Ô rêve incandescentdu fond des forêts sombresune flamme s'est levéepour chanter à nouveau. La rose et le lilassur les berges herbuesj'ai pris ta mainet les peupliers se sont tus. Sagement éconduitd'un sourire tristesans que la voix tinte. Même les nuagesentre ombre et lumièreont éveillé d'innocentes fraîcheurs. 791
Tant et tant de motssortis de l'ombrepar la peau du couforment guirlandeque le ciel en ses instancesfait cliqueter d'un sourire soustrait. Brise de mersur le lagon des offrandesbei Dämmerung alors que les flonflons de la fêtemènent grand trainjuste un trait de lumière sur ton front. La croix des croyancespostée à la croisée des cheminsengage à manger des fruits de saisonohne Grund et d'allumer le feu de l'étédes sept épis de blé accompagné. Au séchage des linges sur le préen sainte survenue ascensionnéeest arrivé le temps de la fissure initialean der Klagemauer ce frisson des petits papiers pliésà l'encre sympathique endossée. Hommes et femmes du dernier passagesous l'œil d'une étoile naineje vous ferai mirobolantes oreillesavec ce regard bleu roiet les joues avenantesd'une conscience nouvelle. 790
La maison des vivantsrassemble les sages autour des mortset quand les morts sont honorésle dernier mot raille la vie. Honorer la personnelouanges enrubannées de peupour les super humainsa goût de dérision. Endormir un enfantquand la nuit tombepropose l'histoirede la fin d'un amour. Verlassen que dire sans la jolie fictiondont les adultes se repaissentà leurs côtés l'ombre d'un doute. 789
Heute Morgen la chemise est sèchemême que les parties uséesluisent au soleil. Sans injurier le temps qu'il faitKeine Fragen gefragt de magistrale manièrenous étions tous au fond du gouffre. Primordial soucisla vie mènera à terrecette fraction qui touche à sa finsous le coup des certitudes. Finissons-enprenons le fusille grand feuanéantira le feu des syncopes. A trop ensemencer les parures de l'oublila porte se refermera sur notre passépour sans soupçon et avec bonheuraménager en H.L.M. Le combat est digneau regard de quelques-unssans surprise devant l'ennemisans mettre trop de temps à mourir. Encapuchonné de détestationà la merci des coups de sangils ont gravi la montagnepour clamer l'utilité de la lutte. Au bric-à-brac des pensées vieillesséjourne en catimini du sel de la mineplongée en ses eaux troublesla gueuse aux crocs blancs et lèvres marines. La langue ne déchire pluspoint de clameursl'éternité balaie devant sa porteun reste d'envies et d'ambitions. Entre la pauvreté et la richesseune vie douce et sobrevécue avec affabilitél'air sain des lendemains silencieux. 788
Im Himmel der Wildgänse an der Spitze des weisen Zebus Ich flog über das plumpe Moor sans savoir où je me suis rendu. Eis, die offene Weste musste auf die Escatorium steigen Arme und Beine machen Tolles Offshore-Flugzeug. amerikanisch sprechen zu wissen, dass ein Kamel reiten die Reise wird kürzer so tief ist der Wüstensand. Fetter Silen aus der Brunft gerade gestern bringt die Schatten hervor dunkle Gedanken. Zum sicheren Teilen Ausbrüche von Stimmen allein an BordIch begrüße die Frau aus dem Germoir. Weglaufen weiße Tasten auf den Wahnsinn der Lust Soor zwischen den Zähnen. Drehe seinen Blick um Ursache nennen, was wir Wirkung nennen Verantwortung übernehmen für das, was mit uns passiert lädt uns ein, unsere Tasche zu leeren. Klammern Sie sich an die runden Bonbons des Akkordeons die verzehrenden Funkenvon Übersee Kriegsschiffe. dort leben, quelle miséricordewenn die Morgendämmerung naht den Pilger versteinern Neustarten. aus Wasser und Feuer in Reichweite von Kindern Aufstieg zur Fassade des Portals Bärlauch vom Vormast. Rufen Sie hier oder dort an die Begegnung mit dem Unerwarteten aus Stoff gegurtet im Medaillon der Befragungen. Um den Weg zu ändern für die Verschlechterung der Lebensräume Traumpfad mit Ozeandüften. Rechtzeitig als die Schiffe aus dem Nebel kamen Ich sah die Clepsydra leer mit einem flinken Schleim des Gewissens. Paradies gefunden lèvres soulagéesdas rosige Lachen auf deinen Brüsten delikater Einstieg in die Geduld. Und die Sonne hat alles genommen ohne an Lügen zu denken dass sogar die altmodischen Gewehre der Schrotflintenwand wurden Frühlingsblumen. 787
Je l'avais laissée en bout de tableelle chantonnaitet la lumière irradiait. Un simple coup de fourchettecomme broche de grand-mère sur son corsageet tout était dit. Je vins chez elleelle était avec un compagnonj'étais avec une compagne. Les jours et les années passèrentpour la chose ouvertefaire patte douce sur l'ouvrage. L'animal-maître qui attendtrop de tropne peut transmettre son enseignement. Si ce n'estau milieu des puissances apaiséesracler le fond du chaudron. Pour chuchoter à l'oreilleattendre et écouterun haut degré de transformation intérieure. L'auréolecette forme que revêt la rencontreet traverse la création. Das Wissen la destinéeeine Stärke. 786
