taas nga orasan pagtaas sa duga, sa mga slab ang paglakaw buak ang gininhawa sa mananap. Nagtapok ang mga igsoon ubos sa ilang hinimo sa balay nga mga hood duol sa baptistery, dangpanan sa mga pasko. Naghatag, ang mga kalag nagkurog taliwala sa mga haligi sa nave naghugong nga mga buyog sa kilumkilom ang gabii sa dili madugay sa kahilom nagpresentar. Ang mga katigulangan pasidunggan putol nga pan sa mga propitiatory slab nanghupaw nga mga kalibutan. Sa salog buhi nga kahayag gihatag ngadto sa uban nagpabilin siya didto kung wala nay nahabilin. 413
Duol sa anino sa unang mga butang pangitaa ang dyaket nga manalipod kanato gikan sa mga lugas, magpadayon sa walay babag nga dalan ang basket nga wicker sa mga mamumuo.
Ang mga kahoy akong mga igsoon, nga mahimong hangin sa usa ka tinago nga katuyoan sa immobility sa shock, mahimong bukas.
Ayaw pag-undang, usa ka lakang ug kini ang katapusan.
Matinuoron nga pinulongan ug kahilom, ipataas ang among mga kasingkasing ngadto sa altar sa mga panagtagbo, pagdawat sa among mga buhat, kasabutan uban sa kalag sa kalibutan.
Ipahid ang iyang bato sa lain nga bato walay kasubo nga nagpahilayo kanamo, kami, wala gilakip sa kahupayan, kami, sa kawanangan, mga panan-aw, pag-uyog sa tangbo, pinaagi sa periskop sa atong mga gugma.
Kini nga laway sa pag-uyog sa geranium makadala ug lain sa pagkadismaya. molabay sa kabukiran milukop sa mga walog ang purr sa combustion engine naghuyop sa iyang ilong ug namatay. Pinaagi sa pagsuporta sa kalag sa dagat sa unahan sa aksyon Ang sistematikong panghunahuna nahulog pagkalimot ug mga sayop niini. pinaagi sa pagpamalandong pinaagi sa pag-overtake bukha ang ilang mga ngabil paglangoy tali sa misteryo ug presensya.
Moabot sa pinili nga paagi ang adlaw sa acme niining lawom nga kasabutan uban sa kalibutan atong kanhi franchise.
ethically sourced, gisabod sa bulawan, ang alpabeto nga letra pinaagi sa asembliya paghimo sa ilang mga pulong ug mga tudling-pulong. Mga pixel sa espiritu, misteryo sa utok, ang panan-awon natuman fleur, bituon, papillon, kung wala ang imahe nga makita sa screen.
Au creux de l'âme dans l'ombre du vertige se glisse le paradoxe, oiseau cambré devant l'appel. Franchir nos limites, rassembler les bleds, graines en instance d'émergence, offrandes d'Apollon. D'un côté l'autre de l'espace les étoiles se rassemblent et s'opposent si vivement que les pensées prolongent nos rêves. De gré à gré au firmament passent les nuages, alternance syncopée en fond d'univers, effraction dans la teneur du chant. Sur l'acrotère du temple les anges acrobates orientent leur miroir vers la Source originelle. Ensemble, geignent les monstres de nos entrailles écornant les ficelles sociétales de l'entendement. Marche lente, au fronton de nos approches demeure la mandorle invariante éloignant l'air vicié des attachements. Se lovent au sérail de notre imaginaire les ordres de la commanderie, effort consenti à défaire les liens de la discorde. Lumière infrangible de février, la besace pleine de renoncules déverse ses mémoires d'au-delà sans explication ressentie.
Un œil derrière l'arbre à crocs et museau frémissants, le loup s'épanouit en rase campagne. Évaluant l'espace il fend la prairie vers le replat d'avant talus, ang tighatag sa mga damgo. A mi-carême repu il dort, fricassée de poissons en mémoire des jours passés. Bas sur l'horizon bukas nga mga bintana le soleil flamboie, traces des gens de bien. La ruine attenante en son écrin de framboisiers tresse l'aventure adresse des petites mains volantes. Filage du temps en remontant le cercle des saisons les pleurs se font rares quand vient l'absence. Tout lui ressemble dans cette grande chambre qu'honore l'armoire grinçante aux vieilles fripes odorantes. Passe et nous reviens au village des sabots ferrés place de l'église la tourte de pain brûlante. Voyageur en chemin été venu croque les baies arbustives en souvenir de cette vie.
