Captede ton corps éblouiet sculpté aux épreuves de la viela brise qui s'avance. Bouche béanteéquarrie aux rires des hyènesabreuve le lit aux couvertures tâchéesd'une patience sans cri. Passe la journéeoù séjournent les heurestrop tôt égaréesà poudrer de copeaux l'oubli des origines. A ciel ouverten bord du chaosgît la Terreprincesse héroïque de l'entrelacs des batailles. Échappé du cirque des transformationsen l'arène remémoréeprêt à sauter à la moindre incartadeje démembrerai les violoncellesde leurs radicellesen l'infini des cieuxsous la geste des sphèresque la musique éclaire. 804