en forêt de belle lumière

   Escarde lâche   
fichée en la serrure   
au vestibule des attentes   
balayer les pensées     
sans permissivité.
  
De longs filaments   
descendant de la ramure   
pendent ultime verbiage   
les falbalas de l'outrance   
en régurgitation des moments de l'enfance.   

Sabir époumoné   
contre la paroi des châteaux de Thérèse   
les cris et bosses sont rassemblés   
au grand bûcher   
des vaines suppliques.   

De mille manières   
l'habit cérémonial   
enfle devant la tempête   
bulles si tôt éclatées   
pour une protection désuète.  

De givre point   
juste le roman des choses secrètes   
par devant les yeux brûlés au papier d'Arménie   
où ceindre de lumière   
la nudité tard venue   
cet effort à partager le nécessaire   
ce moment de doute   
en creux de déshérence   
ce voyage incarné de l'écriture dernière.   


326

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.