Etre simplement là, dans son corps, anmutig. Respirer l’air présent.
Et voir. Ressentir tout son être se dissoudre face à ce
qui est devant soi.
Et qu’importe si la limite entre moi et ce que je me donne à voir est émergente, mouvante, floutée et semblant alors animée par une énergie sans source ni destination.
Pour de longues minutes, attendre ou ne pas attendre,
qu’importe puisque je suis tout autant l’origine que la fin du monde, et que le
temps pulse hors le temps qui passe une musique si insistante que je calque ma
pensée et mes mots sur le présent mystère.
Que seule l’alouette me sorte de cette rêverie pour me dire qu’il est tard et qu’il va falloir que je rentre.
Le calme est déjà là, en moi, à
demeure si je puis dire.
Si je le cherche ailleurs, je lui suis infidèle.
Etre dans le dépouillement c’est être totalement
soi, totalement nu, pour laisser éclater cette joie qui est déjà présente en
nous, cette joie qui nous précède même.
Nul besoin d’aller le chercher pour qu’il vienne.
Il est déjà là.
La fureur de l’acte créateur dans toute sa nudité existentielle
semble surgir de la matière psychique du tiers inclus par la mise en évidence
de l’affectivité du tiers caché.
Chaque visage est un texte à déchiffrer . Si j'observe le visage de l'autre sans le réduire à ce que je crois en connaître, alors une ouverture peut se produire dans ma conscience et c'est ainsi que Dieu me vient à l'idée .
Le visage de l'autre reconnu dans son altérité est de l'ordre de l'insaisissable et de l'infini .
Le visage est un continent qu'on a jamais fini d'explorer, une terre sans limite, un océan sans fond.
Ses traits, son relief comme celui de l'écorce terrestre, gardent l'empreinte de toutes les grandes et petites secousses qui l'ont marqué .
Lire entre les lignes du visage suppose une " claire voyance " qui vient du cœur, va droit au cœur etqui s'appelle l'Amour. Le visage, cette icône de l'invisible, est bien plus fine, plus précieuse et plus belle encore, quand l'être qui l'a peinte par son vécu, est passé par l'épreuve.
La relation avec le visage se produit comme bonté .
Regarder le visage d'une personne, c'est mettre son ego de côté, c'est tenter de s'oublier, soi ; c'est se laisser contempler par le visage de das andere, de ce prochain qui est là, en face de soi et nous oblige, nécessairement et tendrement, à faire de l'étranger son frère le plus proche.
" En te regardant ton bon sourire m'envahit ... Suis-je encore de ce monde ? " " Merci marraine . Merci ma bonne fée . "
Et bien qu’ayant trop cédé pour moins que rien à l’événement extérieur, celui-ci m’a néanmoins permis la lecture de mes démons intérieurs et une petite avancée vers la lumière.
Et ce n’est pas si mal surtout si, le vent brassant les éoliennes, énumère les possibilités d’émerveillement du monde.
” Übung macht den Meister, das ist
indem man liest, dass man Ackerwinde wird. “
Und durch das Fotografieren wird man zum Fotografen –
Es ist der Fehler des Diagramms und des Hintergrunds und wenn es zusammenkommt, wird es ”
müssen den Hintergrund grafisch darstellen ” –
Dies ist ein Schreiben in der Nähe der Vision. Also das rein
Entwicklung des Integrationsprozesses der Kette aus Wörtern und Lauten
was zeigt, Wir passieren die Mauer der Symbolik. Es besteht dann Zugriff auf
sprechen zu sein, Fehler, durch den Paradoxien verschlingen, Unsinn, ein Atemzug
Neuheit, und der zufällige Flug eines großen Vogels, der von Freiheit betrunken ist : das
Crazy-in-Being, das die Perspektiven jedes humanistischen Projekts umkehrt.