Tro ofte , ĉu ni aŭdas , kio : " Sekvu la Vojon, la revo esti homa, de povi rektigi la sinuozecon de la koro estas esenca intenco . Kaj por tio vi ne bezonas ne foriru, eliri el la katenoj de la mondo " .
Ĉi tio estas malvero !
Ne ekzistas vivo , foriri estas eviti la serĉon de la Vero . La ĉenoj ekzistas nur en si mem .
Prefere ol esti altirita de miraĝoj ekstero, protektu vin de viaj propraj ruzoj .
Ĉesu rifuĝi malantaŭ falsaĵo humileco .
Ĵetu vin en la oceanon de providenco .
Preferu tion, kion vi ne scias , ignoru kion vi scias.
Ne timu la nekonatan .
Vero ne estas vualita .
Estas viaj okuloj kiuj portas la vualon .
Viaj okuloj , vualojn, kiujn vi devas malfermi .
La saĝuloj , lia , rompante kun siaj kutimoj .
La mirakloj de la mondo estas mirindaj pureco , la sola vojo estas interna justeco .
La lumo ĉe la fino de la koridoro , la finfina en la maniero , preter pli proksime al si mem.
Kien iri ? Vizaĝo al vizaĝo . Aŭskultante aliajn . Promenu sur komuna vojo . Jeter , kvazaŭ hazarde rigardo al la flankoj , nur sufiĉe por ne damaĝi kaj dancigu la kompanion , kiel en pasintaj vigiloj ordigu la ŝtonetojn en la plado de lentoj . Tempo eterne komenciĝas denove, sub la plumo , al la donado de pluvego , deploji ĝian panoplion malfermita pordo , sur kantataj brakumoj des gouttes d'eau souvenantes. Ne estis , purigi , skribis sub la buŝelo , ol la rideto, kiu pruntas diri . Estas mallarĝa trairejo inter la sekura internometode konstruitaj al kredaĵoj de sciokaj la rondo de la infanoj de ĝojo .Estas landojinterplektiĝo de atingojkie la revelacio filtras .Okazas kela pomo falanta de la arbo estas mirindaĵo .Ni kolektu la fruktojn ,viŝu ĝin per la tukoneblankigita tolo ,porti ĉe la okulnivelo ,haŭta teksturo ,la gracia kovertola senfina ekspansio de la ĝermode son extension ,al sia plenecoĝis ĝia formorto .En la palaco de viskozecoj de la spirito,poma pomomorditapermesas la plezuron de gustoper entombigodes sucs rétrospectifs .La preĝeja sonorilo sonoras .Estas la kvara ,tetempoke la psikedelaj kukolŝeloj .Oni sciu, ke kun bonaj intencoj , Sano ,kun pinĉo de juĝotaŭga al la principo de normaleco .238
Si la charrette ploie et que pièces à terre se dispersent les dérisoires brassières de l'esprit .
Il y aurait ce regard traverse de l'absence des catéchumènes en son enfance éteinte ma mère l'ordre de la mère morte.
Il y aurait prégnantes des caresses sous la toile que jamais n'ai cru souples à mon encontre .
Il y aurait des herbes sèches recouvertes d'un givre cristal sous la burle sévère d'un passement de jambes dansé .
Qu'on dirait l'affliction des tendres et tendres années de perdition à coopter les passants du sans souci sans cris ni repos .
Mon cœur s'est éteint il a navré le cours du temps de bulles fragiles sous le rêche du souvenir .
Les sillons se sont fait crème au café des solitudes la cuiller ourlant tournante le reflet des nuages .
Remettre les choses en place avec chaises et tables verres et couverts et ronds de serviette à l'avenant .
Vivre en illusion entre la poire et le citron d'oraisons et de jours à venir finissant en tranches de potiron .
Sur le départ posée à même le sol dénudé courait la vermine saxifrage des orateurs sans parole .
Se confrontèrent du menton les accordéons de la raison à éviter le tien du mien positionnés en dérobade .
Silhouette affaissée les lunettes en bout du nez corrigèrent les fautes d'orthographe nos petites mains passagères .
Segmentés à courte échelle les chevaux de la verticale dernière levée d'un sourire par la fenêtre entrouverte . Sortilège sorti tout droit d'une tendre apostrophe les lèvres purpurines figèrent le son des églises . Faussement accaparé dans un tombereau de fumier le corps à corps des corps pensants d'étreintes désespérées .
Se glissèrent sous la ramure les champignons de l'automne à creuser les tranchées d'une guerre dont nul ne revient .
Fil à fil le pull s'allonge les aiguilles passent puis repassent le fragile des doigts s'expose sans que je m'interpose . Face contre terre soyons le roulage des galets du torrent sous la feuillée d'un saule encalminé par le qu'en-dira-t-on des prosopopées .
Ma plume sans le cal d'antan se fait entendre jusqu'à l'orient de coups secs sur la peau des sollicitudes le creux des reins en jouissance son heure et puis la mienne toutes choses confondues se rebellant ma belle dans l'offrir de la resquille à ne plus entendre les barbelés crisser sous la mitraille .
Sa cage d'oiseau sous le coudeet la croupe en carêmeun cheval passela cavalière à queue de cheval .L'âne braieles moutons bêlentun bruit de tôlecadenasse l'espacej'appelleau carrefourdes senteurs d'herbe mouilléele lever de lune .Sans prendre le tempsde maigres appendicesaliĝiaux remontées de laine pelotéeun quart plus basdes ailes en ordre de marche .S'enquérirfinement ciselédu crépusculeen retombée lasse du jourfièvre amèrequ'un doigt de mielrehaussetendre applicationde la flûteaux notes réjouiesdu rire des enfants .236