au début il y a l’accord

 Au début   
il y a l'accord.   
  
Puis seul   
assis par terre.   
  
Finir par se taire   
quand le vent souffle.   
  
Et ça continue   
du sol au plafond. 
    
A se nourrir   
du vol des oiseaux.   
  
Petite main   
en partage des corps. 
    
Posée sur le chaud   
de la peau.   
  
Affleure la bonne odeur   
des fleurs.     
 
Ondines précieuses   
volent les papillons. 
    
Dans le clair de nos yeux   
le frais d'un matin frais.   
  
Pour écrire en dessus   
ce que lumière peut. 
   
Pour bâtir en dessous   
la source fabuleuse. 
     
Au plein du visage   
la bougie luit.   

   
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