A plein poumons j'ai humé la note cristalline du ruisseau et le chant des oiseaux près des grands hêtres du château. Ô mère des solltudes que les gens sont bruyants dans la plaine où les forges ronflent à poursuivre le temps perdu. Il y eût de bien belles fêtes quand glissants sur le plancher chemises strictes et pantalons pré-déchirés des mains se joignaient dans l'azur. Ce serait pire de cueillir quelques fleurs derrière le barbelé pour franchissant le fossé arraisonner le monde des permissivités. Farouches et enclins à la dérision nous cheminâmes en vaticinant où tant attendu l'enfance tintinnabulante par sa marche du crabe osait défier par d'étranges pitreries les "Incoyables" de la Poterne. 801