Les nuages avancent de concert pommelés aux baisers de la rencontre se défaisant des choses feintes pour recomposer les scènes de l'enfance telles galipettes sur la prairie aux coquelicots que l'ombrelle des femmes fleurs ponctue d'ombres et de frissons. Les nuages dansent sans entrave en inspiration blanche agrippés et défaits d'un endroit l'autre sous la soupente que les sabots pétillants cadenassent tel rêve au petit jour enfoui sous les feuilles sèches du réveil. Il n'est d'avenir que le quart présent de la vigie plongeant son regard dans le moussu des contemplations nuages nuages prémices du bleu éternel sous la plage blonde de nos pas prudents évitant le coquillage coupant. 632