makadawat sa kinabuhisama sa usa ka regaloisip regalo.Pagpuyo sa tanan nga mga edad sa paglungtadpagkabataang mga batan-onpagkahamtongpagkatigulang.Pag-uswag sama sa maayong binobata pa kaayo ang bino kay acidicAng pagkahamtong mao ang buhat sa panahon.Ayaw kalibog sa stigma sa lawasmga timailhan sa paglabay sa panahonang mapait nga kunot mao lamang ang halok sa pagpadayon sa pagkatawoPagpuyo sa kinabuhi ug sa salabutan.Kada adlaw maghimog mga diskobreintellectual affective sentimentalAdlaw-adlaw naa sa bag-oVivre.Ayaw tan-awa ang plato sa silinganayawg selosmagpabilin sa kaugalingonsa bintana sa katingala.
Motubo og balik.Ang pagkatigulang dili pagkatigulangang pagkatigulang mao ang pag-adto sa kinabuhiang pagkatigulang mao ang pagkawala sa lami sa kinabuhi.
Mangin intelektwal nga pagkamausisaontan-awa ang pagkaanaa sama sa usa ka bata nga dili usa ka mahangturong batatan-awa ang pagkaanaa gikan sa panglantaw sa kabatan-onan nga dili mahimong usa ka mahangturong tin-edyer.Kanunay nga magpadayon.Kon mas taas ang atong kinabuhi, mas daghan ang atong mabuhat niini nga gilay-onnga nagtugot kanimo nga naa didtosamtang naa na sa laing dapit.Sa usa ka lamoy kuhaa ang abog sa mga butangsa dili pa mapalong ang lamparamao nga ang mga baybayon naabotaron matunawang luna sa usa ka pahiyomuban sa huros sa hanginsa kahayag sa umaabot nga adlaw .162
Les mains hautes vers le ciel à toucher les étoiles et puis se rendre compte qu'elles éclairent ces mains flamme hypnotique de la bougie qu'on ne veut voir s'éteindre un soir de vent des mains de cire d'abeilles à épeler ton nom sur les nuages se glisser hors du couloir de la mort éviter les broutilles échangées à la porte du paradis ne rien faire plus pour tête nue en humilité recevoir cette main tendue dans le silence de la poésie le son clair du clavier de toutes les musiques vers lequel se mettre en marche lente déflagration des phrases sur l'invisible de la rencontre à rendre visible le joli bleu d'un ciel que lissent des doigts de fée .
Espace purdans lequel fleurissent et se perdent les fleursLe sens aigu de la citrouille se découvre calècheL'ange me convie à ne plus toucher terrede ses ailes diaphanesUn souffleUne caresseUn vertige tranquille empli d'exquises senteursLes cigales stridulentTout concourt à la redistribution du livre d'heuresDu point pierre éclate l'envol soyeux de l'âmeOiseau de passage et si présentÉloquence élégiaquesans défensekadaghanancomme un feuEt si persuasifQue ces choses vides et indifférentesen familiarité tendreMe somment d'être en dehors de moiPour d'une mort écloseDonner sens et amourEn retour de mission.
L'imagination activel'imagination créatrice qui crée dans et par l'actionl'imaginant se laissant porter par ce qui estil est l' " pagka " au vif du déroulement des chosesil i-maginedes lignes Maginoten leur béton figéespour défibrillation mesuréese mettre à la portée des ondesqui vont et viennent et s'espacentcréant le vide intra-cellulairedu tissage des associations logiques .Il y a mise en portée singulièrechaque fois qu'un visageéclaire le haut du mur de schistes sombresvisage aux yeux lumineuxet à la barbe blancheque la voix douce fait vibrer .Skala sa Kinabuhiarrachée au reptile premierque le vent écarte de la sente aux bogues piquantes .Corne de brume entenduelorsque de la valléemonte le souffle de la bête .Gitaktak nga indentationNumero ni Avogadrodont la veste ouverte laisse voirle cœur suint de myrrhe .Élan au vol si lentmga anghel sa itaaschestnut ug holm oakcandélabres de ma maison .Pensée verticalegikan sa impulsive wavedes effluves empreintesde la rugosité des échanges glabres .Retour monosyllabiquedes ahanements de l'animalau sortir du boisorée des commencements .imong kaugalingon raen qui l'autre sans ankyloseôte l'enflure de la traditionsous le voile de l'acceptation .Sagacité au risque d'êtrejuste un retournementà l'aube du jour nouveau .159
L’intention. Vouloir que des choses
changent dans mon comportement, que des souffrances s’apaisent .
