Vreme mora da implodira i služiti zemlji de ses histoires fourchues.
Treba li ranu zauvek gnojiti kada se život smanji.
Idi svojim putem covek bez horizonta koji strah potčinjava. dodaj ruku kroz pukotinu tajnosti koju će druga ruka uhvatiti. Ne odgađajte svoje snove u postu biti slučajni dosluh. Évoque l'arbre pliant dans l'orage u ritmu pod naletom da dušu vjetra učini svojom. Écarte les chemises du printemps pod slatkoćom trešnjinog cveta brojanje pčela hranilica. Budi vatreni mač lutaju po lovištu des phrases incises. Sois l'épousée vječne stvarnosti dans sa transcendance fleurie. Budite sol i smirna sous l'eucalyptus frissonnant qu'anime les eaux de Tibériade.
Ce matin je suis mort et ne puis concevoir ma vie comme révolue. Les souvenirs ne pèsent plus le temps n'a pas d'horloge la neige est étale les oiseaux chantent le silence je ne marche plus je ne vole plus et ne sais si la moindre chose se fait. Puis-je alors dormir sans vigilance d'un sommeil permanent dans l'indifférence d'un état naturellement surnaturel. Puis-je revenir aux lieux de ma naissance sans effort à mesure que pelote se défait fil à fil centimètre par centimètre les ferrures de l'esprit sautent pour un pas de plus ne plus toucher le sol pieds nus les mains papillons inutiles sans que le sourire opère à même les coulures rouges groseilles contre le mur de l'oubli. Ce fût un instant sans que paraisse la nuit un instant de lèvres sèches devant l'enveloppe à encoller missive survenue. Je pouvais alors porter en terre la caresse d'être et enfanter.
Ona klizi njegovih otvorenih očiju milovao brda i doline. Ona se oprala njenih suza kontinente da prelije okeane. Hodala je po krhotinama vremena iznenadni kolaps od crne rupe do crne rupe. Protresla je oblake i plimu na četiri kardinalne tačke svetog saveza. Ona miluje zvezde u solarnom vjetru viška svjetlosti a da senka ne prodire u njega. Posjećuju je tijela gasnih stena i vetra umreti i ponovo se roditi. Osvježava s malo šanse impulsi prvog uzroka sama suština čoveka. Ona je mudro sidro postojećeg i natprirodnog ples i prolaz razumne tišine. Ona se muda i vrti pomračenje samog sebe put do misterioznog kraja. Nijedno uho to ne čuje draperija sa svjetlećim ažurom sadržano u njegovoj ponudi. Zemljo o moja zemlja majka zemlja je prelepa zemlja o moja zemlja. 390
Tako male Marijine ruke da orgulje emituju pjev ptica cvrkuće između jedara de la montée vers l'aube. Na magarcu muzičaru Odmjerio sam svojim pogledom udaljenost od mene do sebe trzaj večnosti. Od lobanja u pesku tačka opsidijana sa druge strane se lamentant d'ordres laissés là. Crna koža i bijela pjena u okviru prozora diže se dim douce et tracassière. Lijepe su i dobre pesme bića otvorene kože djece Emausa oslobođena muke i ništavila. milovanje senki na roštilju od sunca d'une quête danse l'amourshodno tome. 389
Ces mains qui ne ressemblent à rienpas même à la plaie se refermant. Cette embrasure de porte franchiepour respiration se faire forte. Ce regard si lointainsans que lève le voilelà contre l'épaulecadrage des jours tristesà contempler les fusains de Sylvainrevenus à flotsnausée au court-bouillonles cafards de la mémoirecrachotant leurs déjectionsau rythme d'une cigarette. La fenêtre était ouverteles mouettes tournoyaientle vent suça la moelle des oszadnji put puiser l'eau du puits de la Vieilleun bruit derrière la porteje savais qu'il ne viendrait pasmâchuré au vertige de l'oublidu vent dans les venellesà encorner le diableet s'y mirermousse douceau limon des jours fertilesune bougie sur le devantune lanterne à l'arrière. 388
Bâtir pour ne plus avoir à devenir. Ignorer les morsures quotidiennes pour plus de légèreté dans l'élévation. Savoir recueillir le reste des échecs en démarche de conscience.
Etre le loup en lisière et feindre d'ignorer le barbelé des grandes plaines. Écarquiller les yeux devant l'expansion du vent d'ouest.
A l'aube se séparer des preuves de lune pour marcher vers la lumière. Économiser la chandelle sans que brûle le bûcher des souvenirs.
Sacraliser la myopie intérieure au linge froissé des nuits de repli.
Savoir tourner la roue pour que s'épande le sable.
Se lever encore et encore malgré les plaies de l'enfance.
Noć nežnosti elk sprej jesenje lišće orkestrirati padavine na zemlji. Buka u mašini za pranje veša nehotični ključ ostavio u džepu u najmanju ruku previd. Na nivou sjedni i onda nista zračak sunca kroz kapak sa žaluzinama. Odlazim polako leprša na vetru bez ljutnje samo karanfil među zubima. Potvrdite njegov dolazak na tvrdom kamenu ulaza ispod prozorskih rešetki Oh bako ! 387
Biti, izgubljen Dans la frilosité des avancées technologiquesCoups de gueule contre le mur des incompréhensionsSe lient et se délientLes bonnes raisonsAu sens giratoire d'un consumérisme béat. Udarajući sjajem kopita Le condominium des afflictionsL'homme de bureEn ses vérités surannéesDevient Don QuichotteDerrière le miroir des lamentations. Popnite se na orkestarske jame L'appel des repris de justice, Vêtus d'hardes spectrales, Corps éventrées, Rigueur ajoutée, Harnachés d'obsolescence programmée. Unpinned Celulose En effraction d'un ordre disperséLe temps appelle le tempsAu creux d'un nid de coucouLa vase refluanteColmatant les brèches de l'oubliS'enquière d'une halte secourable. Dolazi ko zna odakle Dans un faisceau de lumièreLes mains ouvragèresAux doigts grêlés de piqûresRonde enivranteLe regard baisséRassemblant les myriades d'âmes errantesAutour d'un chant psalmodiéQue le tissage expose. 385
dans la frilosité des avancéestehnološke ljutiti se protiv zidanesporazumi
vežu i odvezuju ih dobri razlozi u kružnom toku a blaženog konzumerizma
upečatljiv sa žaromRazumijem
kondominium ofnevolje l’homme de bureu svojim zastarjelim istinama
postaje Don Kihot iza ogledala jadikovke.
Ustani iz jameorkestar poziv za oporavakpravda, obučen u odećuspektralno, izvađena tijela,
dodala strogost,
upregnuto zastarjelošću zakazana.
Unpinned Celulose kršenje nalogarasuti vremenske pozivetemps au creux d’un nid decoucou da otpadne posude colmatant les brèches del’oubli s’enquière d’une haltesecourable.
Proviennent d’on ne saitd’ili dans un faisceau desvjetlo les mains ouvragères aux doigts grêlés depiqûres opojno kolole regard baissé
Tout si sensiblela feuille d'érable de l'automnerouge d'un premier regardchue sur le solfleurant bon la cigognequ'un air de fête accompagnâten son envol. Une âme paraîtdans un bouquet d'efforts soyeuxau soleil naissant de tendres accolades.
Haut les cœursen caresse d'êtreponctué d'une pluie d'étoilesfût roulée le long de la pentela roue de la viejusqu'au ruisseaudes souvenances éparseslèvres levées rosesvers la nef de nos yeuxde tant d'étoiles éclose.383