Utzi Crocs eta Crins-en Bidean Ezerren proiekziorako Posta elektronikorik gabe.
Memoria sinplearekin Harri lehorrak lortzea Gurutzearen bultzadaren azpian Arduradari kalte egitea Arratsaldean Ezerezetik gurutze batean.
ni naiz Sinetsi nuen Isiltasunaren sutan Gai izan horizontea zapaltzeko Tripulazio handian Eztia eta Espirituaren Hitzen Burd Eskaeraren atzaparretan ere -Ra Barbarismotik santutasunera Haragi zatiak Paper zurian isuri.
Amaieran Y'a la mer Irekiera Hainbeste misterio aldera Altzarien azalak altxatzea bezala Opor etxe batean Luze bizi gabe.
Berreskuratu Itzal antzerki honetan Miresgarria da Non dodelline burua Errealitatea ukitzen du ametsen amaieratik Festaren tintouinean Magoaren aire burbuilak gaitzea.
Mugitzen da Halako ur tanta ontzitik Ilargi erdiko oilarraren aurrean Puntuak kardinalen arabera Landa eremu hauskorrak Txartel Pieza horia marradunean.
Hitzak noizean behin
Tximeletak sigi
Hurko
Ongi etorri eta bildu
Garden
Izan dira
Izan
Izan
Oihanka
Pertsonaia txiki hau
Irudi irekiaren liburuaren aurrean
Atsegin-lasaiak, maite izan, adospen, izaera
Eta gauza eder asko
Zoriontasun eszentriko baterako
Oroitzapenen Bertigoa
Bihotza alertan
Ehun paperaren azalean.
C’est arrivé De lever le bras Pour transmettre un dernier message.
Comme c’est étrange Ces phrases qui s’infiltrent Pour garder le silence.
Le silence pour le silence Comme à la radio Au travers de la neige.
Un souffle de vent Puis le ciel bleu Dans un frisson d’automne.
Je t’écris de mes mains Ombre d’un dernier message De mon navire en perdition.
Bonjour Comment vas-tu ? Tout ça reflété dans le miroir.
Longtemps Je me suis heurté au mur Et les mots ont pollué la connexion.
S’infiltre Entre les nuages Le refusé de la question.
Qui suis-je ? Une doublure du vrai moi Sans que l’oiseau se pose.
J’ai dix doigts Et ne sais qu’en faire Si ce n’est de prendre la fuite.
Du fond du cœur Dans la percée d’un jour meilleur J’ai oublié mon papier d'Arménie.
Serait-ce ça Être ou franchir Les canaux de l’agir.
Sagesse entendue Au pays des morts L’homme est bien petit.
Paroles d’ombre Disposées en couronne Sur la pierre des mystères.
Pas de réponse Dans ce monde de chaleur humaine Seule la poitrine soupire.
Devant les larmes de sang Sans un écritoire à disposition La source se dérobe. Je viens d’une autre terre Dont la lueur est faible Au bureau des rêves.
On frappe à la porte Les pines de pin piquent l’aube Il est temps de jeter la grosse enveloppe dans la boîte aux lettres.
La veille au soir Mon crayon s’est cassé Comme l’aiguille du compteur bloquée dans le rouge.
Affiner n’est pas chose facile Quand faiblesses et défauts Proposent de tout jeter.
Quelqu’un écoute Le rencontrer serait fabuleux Jusqu’à recouvrir les nuances individuelles.
Toucher la pensée par nuit noire Précise à huit centimètres près Que la mire est au fond du couloir.
Cicatrices blanches à la base du cou Produisent haute silhouette En fond de cour.
Effet d’halo Un homme est là Qui se débat violemment dans mon ventre.
Berak Qu’on aille à sa rencontre Flétrie des on-dits de la mémoire Elle écarte l’imprévu D’un doigt Hors du cadre de l’éveil En ablation de la vision Retournée comme enfant au verbiage Usure de l’instant Contre le mur d’un retour Sans éclipse Comme s’assoir à même la pierre Étoiles des cinq navires associés Aux guipures de velours Lourds de poussière affinée Éternel retour La poésie se blesse à nous Acte cassant hors du sommeil Festin sans épilogue Au soleil éblouissant D’une musique mugissante Qu’un feu d’herbes sèches assèche Faridondaine des amours de toujours Parodie de Vérité aux précautions terribles Entrant en gravité Tel l’oiseau à tire d’aile vers le crépuscule D’un jour nouveau À la teinte océane Horizon d’arbres et de cognées Posées au centre de la nuée Au vertige d’éclipses Échancrant la pensée Missiles gavés d’hybris Annonciateurs de l’ouragan Fulgurant Et pagayant de guingois Sur un monde mort Sans laisser de charnier Sous l’ombre de la Cité Passage obligé D’ici et d'ailleurs La lumière qui jaillit de la nuit.
Entrée Sortie Ne dépendent que de nos avancées Cette mise à jour continuelle À faciliter la jonction Entre Lumière et Matière Ces deux parties de notre cerveau Mises en exergue de notre origine Calquée sur le flou des abysses Pour parler de Soi Quand le reflet se fait hiérarchie Sur notre planète Refuge aux hasards des suppositions Depuis qu’en bout du tunnel D’ardentes et bonnes manières contenues Avons mené notre vie Selon le plan de notre être intérieur.
Point de freins Les colonnes de l’absolu Ont maintenu le plafond des circonstances Hors d’atteinte De l’amas des galaxies Promptes à manifester leur existence Par le petit bout de la lorgnette Tenue à bout de bras par l’homme vitaminé De la Science le phénomène alpha Alors que s’enfle la nécessité D’aborder les épreuves au tamis des bifurcations Heureux décorum d’un avenir fait des pleins et déliés D’un accéléré de l’information.