A la lluna plena des enfants de Dieudans les rues largesoù tout se proposeparler donne à être. S'entendre direque le moindre rugissementd'un soupçon de désirest grande apparitionau festin de la vie. Évoquons les matins fraisoù l'herbe soulève la roséeà mesure du sourire naissantd'un soleil aux pas humidesà la bonne heure du jour qui point. Point de déhanchementmalgré les verstes parcouruesau Salisbury de notre enfancepar progéniture élargiele sang se mêler à la sciure. Débaroulant de la montagnele cerceau joyeuxprend des airs de rodomontadesfragiles et lucidesde talus en taupinières. Cruel amantdes levées langagièresaux mots de braise et d'estoccorrespondent gorge serréeles souvenirs de la relance. estimat meu de pain et de vin confondusvous fûtes d'étrange manièrele calice des offrandes permisesaux passantes effluves de notre cœur. Calons-nous nous les apostatsà l'arrière de la calècheles chiens de la parousie oreilles rabattuestentant de rejoindre la demeure dernièred'une jointive pensée. 686