Bearbeitet im März 2024 , 309 Seiten, 100 Texte, 100 Fotos
Machikulation von Gnadenworten An der Haupttür der Emotionen Mach die kleinen Puppen Unter dem duftenden Baldachin der Feiertage Das süße Kind zu rocken.
Ich gebe zu, Cottage zu nehmen Bei meinem Freund der Dichter Zum gekrümmten Universum Beim Aufstieg aus dem Talsoire Die Pause des Geistes.
Mögen unsere Schritte auf Platten Brechen Sie mächtig Der Gewohnheitskodex Und vorschlagen der Fräze Die dunkle Ermahnung unserer Lektionen.
Bearbeitet im Oktober 2013 , 265 Seiten, 105 Texte , 105 Fotos
Worte von Zeit zu Zeit
Schmetterlinge Zickzack
Nahe
Willkommen und sammeln
Transparent
Gewesen sein
Sei
Zu sein
Resonanz
Dieser zusätzliche kleine Charakter
Vor dem offenen Bildbuch
Freuden, Liebe, Freundschaft, Natur
Und viele schöne Dinge
Für ein exzentrisches Glück
Schwindel der Erinnerungen
Das Herz auf der Alarmbereitschaft
Auf der Oberfläche des Gewebespapiers.
C’est arrivé De lever le bras Pour transmettre un dernier message.
Comme c’est étrange Ces phrases qui s’infiltrent Pour garder le silence.
Le silence pour le silence Comme à la radio Au travers de la neige.
Un souffle de vent Puis le ciel bleu Dans un frisson d’automne.
Je t’écris de mes mains Ombre d’un dernier message De mon navire en perdition.
Bonjour Comment vas-tu ? Tout ça reflété dans le miroir.
Longtemps Je me suis heurté au mur Et les mots ont pollué la connexion.
S’infiltre Entre les nuages Le refusé de la question.
Qui suis-je ? Une doublure du vrai moi Sans que l’oiseau se pose.
J’ai dix doigts Et ne sais qu’en faire Si ce n’est de prendre la fuite.
Du fond du cœur Dans la percée d’un jour meilleur J’ai oublié mon papier d'Arménie.
Serait-ce ça Être ou franchir Les canaux de l’agir.
Sagesse entendue Au pays des morts L’homme est bien petit.
Paroles d’ombre Disposées en couronne Sur la pierre des mystères.
Pas de réponse Dans ce monde de chaleur humaine Seule la poitrine soupire.
Devant les larmes de sang Sans un écritoire à disposition La source se dérobe. Je viens d’une autre terre Dont la lueur est faible Au bureau des rêves.
On frappe à la porte Les pines de pin piquent l’aube Il est temps de jeter la grosse enveloppe dans la boîte aux lettres.
La veille au soir Mon crayon s’est cassé Comme l’aiguille du compteur bloquée dans le rouge.
Affiner n’est pas chose facile Quand faiblesses et défauts Proposent de tout jeter.
Quelqu’un écoute Le rencontrer serait fabuleux Jusqu’à recouvrir les nuances individuelles.
Toucher la pensée par nuit noire Précise à huit centimètres près Que la mire est au fond du couloir.
Cicatrices blanches à la base du cou Produisent haute silhouette En fond de cour.
Effet d’halo Un homme est là Qui se débat violemment dans mon ventre.
Elle-même Qu’on aille à sa rencontre Flétrie des on-dits de la mémoire Elle écarte l’imprévu D’un doigt Hors du cadre de l’éveil En ablation de la vision Retournée comme enfant au verbiage Usure de l’instant Contre le mur d’un retour Sans éclipse Comme s’assoir à même la pierre Étoiles des cinq navires associés Aux guipures de velours Lourds de poussière affinée Éternel retour La poésie se blesse à nous Acte cassant hors du sommeil Festin sans épilogue Au soleil éblouissant D’une musique mugissante Qu’un feu d’herbes sèches assèche Faridondaine des amours de toujours Parodie de Vérité aux précautions terribles Entrant en gravité Tel l’oiseau à tire d’aile vers le crépuscule D’un jour nouveau À la teinte océane Horizon d’arbres et de cognées Posées au centre de la nuée Au vertige d’éclipses Échancrant la pensée Missiles gavés d’hybris Annonciateurs de l’ouragan Fulgurant Et pagayant de guingois Sur un monde mort Sans laisser de charnier Sous l’ombre de la Cité Passage obligé D’ici et d'ailleurs La lumière qui jaillit de la nuit.