En descendant l'escaliertraces blanches sur la vitrenuitamment posées en adresse. Exclue de l'infinià contre-espacede vaines formes de rencontreme fontfroideur extrêmeles petits cailloux de l'humilitérangés dans la boîte aux secrets. Abandonnéeen bord de routesa ting-ulan nga panahon les cheveux éparsme font plumes d'angeau travers du portiquede l'attente sans fin. Rassembler mes oripeauxvêture divinepour cacher ces blessuresje suis rabrouéerefoulée, pixeliséehors de l'eau transparentemon unique miroir. J'avais pourtant bien faitde belles noces étaient promisesmon père ramasserait les champignonsma mère irait faire le tour de l'églisemes sœurs de guêpières vêtuesseraient le charme et la guérisonsur notre char carnavalesque. Puis tomba le verdictéclatées contre la vitreles cinq plumes de l'ange en refletmarquant l'absorption par le néantne restaient que le fond des casserolesà récurer pour le mets attendud'une l'enfance retrouvée. ( litrato ni Caroline Nivelon )327
Pagtan-aw sa panan-aw tawag sa mga gikan sa dagat ipataas ang kapital sa atong namatay nga kahibalo, sa nagbuak sa samin muhatag ug balik sa ilang dapit daan nga musika, tugnaw nga chords anino ug kahayag, gikan sa kadlawon hangtod sa kilumkilom, nagtiniil sa basa nga balas, ang akong kalag sa dili madugay moabut, wala na, bulawan nga arabesque, Akong gitunol ang akong kamot sa hangin sa mga pagdahom, akong gamay nga tawo, matam-is nga balili nga bulak sa pagkabata.
Escarde lâche fichée en la serrure au vestibule des attentes balayer les pensées sans permissivité. De longs filaments descendant de la ramure pendent ultime verbiage les falbalas de l'outrance en régurgitation des moments de l'enfance.
Sabir époumoné contre la paroi des châteaux de Thérèse les cris et bosses sont rassemblés au grand bûcher des vaines suppliques.
De mille manières l'habit cérémonial enfle devant la tempête bulles si tôt éclatées pour une protection désuète.
De givre point juste le roman des choses secrètes par devant les yeux brûlés au papier d'Arménie où ceindre de lumière la nudité tard venue cet effort à partager le nécessaire ce moment de doute en creux de déshérence ce voyage incarné de l'écriture dernière.
Vaguelettes proprettesmenuet sur le tapis des songesl'organiste plombe ses noteslevée de poussièreaccumulation dentellièreeffraction par le milieudu céans de ces lieuxoffre cliquetanted'un moment de douteassis sur le banc de pierreen retrait du bras de mer. J'hésite et je prieque d'hybride manièrenous conjuguionsl'emploi des motsavec le temps qui passeéraflure tendreofferte en dérisionà l'expérience bouleversantepuno ug luag entre chair et mousse. 325
Les ombres c'est nous les parents aux extrêmes les enfants au milieu.
Et puis des taupinières un ciel bleu blanc usa ka gituy-od nga kamot l'index vif c'est par là qu'on va walay landong sa pagduhaduha si ce n'est nous les faiseurs d'images aux marges d'un je ne sais quoi. Des lignes sages des couleurs atténuées une vigueur de gauche à droite un alléluia aux branches dénudées d'une tendre journée .
Par gradations mesurées se joignent la beauté et le zèle de ce qui croît en lisière de vérité de ce qui est là en l'instant méridien.
Kuhaa ang mga baril gikan sa lasang paghawan sa luna sa kahayag kay nilapas na sa limit biyai ang kahoy papason atong mga memories. Advance sa kilumkilom duol sa usa ka gabii sa kaisug naanad pagpangapkap alang sa nave sa mga pag-ampo pagsaka sa kahingpitan. Napuno sa mga handumanan sa sunbeam sa maabtik nga buntag isipa ang mga tipik sa abog nagtuyok-tuyok sa tunga nga bukas nga mga shutter.
Gambade piano didgeridoo honey melody engkwentro sayaw sa nangaging panahon leprechaun ug trolls nagsagol sa mga baho sa dagat pagtuyok sa hangin ibabaw sa kapunawpunawan mipakpak ang ulan hayop scrabble kulbahinam sa gabii napakyas nga mga order kasagaran ang rebelyon mga butang nga dugay kaayo nga gisulod kaylap nga pag-uswag tali sa gorse ug silhig abli ang mga bungbong pagtuyok sa hangin paghaw-as sa luna pagtuyok sa hangin paggukod sa binhi nga mga bula pagtuyok sa hangin sa iyang harianong momentum pagtuyok sa hangin terminal rustle pagtuyok sa hangin sa wala pa ang dakong kahilom.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Sukad, silence, commémoration en temps de crise petite ébréchure sur la tasse l'ampoule électrique clignote nous sommes en fin de ligne j'ai ouvert le tiroir à pain me suis coupé tranche de pain beurre et fromage façon de faire passer la pilule.
L'horloge sonne les cinq heures le jour ne paraîtra que dans trois heures prendre un livre jusqu'à ce que fatigue vienne.
La cuisinière encore chaude dans l'ombre sur laquelle mijote un reste de soupe un papillon de nuit se réveille pour se cogner à l'ampoule.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Sur la grande table ses collages sa vie de trentenaire ses souffrances amoncelées un regard de biche perdue un paysage en trompe l’œil je froisse le tout ça réveille le chat se dandinant vers ses croquettes.
Souvent paraît que l'aventure passe par la rupture que l'on franchit sans se retourner offert à la nuit frissonnante du frêne animé par un souffle.
Vite, refermer la porte la pièce se rafraîchit enfourner une bûche dans le foyer.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.