Ndakarambwa here ? Ndakabviswa zvachose muguta ? Ko gonhi remusungo harizarurwi here kumativi edombo et cet être énigmatique m'enjoindra-t-il de le suivre ? Je le suivrai muMaze kuvhenekerwa nechiedza kubva pasina .
Kuchimbidza nhanho je trébucherai sur les aspérités du sol kutya kutadza kumuona .
De part et d'autre à l'avenant d'un participe présent je fais mien le " qu'en dira-t-on " des choses de l'esprit mais sans nuire à autrui .
D'autre part je racle les fonds de casserole en crédence je pose mon vertige sur le pas des portes j'argumente en ronds de jambe .
Je maugrée parfois sans l'ombre d'un doute mais choisis mes flèches pour qui de droit à l'envers des atermoiements .
Passé le moment de dire je crêpe de noir la nature bafouée je frissonne sous l'averse et fausse compagnie pour dire peu avec peu de traces afin de pas rouiller l'avenir .
Que dirait-on de moi à mi-mots des choses encerclées au carrefour des timbres millésimés si je m'offrais en cadence accélérée au miroir du pas de l'oie .
" Passez votre chemin , y'a rien à voir " .
Et si revenant en arrière l'homme qui pense s'inscrit dans la romance il y aurait sur le linteau de ma fermette ces mots de glaise , ces mots d'amour :
" Arrêtez-vous , prenez votre temps , y'a tout à voir ,entrez dans ma caverne cruche oreille et Saint Esprit de mon ventre en poésie rebellez-vous tapez du poing apostrophez le patron mais jamais , ô jamais , ne manquez l'écoute du verbiage des souris du lieu " .
Un cirque de montagneavec devant soi le déploiement de son histoire .De perplexité en désarroidemeure le vague à l'âme .Une maladie du corps à corpsavec en dérobadecette habitude de ne rien voir .Les hauts sapins inaccessibles à la tronçonneusegreffent le musc des mouflonssur la sente parcourued'un matin bitumineux .Je sais que guérir n'est pas chose facile ,que guérir le mal par la sourceest semé d'embûches .Nous risquons alors de surseoir aux erreurs grossièrespour en révéler d'autres plus insidieuses .Il est des perspectives sans issueque le charme d'une idée baladeuse séduit ,et rend propre à la consommation du chercheurplus apte à cueillir la fleur qu'à la laisser grandir.Le creux de ma main recèle ences jours de deuilles perles de rosée d'aujourd'hui ;transformation où les gouttes d'eau clapotentsur la houppelande du berger .Accéder à l'illimité de sa visionoblige à l'arrêt devant ses propres limites .Il est préférable de rechercher ses défautsà petits coups d'intelligence soyeuseque d'exploser le cadenasdes choses invisibles ,qui seront éternellement voilées .Le défait d'un lit se mire dans un ciel de traîne ,à reculons des plaisirs mondains .Sur le sentier de cailloux , de végétauxet de flaques d'eau mêlés ;dans la fraîcheur généreuse du sous-bois ,I advanced ...quand soudain des branches craquèrent ,des pierres roulèrent ,le temps balbutia ,une odeur de suint mouillé s'éleva ;bere rakanga richikunguruka richidzika nemateru ...achitiza sebhururu munda wechibage .Ndakanga ndiri mukugamuchira .Munyengedzi weAsingaonekwi akaberekachii chakasara pachinangwa chake .Saka kuzvikudza kwakapfuura, shanje, kukara ,ipapo iya yechishuvo chakavanzika chokuva wenhaka simba , kozotizve izvo zvechido kuti zvizivikanwe , to dominate ,kutaura pamusoro pezivo yakadzikama uye akamutswa ,kuti tikwanise kutumira ruzivo rwedu rwakaunganidzwa ,kune akakodzera , nos enfants aveuglés .Mudungwe hauna kupera ,kugomera kwevakakuvadzwavakakotama pasi penguo dzavo dzakabvarukaakauya achimhanya achibva kumativi mana esangokumuviri neropa rekuzvarwa patsva .Chiono chimwe uye chekupedzisira .Chemai madzitateguru eduau creux des souvenirs éteints .Le souffle apocalyptiqueabat les temples .La soupe des originesagrège de prime manière les accordsd'une musique légère .Nouvelle forme que prennent les atomesdans leur bain de lumière .La Vérité est au-delà de toi-même .Elle attend ,inouïe dans son principe ,et c'est elle qui te guide .244