La relation, la qualité de la relation,
être en face l’un de l’autre, là où l’individu devient une personne. La qualité
de personne est toujours interpersonnelle ; il ne peut y avoir de
“mao ang” sans un “tu”.
“Je ne
deviens vraiment une personne que lorsque je vous regarde dans les yeux et que
je vous permets de regarder dans les miens .”
Etablir le
lien, un lien par lequel l’on se sent accueilli et accepté dans son
être, un lien ressenti au profond de soi-même, bien au-delà de ce que nous
pouvons dire et exprimer, un lien qui fait que l’on se sente naturellement chez
soi, et qu’un échange essentiel va avoir lieu .
Le
langage.Être accueilli avec son langage propre. Mon langage c’est moi.
C’est ce qui me fait être dans le monde, me protège et me définit. C’est une
partie essentielle de mon identité. Mon langage, ce sont mes mots mais aussi ce
que mon corps physique donne à voir par des mouvements et des micro – signes .
Soigner c’est
êtreécouté, c’est rencontrer un professionnel qui soit dans un état présent
et non crispé devigilance, dont l’attitude de bienveillance active peut m’émouvoir et me
donner envie de me confier. J’attends que l’autre soit calmement centré en
lui-même et que son acceptation inconditionnelle à ce qui est soit pleine et
entière .
C’est être entendu
etaccueilli sans jugement.
C’estsa pagbatipar mon corps, ma psyché,
mon âme et mes affects ce qui se passe en moi à propos de ce qui se passe là,
si différent par le cadre de la rencontre et pourtant si proche de moi
parla confiancequi s’instaure .
C’estnommeravec concision et le plus
clairement possible ce que je ressens .
Pour le
praticien :
C’est repérer par
une écoute la plus large possible tous les éléments du processus de la
rencontre, dans un continuum de conscience, dans le contact en train de se
déplierlà entre nous, dans le contact qui s’instaure ici et
maintenant mais qui néanmoins éclaire le passé et l’avenir .
C’est créer un
climat de légèreté et de liberté pour l’autre, qui permette aussi le repérage
d’éléments d’analyse .
C’estcréer un cadretout autant concret que
symbolique et imaginaire, clair et sécurisant, mais qui ne doit pas être un mur
mitoyen afin de permettre d’accéder au cadre réel .
C’est lancer des
pistes, des hypothèses, des jalons, dont l’autre pourra se saisir s’ils sont à
sa portée, sans être redondants avec ce qu’il est, ni trop éloignés de ses
capacités émotionnelles et de compréhension du moment. C’ests’ajuster créativementet avec pertinence à la
situation .
C’est aimer tout
l’avoir de cet être-là devant soi dans ce qu’il donne .
C’estaimer l’être de cet être-là, sa richesse accumulée dans
son histoire de vie, ses potentialités et ce qu’il est dans le déploiement de
lui-même, dans son dépliement vers sa croissance d’être, dans son ouverture au
monde .
C’est
maintenirla bonne distanceentre lui et moi afin de mettre à jour et de
faire travailler les perturbations de la relation entre lui et son
environnement, avec un maximum de clarté dans le ressenti et de lisibilité
dans l’expression sans contraindre l’autre a être autrement que ce qu’il
est ou/et donne à voir à son entourage .
C’est dégager tous
les éléments deconfluence, saprojection, d’introjection, sarétroflexionet d’égotismedans ce qui se joue à propos de notre rencontre. C’est être
le mécano plein de doigté qui démonte et remonte tout en sensibilité les
petites pièces de la mécanique humaine qui reste bien vivante durant la
transaction existentielle qui nous relie, nous conjugue, nous décline et nous
grandit .
C’est considérer
l’autre comme un être humain en croissance, comme un pélerin sur un chemin
initiatique, engagé sur un chemin de conscience ininterrompu. Etre un homme,
c’est être un voyageur, toujours en mouvement .
C’estpartir du commencement, de là où l’autre en est, avec
son histoire de vie, avec ses émotions qui nourrissent l’émergence de ce qui
éclot comme à son insu dans le creuset de notre contact. La qualité d’être une
“personne” et non un individu implique une quête de sa véritable
identité à des fins d’individuation effective constante vers ce qu’on est
vraiment .
