Поклащане на мъдрите вълни aux rubans de nos coiffess'orchestrent les rimessous l'acceptation des orguesde nos grand'mères le désespoiren attente de l'hommealors que gisent à demeurela sociale pensée des copeauxourdis par le rabot des ragots. Il n'est de plainteà la rigueur le soir venuque la hanche nuede nos épistolaires digressionsen retombée d'un courte pointesans le déni des ordres donnésaux quatre vents de l'horizonen instance de reconnaissancequoi qu'en pense le bedeau. Repartons pour un touren singeries et ritournellesque proposent les arrangeursdu doute nos propagandistesmontés en vivacitéaux pinacles des cathédraleslieux de chute des gargouillesexpertes en tribulationsle temps de l'allégorie. Il y eut le sang sans la couleuret le vertige lige des adorateurssans que se mêlent alentoursl'organon de ses ides rebellesaux babines étrangesque plus d'un destrierdétournerait de son butle long de cette allée aux longs troncsdes mots de mise en berne. Cinq boutons au vestonnous montons vers Sainte Marie des Angesà se refaire le visagepoudre et fraîches feuilles de laurier attenantesavant la présentation en courgenoux fléchissous le luxe des apparencesà retenir les chiens de la meutetout aboiement banni. 680