Aux tubulures de l’orgue J’ai joint le bouquet de printemps Un sentiment de joie pénétrant le cœur Du vase verser la liqueur Avant dégrisement.
Marcher sur la terre desséchée Etreinte puis détente Avant d’arriver à la barrière Menues inclinations à ce qui est Vivant comme légende.
Éliminer les souillures Modeler jusqu’à l’ambre Les racines et les branches Fait douter de la pureté L’œil enjoignant le soleil.
La rouille avait été accumulée Offusquant la clarté Empêchant les images de réfléchir L’âme face au vrai Le miroir face à l’objet que l’on veut reproduire.
Elle avait alors dansé Au proche de l’arbre Communiant dans la forme Avec le toboggan des eaux glacées Visage sidéré devant la bascule.
Oqshom Le grand arbre nous recevait Au dessus du vide Expérience du vide intérieur et des émotions L’écoute en vérité.