O Prinzessin

Ô Princesse    
piéta de mes années premières   
que ne t'ai-je espérée   
par les chaudes journées d'été   
inondant de désir   
la course des nuages.      

Y aurait-il encore   
de ces fines fleurs   
aux entrées inavouées   
où je puisse éprouver   
vigueur contenue   
une retenue de bon aloi.     

Offrant dans l'allée des ormes   
la douceur de l'ombre   
me serai-je alors permis   
d'allonger la parure de l'écriture    
sur l'étole d'une vie   
aux allures de buisson ardent.       

1084

Hinterlasse eine Antwort

Deine Email-Adresse wird nicht veröffentlicht. erforderliche Felder sind markiert *

Diese Seite verwendet Akismet, um Spam zu reduzieren. Erfahren Sie, wie Ihre Kommentardaten verarbeitet werden.