A trois, renverséassez seul pour ne l'être jamaiscette avancée de couleurs à contre courant de l'énergie muette .Le vrai guérisseur ne s'embarrasse jamais des sources de son donil est, Olacakil est de tout âgeveilleur de l'autreadepte de la différencepasseur de la clôturesa main magnétique se pose sur le cœur de celui qui demandeet tout irradiede par la flèche si légère dans cette mainfermeil est le calligraphe de la foi .Ici,j'acquiers, je devienset à s'y prendre je me méprendspour être infiniment seulà se souvenir des origines trinitairesà détecter les nappes d'eaux vivesà écrire l'inentamé sur les yeux clos de l'aiméau vent divin il demeure .Ici, personne n'est en haleine d'êtrerien que de la grenaille au fond du puitsjuste permettre hors apparenceau souffle de devenir trace,trace vivante des ombres et des lumièrespour qu'à l'aubelever le voile de l'épouséepasser les portes de l'oubliet neige éclose l'espace de nos nuitsoser le pas de troisun libre courtun commencement.
(peinture d'Elianthe Dautais)192
Écrire comme si on disparaissaiten cette usurepierre à pierreoù construire l'impact de la brûluredu regard sur les mots morts .Accumulation du verbiagesans choquer les contingences .Indifférence sans pli et sans coutureinondant de lumièrece que l'autre offre ,ce que notre peau de chairdonne en pâture à notre peau d'ombre .Menaces ,étincelles d'entre boue et ivresse ;se faire tremblementen totale allégeance à l'amitié,sans abondance ni oubli ,atteindre l'autre rivede joie et de tristesse mêléssur la jointure obsidionalede ce qui sursoit ,vers le résultat précieuxoù vanités excluesse fracasser sur le corps de l'écriture .189
Énigme du Grand Silence en posture aléatoire quantique résolument notre , en cette possibilité de convoquer l'infiniment actuel , l'infiniment partout , l'infiniment non existant , en soutien du respect dû à cette Nature si libre , si fragile , si monstrueusement violée , par l'oeuvre du serpent biblique apte en son rôle malin de faire éclater les asymétries à des fins de destruction .
Il est des nuits où se parant des flammèches d'un arbre de rencontre pourfendre les nuages de l'incohérence avec l'épée de la parfaite compréhension et effectuer aux confins de l'intelligence universelle les amples moissons de l'émerveillement .
De plus, ils sont passéssans omettre les vraies valeurs.Ils ont cherché, ils ont trouvéla semence du semblable.N'ayez crainte du récit en sa simplicité,soyez de mèche avec l'indicible.En face du trésorils se hâtent et lui crient leurs attentes.La trame se déferaitsans préparation, sans repentance.Au repas, des chants nouveauxle monde nous appartenant.Une longue histoire d'allianceentre le fonds et la forme.Les superstitions n'ont guère de substancesans le dégoût de la connaissanceLe deuil, la tristesse, l'oubliun champ dévasté par l'inondation.Dire faussement du mal de l'autrepuis s'en aller à reculons.C'est simple, c'est clair, c'est concret,les vrais pâturages de ton cœur.Les coulures de goudronsont les pleurs des tempêtes passées.Ma main, d'un reflux acidejamais ne jugera.En conséquencetoute réminiscence est oeuvre destructrice.Les sacs de cendres se sont ouvertsà bon port.Ta voix s'est fait entendrevoix miroir de mon visage.Ta voix planait sur les eaux,un don à recueillir.Ta voix,porte-greffe de la plante fragile.Ma voix, mon ange,derrière les friselis de ton rire.Si la mort creuse le champ de la désolationelle ouvre en même temps celui de la communion .Communion des âmesaimantes et aimantantes.186
Boule des songes des cultes à mystères de paillettes amputée virevoltante .
Pendule de Foucault sur la tête des fidèles couronnés de laurier et portant le ciste.
Orage ikebana des lumières au bout des tiges de fer forgé cliquetis de l'ensemble chants cristallins des rencontres océanes le flux des ondes repousse la poussière s'octroyant une pesée dernière des âmes sépulcrales sous les cimaises punaisées par ces temps de romances aux myriades d'insectes surgis des coffres de l'oubli aux olympiades des jeunes corps sachant rendre leur souplesse aux chercheurs de secrets .
Mon âme éternelle si prête déjà de la source des origines .
