En lisière de forêt hupenyu la vie secourable la vie en offrande la vie giboyeuse en amitiés la vie qui se faufile et que rien n'arrête Un carré de verdure où poser ses pas une échancrure si fragile que le regard même trace les courbes de l'avenir Une flaque d'eau D'avoir marcher devant soi vers la nuit libère l'espoir de ses convenances Reste un sillon de lumière où béance tenante choir sans retour arrière sans pomme de discorde une corne de tendresse en plein cœur.
Le chien couraitsur le chemin des bergèresentre les fougères accoutumées. Navré de devoir frapperun si bel hommeà la carotide. Maman devants'était éloignéeen simulation d'être pressée de rentrer.La pluie se fit cinglanteet piquait le visageune brume nous recouvrait. La marée était montanteon entendait le ressacfrapper les dalles de granite. La jetée était déserteun marin dans sa petite embarcationgodillait fermevers un cargoancré entre les jetées du port. ( peinture de GJCG )502