
De sable et de sang mêlés enfreindre la porosité des soumissions. D'une cuiller accueillant les fadaises ouvrir la fenêtre des outrances. Passer la tête dans l'encoignure paraphrase la surprise. Surdité devant le miroir fiche un coup de poignard. Il n'est de guerre en raspoutitsa que le piétinement d'une harde de sangliers. Se frotter les mains sur le bois pulvérisé sèche les pleurs. Un baiser de paix mouillé à offrir au firmament des amants. Eviter le compagnon permanent pour ourler de tendresse la fuite des jours. Flasque vidée à même le veston tâché à quoi bon cet entregent. Brume légère frisant les prés matellase l'élan de vie. Le gravier des mots parfois arbore le gai savoir. Au sécateur des urgences un doigt de trop sur la patère. L'arbre graphique vers l'abîme mise en orbite d'une éclosion. A se demander s'il est temps d'égoutter les couleurs avant la nuit. Jamais Beauté ne pût brasser l'émotion que par la Voie des choses dites. Œil ouvert et cœur battant le poète au vide médian. Rencontre entre le monde et un regard dévisage le flétri de l'esprit. Un calme étrange fait de nécessités il est temps de donner sens. Blesser la Beauté le papillon redevient chenille. Solitude et concentration à bout de bras portées jusqu'au ciel. Au cartel des écarts, silences et brisures advenue du plein. 1152