C’est tenir le cap
et être legarant du cadre, afin d’inscrire ce qui se passe, nga mahimong, dans
l’espace-temps de la rencontre présente et dans la succession de nos rendez-nous
.
C’estexpérimenteravec pertinence, des situationsqui adviennent au rythme
de celui qui vient en confiance se faire soigner et sous la guidance de celui
qui est en responsabilité de le soigner. Alors vont pouvoir émerger ces
éléments de la mécanique psychologique à l’oeuvre dans notre psyché, non en
assénant à l’autre des diagnostics péremptoires et des baumes réparateurs mais
en le dirigeant vers des voies où lui-même pourra être en mesure de donner sens
à ce qui se passe .
N’utiliser
sesconnaissances théoriquesqu’avec circonspection.
La théorie et la technique ne peuvent embrasser l’ensemble de la psyché, le
traitement psychique étant une ” relation totale ” qui engage le
praticien autant que le patient bien au-delà de la théorie et de la technique .
C’estêtre patient sans être
attentiste .
C’estêtre stimulantsans précéder l’autre sur
son chemin de vie .
C’estêtre justedans ses interventions
dans le sens de“hustisya”afin de ne pas leurrer l’autre et lui donner
envie d’aller plus loin encore dans la connaissance de soi .
C’estêtre en
justesse d’ajustement créateur uban sa unsay naa, juste
là, dans l’ici et maintenant et après ducontact .
C’est vivre en
simplicité, en humilité et en éveil la séance de psychologie où le travail se
fait aussi au-delà de nos capacités cognitives à clarifier les situations, bien
au-delà de ce qui se dit là, et où le changement qui se produit là est autant
affaire de compétences, que de la vitalité et descapacités d’auto-guérisonalors stimulées que la
personne possédait en son fond .
C’est préférer la
valeur incertaine et sensible de l’activité humaine expérimentant ce qui arrive
là, à la tranquillité rassurante pleine d’a priori, d’inférences et de fausses
certitudes de celui qui sait comment s’y prendre pour soigner, de celui qui calme
– même si cela est parfois nécessaire – , à défaut d’inscrire la personne dans
une démarche deresponsabilité et de consciencepour construire elle-même
son bonheur .
Poétiquement votre
c’est savoir que dans les brumes du matin tout autant que dans le crépuscule du
soir, il y a tout autour de nous tout ce qui n’est pas nous, que vivent ou ont
vécu de multiples personnes et que le monde est plein de possibilités de
rencontre et de dialogue .
S’ouvrir
dans le respect de soi à ce qui est autrene peut être que relation
qui soigne .
C’est êtrel’aventurier de son devenir, sakatingalaet au regard de ses
comportements, en marche vers un mieux-être sur sa ligne de vie. C’est
êtrelibre, ce qui n’est pas chose facile car comme le dit Kirkegaard :
” La chose la plus terrible qui ait été octroyée aux hommes est le choix,
kagawasan . “
Il y atrois modes initiatiquesde la rencontre
permettant l’amour .
Le meilleur
estun vide soudain de l’âmedans lequel les images disparaissent,
les idées et les paroles se taisent, la liberté et la clarté s’ouvrent
subitement en nous de telle sorte que tout notre être est saisi. Tout devient
prodigieux, profond, évident dans ce qu’il y a de distant et d’infiniment
incompréhensible. Ce contact est pur souffle d’intelligence .
Une voie
plus ordinaire traverse le désertdans lequel, bien que
nous ne puissions rien voir, rien comprendre, rien sentir, sinon une sorte de
souffrance et d’angoisse, nous sommes attirés et demeurons dans cette obscurité
et cette aridité parce que c’est là seulement que nous trouvons un peu de stabilité
et de paix. A mesure que nous progressons, nous apprenons à nous reposer dans
cette aride quiétude, et l’assurance apaisante d’une présence réconfortante et
puissante au coeur de cette expérience s’accroit de plus en plus. Se révèle
dans une lumière qui est pénible pour notre nature et toutes ses facultés en
marche d’être, l’attrait difficilement soutenable à devenir bien plus que ce
que nous semblons être. Nous sommes alors dépassé infiniment et la pureté de
cet attrait entre en conflit avec notre égoïsme, notre aveuglement et notre
imperfection .