Nagkatibulaag ang daghang mga midge ang mga bulak nagapatulo sa kataposang yamog hilom ang tanan. Sa filter sa buntag mga hunahuna sa damgo tipik sa ilang bag-ong mga tufts. Sekreto ug makanunayon sila saba ug nagtrabaho ang mga lamian sa kagabhion. Gihimo sa tradisyon sila nagabubo sa walay kaulaw lugas ug tahop. Bargain mangaon mi ug juice sa hiwa sa toast. paspas nga nagtuyok labing makahimo sa pagpangatarungan mahilayo sa tabon. Mga gagmay nga splashes sa watercolor makadawat ug dakong pagtagad sa pagsubang sa adlaw. Tanan nangabot pagbungkag sa yelo sa kaangayan pagtugot sa dili permanente nga impormasyon. Gipanag-iya sa mga misteryo walay katapusan nga snow slide sila ibutang sa estante. Gipala sa pultahan sa gargote ang kataw-anan sa mga tawo ihatod sila balik sa kusina. Unya mobangon sa ngilit sa asin ang mga sirkulo sa pagkabata ang pahiyom sa inosente. 407
Fille de l'esprit par dessus les églantiers la vallée s'éveille du monastère s'élève la grâce. Passant par là j'ai franchi le pont de planches aux touffes de cresson entretenues les âmes murmurent. A quelques coudées du lieu sous le peuplier frissonnant le babil des oiseaux remontait le temps. Les feuilles agitées au soleil fricassant s'élevait de gente manière au cristal de l'aube. Bruissant d'abeilles le talus de derrière la maison faisait rempart sans que le soir ne tombe. Finement ciselé dans l'ombre d'un fourré posé sur la mousse l'offre d'or et de pierreries parée. De ses yeux baissés vers le silence du vrai la douce vierge aux fines mains tenait salon des jours heureux. Nez droit bouche fine en son foulard de lin blanc elle était de toute éternité. Ombre ondoyante des grands arbres le long du ruisseau douces herbes se penchèrent sous le chant d'Icelle.
Sur le balatum à la jointure arrachée, bouche aux lèvres exsangues, le poste à galène érafle quelques chuintements. La jungle pisse dans l'aube grise, la piste aux ornières de Savannakhet à Saïgon dispersant le convoi tel hoquets de dentelle. Se reflètent les lourdes pensées faisant scintiller les revenants en galoches ferrées assemblés devant le temple aux tigres éructants. Les barques plates dans les fumerolles du fleuve forment sfumato derrière les lanternes oscillant mollement sous l'enrobé zizillant des moustiques. D'un cri à demi chu l'éveil est instantané sous la frondaison soudainement vivante quand la flèche vibrante frappe le bouton d'or.
Le choc est rude le feu envoyant par le fond les colifichets et douceurs accumulés le temps d'une vie sur le devant des errances. unta kita exposés aux épreuves nommer le pont des souvenances arche glorieuse joignant ce qui fût au plus intime de notre être.
On allait en Auvergnecueillir les bleuets. On allait en Auvergneaider les grands parents à la ferme.
On allait en Auvergne
retrouver les cousins. On allait en Auvergne
faire du vélo.Notre victoirele train passé Neussarguesarrivait en planèzeau vent d'ouest exposé. Nous dansionsau sortir des nuits bruissantes de bouleauxà la table frissonnionsde fraîcheur les yeux mi-clos. Passe la voix venteuse du grenierpar le fenestron de grossière toile colmatéfranchir les ansdans les yeux de Riquette. De mauvais coupsnous furent portésorganistes de l'ombremaugréant de tant de pluie contre la vitre. D'or en épisde coquelicots en margueritescourse entre les présvers la grand'route de La Roussière. Se relever de la chuteun sourire sur les lèvresfrappe frappeà la porte au barou. Lourdes larmesles poules caquettentdevant le siège de pierrela clide est bien fermée. Rangeons les cartons de Cocosoyons droit au bord du rêvenous du frêne et du tilleul frèresles amants de l'oubli. 404