murs de nos cellules   
Et glisser dans les anfractuosités   
Les lampes à facettes   
Qui permettront aux moines copistes   
De grapher de quelques silhouettes grotesques   
Les cupules secrètes   
Pleines d'un chagrin éternel   
Hasta luego, compadre !       
 
1297

Bir cavab buraxın

Elektron poçtunuz yayımlanmayacaq. Zəruri sahələr qeyd olunur *

Bu sayt spamları azaltmaq üçün Akismetdən istifadə edir. Şərh məlumatlarınızın necə işləndiyini öyrənin.