Brillent affleurent de clameurs de frissons les yeux ronds des violons sans un regard vers l'horizon. Feuillage qui bruisse sage enfant en bord de l'eau la goulue des marais femme galante des fragrances matinales éclabousse de moussele dos rond du garçon occiput élevé en caparaçon la libellule menue se tait près des roches à cru sourire d'ange aux yeux de biche sagaie portée haute par le chantre pic-épeiche d'acier aux griffes enrubannées embrasant la fleur de rêve passementerie sur les épaules de l'aube pour que vive le tambour de l'amour à rebours de l'écir pusillanime effort pour contempler le rien d'un chant divin pusillanime effort pour levée des essences pures déposer la chaude fourrure en ces temps de chasse barbare toutes étoiles à terre à se courber sans effacer la trace saigneuse des dents sur l'échancrure de la voix se glaçant pâquerette fluette au niveau des instincts offerte tel bijou roux devant la porte des amazones élevées en sérail caravane de sel cardant de leurs poils roides le flux le reflux déhanchement incandescent sous le dais pimenté d'un jour de semaineà la romance édictée sans que frémisse la fleur de magnolia. Icône pourpre échappée au regard de l'invisible il fût recommandé de manier le fer à chaud. 819