Le vent aimanté souffle là où je suis légende arthurienne trop tôt dévalorisée par les phrases perçues. Ancré sur le monticule sans racines excessives aphorismes et fragments amusent la galerie quand les branches sont des rayons du soleil. De mère naturel'avenir est éphémère
quand pour finir
la cendre se confond avec la neige.
Les ancêtres dorment point encore investis, ceux-ci que la marée évite alors que, bien là varechs digitalisés ils vont et viennent sous le bulbe cortical de nos frayeurs le long des tranchées de la douleur. Père dur mémoire de bûche couché coupé par le travers rongé par l'absence enchaîné par le son des clarines la cape de berger sur ses épaules arrimée. Frère en ramure sorti de la forêt coloniale à quémander une attention douce sur le bourgeon de l'équinoxe. Sœurs vivantes tranquilles en leur normalité sur qui compter en cas d'éclipsequand l'évidence s'exprime.
Et puis le vol des criquets-cerises au dessus de Sainte-Victoire à embraser la Table Ronde d'un graphe tendancieux. Le frein de la fatigue fait, l'élégance venue l'ouverture des fenêtres au matin devant le grand lit frais quand les tourbillons de lumière entrent par le verger chaulé. Arvo Pärt change le songe à valeurs errantes des violons en pensées de jeu au goût enfantin que le triste quant-à-soi récuse d'un coup de savate mauvaise. Je précède la liasse des outrances d'un peu de pommade de paix que notre belle étoile cardabella clouée sur la porte des granges emprunte au livre des mystères.
( œuvre de Gore )
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