
Dégoupillant du regard le cabochon de notre amour avons rassembler les pierres du cairn près de l'arrosoir de l'enfance pour petits petons détalant sous la tonnelle claquemurer l'ambiguïté. Farfouillent se redressent de l'étal les demoiselles aux oreilles roses chassant d'une main ce qu'elles retiennent de l'autre sous le vol impérieux d'un gazouillis d'hirondelles. Ô flammèches du désir recueil du bien penser de l'amour dévolu à ce qui n'est pas nous mais si proche de nous cantilènes fraîches seyant de près les ors de la rencontre. Brise de mer quatuor des rondes enfantines passer muscade d'une vie à se tenir rides offertes au dessein de ce qui sera demain fine mouche de l'instant à découvrir pimpante. In folio c'est plus rigolo de se faire connaître l'arrosoir de Coco barrant la sente pour étouffer d'un peu d'eau fraîche le feu d'herbes sèches à demeure d'un souvenir sans fin. 1193








