Sur l'œil cerclé de jauneje pose le baiser du silence. Sur la vastitude des offres d'amourje retiens le rot de l'ego. Sur ton front hors toute penséeje fais croître le rameau de paix. Sur le toit des villes grisesles fumées sont des reflets d'espoir. A la porte des demeuresj'éprouve le courant d'air des rires. De ceux qu'on a aiméj'accueille l'œillet du souvenir. Chaque seconde écouléea son chien sage à sa longe attaché. Un soir d'hiverles yeux couleurs de fruits mûrsj'apparaîtraisur la fenestrobreto chouette effarouchéeimpudente dans son langage figéla plume vibranteà conter l'histoired'une cabane aux planches de boisque l'hiver attendaitde ses flocons de neige recouvertetel un grand cœurau matin du saut de l'ange. 649
Truoj en la lazuro blankaj formoj en la stratetoj de la kastelo plane le stammer al la krio de infanoj preterpasante la ŝtopilon krakante la gruzon. Rilata marmoro kaj alabastro mantelo sur la ŝultroj la Elefantina skotero per amo ke la ŝaŭmo de la lageto ŝanĝiĝas malaktuala memoro kie ni estis en la ĉeesto. Fulcanelli ne retenis sian penson kaj malbonodoras malracie sveni sen permeso vestu alte kaj mallongaj la malgranda frakturo en volupteco de ĉi tiu certigita skafaldo. 648