Et puis il y a la voie de la tranquillitéremplie de saveur, de
repos et de douceur dans laquelle, sans qu’il n’y est rien qui satisfasse
particulièrement les sens, l’imagination et l’intelligence, la volonté se
repose dans une profonde, lumineuse et absorbante expérience d’amour .
C’est alors que se
dresse devant soi la Personne, ce suporta, cette âme-sœur, ce miroir, cette
altérité, cette extraction hors de sa propre image, cette exigence à la
ressemblance, ce par quoi j’existe dans la rencontre, ce par quoi je peux me
noyer et ce par quoi je peux aussi être révélé. Faites vos jeux, faites votre
“mao ang”, nécessairement dans la relation à l’autre, en essayant
toutefois de ne pas trop vous attacher à l’autre .
La
solitude physique, le silence extérieur et le recueillement véritable sont
indispensables à ceux qui veulent mener une vie en conscience. mais comme
beaucoup de choses en ce monde ce ne sont que des moyens en vue d’atteindre une
fin, et si nous ne visualisons pas la fin nous ferons un mauvais usage des
moyens .
Ce n’est pas pour fuir les hommes, que nous nous
retirons dans le désert mais pour mieux voir le monde dans lequel nous sommes
et chercher le moyen d’être plus utile. Certains qui n’ont jamais connu la
véritable solitude pourront affirmer sans hésiter que la solitude du coeur est
la seule qui compte et que l’autre, la solitude extérieure, dili igsapayan. Or ces
deux solitudes ne sont pas incompatibles. L’une peut conduire à l’autre .
La solitude la plus réelle n’est pas extérieure à
nous, ce n’est pas l’absence de bruit ou l’absence d’être autour de nous ;
c’est un abîme qui s’ouvre au fond de notre âme, un besoin de nourriture qui
jamais ne peut être rassasié. Une seule voie conduit à la solitude, celle de la
faim, de la soif, de la douleur, de la vulnérabilité et du désir, et l’homme
qui a trouvé la solitude se retrouve vide, comme s’il était vidé par la mort.
Il a dépassé les horizons, il ne lui reste plus de chemin à prendre. Il se
trouve dans un pays où le centre est partout et la circonférence nulle part. Il
ne voyage plus car c’est en demeurant immobile qu’on découvre ce pays .
Et c’est là, niining kamingaw, que commencent
les activités les plus fécondes. C’est là qu’on apprend à travailler dans le
relâchement, à accroître sa vision, à voir dans les ténèbres et à trouver,
au-delà du désir, une porte qui s’ouvre sur l’infini .
Matériellement, des conditions sont nécessaires.
Il faut avoir un endroit, dans la nature ou dans un local avec une pièce où
personne ne pourra nous trouver, nous déranger ou simplement nous remarquer. Il
faut pouvoir nous détacher du monde pour être vraiment de ce monde. Nous devons
nous libérer en dénouant les liens tendus et ténus qui nous attachent par la
vue, l’ouïe, l’odorat, les ressentis, la pensée à la présence des hommes. Et
quand un tel endroit est trouvé, soyons satisfait mais ne nous troublons pas si
nous sommes obligés de le quitter pour une bonne raison. Aimons cet endroit,
retournons-y dès que possible et n’en changeons pas pour la moindre peccadille.
Et dans cet endroit, respirons tranquillement, naturellement, sans
précipitation, afin que notre esprit puisse se reposer, oublier ses soucis,
plonger dans le silence et le secret de toutes choses .
Certains hommes évoquant la solitude intérieure pensent qu’il est possible de vivre au milieu du monde et de sa confusion. Ils admettent que la solitude extérieure est bonne en théorie, mais affirment qu’il vaut mieux sauvegarder la solitude intérieure tout en vivant avec les autres. De fait leur vie est dévorée par des activités et étranglée par des attachements de toutes sortes. Ils craignent la solitude intérieure et font tout ce qu’ils peuvent pour y échapper. Et ce qui est le plus grave, est qu’ils essayent d’entraîner les autres dans des activités aussi vaines et dévorantes que les leurs. Ce sont de grands serviteurs de “la cause”, de grands créateurs de travaux plus ou moins utiles. Ils impriment des programmes, écrivent des lettres, et téléphonent pendant des heures. Ils sont ravis d’organiser des réunions, des banquets, des conférences, des cours et des manifestations. Ils animent et se dépensent sans compter. Ils pourront même réunir un grand nombre de personnes autour du thème de la solitude avec tant de sollicitude que le tumulte, les interpellations et les applaudissements ne pourront qu’écarter l’esprit de solitude de sa justesse indicible .
