La herse abrasive Coupa court au crâne pelé . Puis agrippé au mur Pétrifia les ressources migratrices . Pommelée d'or elle enfreignit la règle ne conservant de la crème acrylique que quelques moignons hiératiques . Nous ne pouvions rester là aussi , pupilles dilatées , nous approchâmes de la jugulaire pollens en suspens des stèles coopérant à la dégringolade vers le pourpre des nuits fauves du couteau d'Abraham . Flanqués de notre armada il se fît que le minerai des origines soit extrait des sources ardentes de nos vitrifications . Ô brillance ! sous tes sabots demeure la sécheresse de l'oubli sous la fourrure des nuits , un jour blafard sous ta lèvre , l'inimitable esprit sous ta plume , le bourgeon johannique sous les minéraux calcinés , l'avenir émergé sous les baies énuclées , l'architecte du souffle . Ma déchirure ! cette plaie où refléter nos visages cette volée de cloches rappelant la fumée des bûchers d'une cosmogonie du tempspassé . Notre futur , la résine épiphanique résiliant les frisures de l'épiderme le pas de deux sur l'horizon arc-en-ciel telle une balle perforant l'Absolu notre enjambement cette énigme où se fondre dans la vision . 284