Es regnet für immer un rideau dru fait danser les feuilles du cerisieret l'herbe je l'entends causer si parfaite et si jeunedevant les applaudissements de la maison aux tuiles vieilles. S'ignorer fait grand tapagequand le poète ajustant son ramagese fait vendeur de la pizzaà ingurgiter encore chaude. Et si l'autre vous signifie une légère attentionne nous coagulons pas comme gélatineoù l'individualité s'efface et la personnalité piétine. Soyons un véritable puits d'amouren unité avec les femmes et les hommes de bon aloisoyons dans la solitude une conscience aboutie. 785
Das Pauschenpferd unter dem Garenne-Flieder setzte seinen Weg fort Tropfen für Tropfen aus einer aufsteigenden Erinnerung ohne Wind mit der Sternbotschaft wo alles verschwinden wird ohne Wind die Liebkosung und das Maschinengewehr die Genealogie zusammenstellen auf dem Boden von Galaxien. Die Eskapaden werden verschwinden und sogar die Texte werden Herbstreben sein Überquerung des Bois de Vincennes zur U-Bahn, ohne dass der Wind weht bei steigender Flut moosig mit leuchtendem Schaum Staub, den die Alten säten vor dem Scheunentor in Reichweite von Kindern dass der Karussell-Micky vor Freude hüpft. 784
Plissons les yeux mais légèrementsur la Comté de nos amoursau plein emploi de soi-mêmeque le Soleil élève dans l'énergie du Regard. Soyons les messagers des Dieuxnous les farfadets de la transeles porteurs de colère de notre époqueles sens en éveil assumé. Marchons sur les braises ardentes de l'incomplétudenous les hommes et les femmes aux lourdes chargesque même l'inattendu stimulequand viennent les déséquilibres à rattraper. Dans les entrailles de la terre ombreuseoù le grand feu des instinctsrencontre quelques tisons de conscienceéteignons le foyer des promesses creuses. Au sortir de la zone d'achalandagele poète marqué par la fureur des épreuves traverséestransforme par magie le désordreen soucis du bien collectif. Ne raillons pas les Valeurset les souvenirs du monde d'avant. Ne méprisons pas le travail des petites mainsœuvrant dans le creuset des transmissions éducatives. Soyons les tisserands du jourquand le premier vent caresse fraîchement les blés. Évitons les affabulateurs et les joueurs de pipeauentraînant les ventres creux vers la misère et la noyade. Soyons aux marges de la collectivitéles possesseurs du flambeau de la vigilance. Soyons humbles et présentsles Serviteurs du Grandir de l'Être. 783
Les mains qui s'agitentsur les rondeurs du sommeilvident la mare de ses poissons d'argile. Trois petits tours et puis s'en vontles vies de nos frèresà la merci d'un crac vasculaire. La belle affaire ne se troque paselle est là-basau plus haut de soi. De l'herbe, des herbes, du végétalà sa porte il suffit de se baisserpour que tinte l'éolyre. Sur la mare gelée l'enfant avanceprécautionneusement le liquide en durne dure qu'un moment. Toc toc toc c'est moije vous aime tant et tantque j'oublie de vous le dire. Il arrive le momentoù la peau se fripemâchoire édentée sur le devant. Filer bon trainassis sur le strapontindes vertes et des pas mûres. Les parties de soi que l'on ignoreet qui vous font du tordlorsque la bise souffle. Se les mettre en capilotadeaccrochés aux patèresles lendemains qui chantent. Plus de père plus de mèrerien que la terre qui bruitwenn die Störche vorbeiziehen. Survenir revenir parvenirun nid sous le toitune hirondelle entre toi et moi. D'étoupe et de souffrenous allumâmes la mèchepour que page se tourne. Au vol au vent des effigiesquoi de plus élégantque le sourire après l'amour. Se joindre et emboîter le passur le chemin de halageà tout âge en tout lieu. Ces cailloux làces mots ses imagespour retrouver la maison. L'horloge claque ses secondesdans le silence de la nuitque le poète cloque d'amour décrit. Fissures dans les mursoù passent les lézardsaffine sa perception de l'art. Maugréer n'est pas de tout reposil y faut de la niaqueà coups de pieds aux nues. Me dépêcher pour rentrerMaman sera là près du feu de boisà boire sa tisane verveine oblige. Traces des mots dans la neige fraîcheallument le fanal des perles contenuesdans le chapeau de la maraude. Écorner la pagepermet la lecture à la repriselorsque loup y est. Se suivent se ressemblent s'assemblentles joies et les peinesen capacité d'émerveillement. 782