Grand-chat des jardinsoptimisant la naturede ses pattes de veloursfranchit la coupée. Ivresse des cimesescalade des coursivesle chapardage fût à ses yeuxoutrage d'un silène ventripotent. Se rassembler avec innocenceêtre de guingois sans hâterendrait l'ouvrage fissuréet l'amarrage aléatoire. Écorçage du troncdes doigts de sangsur l'éponyme traceboursoufle la corne des suçons. L'instant passéle cœur à la rueles deux mains se joignenthors le grand large visible. Puisant l'eau douceà lèvres murmuréesl'éternité immenseregorge de cristaux. Mauresque évaluationd'un visage trop jeunedevant l'antenne imprescritenous nous mîmes à genoux. Pommadé aseptisé courtiséchemise déchirée au vent venantvîmes par l'embrasurel'envol terminal des corbeaux. Grand-chat des jardinsoptimisant la naturede ses pattes de veloursfranchit la coupée. 687