Conscience d'être ceriseSouffrir de tant de conscienceSourire du noyau à la pulpeQue me soit donnée l'âmeIrradiante âmeAu sortir de cette déchéanceParfois souffranceEn illusion de tant d'absencesCoagulées au mirliton des afflictionsEn rachat d'une tristesse humiliéePuis vivre éternellementChêne liège naisseur de peaux parfuméesEn sudationTraces de laves pétrifiéesAu soleil qui verse la nuitAu cœur même de la beautéRencontrer l'ours du pays des graminées souplesPuis disparaîtreLa partie saine propagée en épilogueAu filtre du silence . 280