Adunay mga tradisyon sa tawo nga lagmit mohunong ug
usbon. Sila ang nag-attach sa ilang kaugalingon sa mga butang ug mga kantidad nga ang
panahon nga walay kaluoy gilaglag. Nalambigit sila sa contingent nga mga butang ug
materyal nga – kostumbre, mga mode, mga estilo, mga kinaiya – nga dili malikayan nga mausab uban
panahon ug gipulihan sa uban .
Siya usab
mga tradisyon nga sama sa gininhawa sa usa ka lawas, nga nagbag-o sa kinabuhi
pagpugong sa stagnation. Kalmado ug malinawon sila nga mga pag-alsa batok sa
patay .
Kini nga mga tradisyon
para magpabiling buhi kinahanglang rebolusyonaryo. Anaa sila kanunay
tungod kay ilang gisalikway ang mga lagda ug mithi nga gihunahuna sa tawo
nagtapot sa kaugalingon uban ang kadasig .
Sa mga kinsa
gugma sa kwarta, kalipay, ang mga pasidungog, ang gahum, kining buhi nga tradisyon
nagsulti kanato sa pagtan-aw sa pikas bahin sa mga butang, sa pagpangita sa tinuod nga kahulogan sa atong
kinabuhi, kalinaw sa hunahuna .
Les révolutions lorsqu’elles ne sont que politiques transforment les choses en apparence. Elles s’effectuent dans la violence. ang gahum nagbag-o sa mga kamot, mais quand la fumée se dissipe et qu’on a enterré les morts, ang kahimtang mao ang sama sa kaniadto. Une minorité d’hommes forts arrivent au pouvoir et font disparaître les opposants, alang sa personal nga katuyoan. Kahakog, kabangis, pagpatuyang, akong ambisyon, Ang kahakog ug pagkasalingkapaw sama sa una .
Ang alyansa sa a
buhi nga tradisyon ug usa ka humanist nga rebolusyon mahimong magtakda sa dalan alang sa a
existential unfolding matinahuron sa huyang ug nagbalhinbalhin nga mga balanse
gikinahanglan sa matag grupo sa tawo. Kini nga alyansa dili masirad-an
miuyon sa karaang mga prinsipyo, ni bukas sa mga modernista nga tanan-nag-abot. Siya
kinahanglan nga gusto nimo nga motubo, kinahanglan nga gutomon ang espiritu sa grupo
ang pagtabok sa ibabaw sa mga pulong kinahanglang molapas pa sa gipahayag sa mga pulong.
mga misteryo, kay diha sa pagpaubos sa kahilum, intelektwal nga kamingaw ug a
usa ka piho nga kahiladman nga kakabus nga makombinar sa tinguha – makina sa atong tawo
kahimtang sa tawo-hayop -, ang momentum sa usa ka talagsaon nga intuwisyon, padulong sa usa ka kamatuoran
talagsaon nga atong naangkon sa kahiladman sa atong kaugalingon ug nga atong nahibaloan
usahay, nagsandurot nga panahon .
Niini nga yugto sa pagsabot niining kahimtang sa tawo sa paglihok, tali sa tradisyon ug rebolusyon, pagtunga gikan sa kahiladman sa psyche ug sa kalag, mga kinaiya sa katin-aw ug intuition, nakasugat sa existential nga kasinatian sa gikinahanglan nga komunikasyon nga relasyon niini nga proseso sa panukiduki nga nalangkit sa mga tawo nga adunay maayong kabubut-on, sa tanan nga mga tawo sa paghimo nga mahimong .
Siya nagdala sa tingub
mga binuhat nga walay kaparehas sa usag usa, mga binuhat nga anaa sa
ang imposibilidad sa pagkalagiw gikan sa ilang kaugalingon o gikan sa uban.
