
Pluie d'étoiles cette nuit de juillet à marauder l'Univers à murmurer leurs noms ne coûte pas cher à l'insomniaque. Sagement mis en place pour de vrai engager sa responsabilité augure quelques contreparties se rebeller est chose pratique sans griller le feu rouge l'avenir reviendra toujours en deuxième semaine. Traficoter dans le tiroir de la commode sonne l'heure de l'incompréhension rêve délirant à même la nuit qui passe le diable force le sourire. Une affiche sur le mur juste une affiche avec des coins qui rebiquent pour appeler au programme d'été les enfants en haine de leurs parents. Désignant du bout de la canne la montée vers le ciel il éteint l'affect et fait disparaître la peur. Des abeilles par milliers segmentent au tableau d'honneur les figures de la répression pour plus de miel encore corriger la condition humaine à petits pas à petits cris d'une plainte ahurie emplir la gueule des bêtes fauves du cou gracile des enfants de l'oubli. 1082