Napugos sa pagpabilin
kauban, ang mga lalaki ug babaye sa pagdumot masunog sa lugar samtang naningkamot
sa pagsalikway sa usag usa. Ang labing gikasilagan nila kay gamay ra ang ilang gikasilagan
makita sa uban nga ang pagdumot nga ilang gibati sa uban alang niana
unsa ang ilang makita diha kanila. Mao kini ang ibalik sa uban ngadto kanila sa ilang kaugalingon
imahe ug ang ilang mga lihok ug mga lihok nga naghimo kanila nga naglunang sa pagdumot. Sila
ilha sa ilang mga igsoong lalaki ug babaye ang ilang gidumtan diha kanila.
pagkahakog, pangabugho, pagkawalay mahimo, kalisang, ang pagkawalay paglaum, pagdumot,
dili maayo .
Dili kini ang
daotan nga usa ka negatibo nga entidad, apan hinoon ang pagkawala sa usa ka kahingpitan nga
dapat nga. Ang daotan makalaay tungod kay kini ang pagkawala sa usa ka butang nga
makapainteres kanato sa lawas ug kalag, ug nakasabot siya .
Unsa may atong mahimo
mohaylo sa daotang mga buhat, dili kini daotan, apan ang maayo nga anaa
pangitaa, usa ka maayo nga makita ubos sa usa ka bakak nga aspeto, sa usa ka hiwi nga panglantaw. Usa ka maayo
nga kita makakita sama sa usa ka salamin sa larks, kinsa naghimo kanato sa pag-abot,
apan kinsa ang usa lamang ka paon sa usa ka lit-ag. Ug sa diha nga ang lit-ag mosira, wala nay nahabilin
kay sa kalagot, kalaay o kasilag .
Ang mga tawo sa pagdumot nagpuyo sa usa ka kalibutan nga puno sa mga pagbudhi, mga ilusyon, mga manipulasyon, sa mga bakak ug kalaay. Ug sa diha nga sila naningkamot sa paglumos niini nga kalaay uban sa kasaba, kagubot ug kapintasan, mas makalaay sila. Sila mga hampak alang sa kalibutan ug katilingban .
L’intégrité
c’est être soi-même. C’est ne pas se croire obligé de devenir quelqu’un d’autre
.
C’est ne pas user
son esprit et son corps dans la folle entreprise consistant à vivre les
expériences d’un autre, à écrire les poèmes ou à vivre la spiritualité de
l’autre. Trop souvent les hommes se hâtent de se donner de l’importance en
imitant ce qui a du succès, parce qu’ils sont trop paresseux pour imaginer
mieux. Ils veulent un succès rapide et sont si pressés qu’ils ne prennent pas
le temps d’être eux-mêmes .
L’intégrité
coexiste avec l’humilité. Pour l’homme véritablement humble, les manières
d’être, les coutumes et les habitudes des hommes ne sont pas des matières à
conflit. L’humilité ne consiste pas à essayer d’être autre, comme si nous
savions mieux que quiconque ce que nous sommes et ce que nous devrions être .
Comment
pourrons-nous être nous-mêmes si nous menons la vie d’un autre ? Ug gikinahanglan
kaisog nga ikaw ra, subay sa atong kapalaran. Usab
ang kabalaka nga mahimo natong masinati sa pagmentinar sa atong balanse, sa tinuod lang,
sa lisud nga mga sitwasyon, sa pagpadayon sa imong kaugalingon nga walay kabangis, walay
ipahamtang ang atong mga bakak nga personalidad sa mga bakak nga personalidad sa uban, mahimo
tudloi kami nga mahimong mapainubsanon kaayo .
Usa sa
Ang mga kinaiya sa mapaubsanon nga tawo mao nga ang uban wala mahibal-an kung unsa ang hunahunaon
gikan kaniya . Naghunahuna sila kung buang ba siya o garboso lang .
Ang pagkamapainubsanon adunay kamingaw isip usa ka sister, nga sa walay katapusan nga mga luna diin ang tanan mahitabo, bisan ang paglangan sa mga butang nga gisulti ug diin ang tanan nakaamot, en l’aller-venu des conditions de l’esprit, au gré du vent des instincts , des passions et des émerveillements en ruine de sa propre image.
L’intégrité à pour
soeur Athéna, l’orgueil d’être homme/femme debout, de tenir la barre, d’être
verticale, prête à faire face aux adversités, à la commisération-réflexe, au
doute et à l’enflure de soi .