A petits coups d'ailes parfois se reposant sur une queue fourchue les mufles s'accordaient. Campés sur leurs sabots le corps lourd ils bombaient le torse. Salis par les mucus échangés leurs gueules nourrissaient de profonds rictus. Les ailes brassaient la lumière pour quelques confusions passagères faisant s'envoler la poussière des anges. La larve et le taurillon faisaient foi de vie leur suint ostensiblement odorant. Les yeux injectés de sang ricanaient d'avidité pattes et sabots cliquetant une bourrée. " Viens l'animal et me dit à l'oreille que le temps est venu. Qu'étendre ces conflits au monde des entrants permettrait de signer l'absence d'origines. Que d'un saut de puce à un autre saut de puce la montée en puissance de la connaissance ferait tâche de sang sur la patène. " N'était cette danse à la vie à la mort serions en élévation Biz les étoiles de la mélodie à venir.
D'entre la circonvolution et l'échappée le son grave des trompes scandinaves lève la brume .
En marche , les lumières géométriques caressent le grain de la toile .
Les écoutilles ensablées à fleur d'eau laissent passer les naufragés .
Par la fenêtre un soleil aiguisé annonce le jour qui point ; Libres montagnes couvertes de neige les mains se tendent ; petite flamme au fond des cœurs .
Avancée sous les fresques de la nef vers le saint des saints ; les cloches sonnent à la volée .
Artık beni üzmediğin ve seninle ilgili hatıralarım yaşadığım çile içinde kaybolduğu için, yaralarımın iyileşmesine yardımcı olan bu duvara yazılan yeni huylarımı tanırsan minnettar olurum..
Ahududu bardağı umuduna karşı kaldırılan parmak,
ileride incelik direği. Ben ilerledim ve bu yarış beni
şimdilik cehalet terimi, güçle kuşatılmış beller, incelemek
yaşıtlarımla, evren ırkı olarak, yeryüzünün sessizliği
kim titriyor.
Bu kadar kuraklığa ve sele neden olan felaketler sayesinde
Yıkılmış ormanlardan geçtim, bayılmadan
şefkat alevinin himayesinde yolumun yeşilliğini yazar
bin tefekkür mumuyla taçlandı.
Bundan böyle birliğin perdelerini artık yırtmayacağım.
O'nun saltanatına bağlanmak ; ve erken kalkardım çiçekleri dağıtırdım ve
şiirin bu davetine katılmak için ıstırabın açık yaralarını
sıradan yaşamın çerçevesini kırın ve kutsal simgenin arkasını keşfedin.
dikkat sonsuz bilgelik olur, şefkatli aşk senin adın kadar net
dirilişin beyaz dudaklı ısırığı altında yayılan.
Kan fonunda küçük beyaz noktalar olan bardaklar var.
cömertlik ulaşamaz. Ayrıca doğmak ve güneşten önce şafağı yumuşatmak
Senin büyüklüğün, bizim sınırlarımızın ötesinde doğmak için bu katı çabayı ancak destekleyebilir.
her gün bizi gerçeklerimizi inkar etmeye iten akılsız faaliyetler
doğa ve hedefi kaçırma.
Aşırı güç tarafından ateşlenerek bizim koridora girdim.
tanışmak. Nedeni değiştirmek için acele etmişti
bir deri tunikli adamın aşırı zayıflığının iniltileri,
imhanın ızgara eti. Olmak, girmek için kanatlarımı nasıl katlayacağımı biliyordum
kutsalların kutsalına girmek, için ayrılmış geniş konsolosluk odası
müsrif oğlunun dönüşü.
Yapı sarsılmaz mı, sarsılır mı bilmiyorum.
Son seansta sonsuz yaşamın tadında gözyaşlarımızı tutalım.
akşam karanlığı sonunda mise en abyme'nin nazik elini okşayacağız, o
kim şefkatle ama sıkıca, ve tüm sonsuzluktan, bizi arayacak
işimizi tamamla.
Bir kez özgür olduğumda, gizemli temasa izin verebilirim.
neşe saçan gürültülü kalabalıktan gelen beyaz tunikli varlıklarla
iletişim, değerli olanı verme umuduyla insanı sevindirir.
Kalbimizin iyilikleri nihayet ruhun boşlukların boşluğuna yükselmesine demirlendi
sonsuz.
Ağlama. Bakışlarını yüksek yapraklara kaldır. olmak
hava ile işbirliği içinde. Geldiğin toprakları görmezden gelme. Kapalı
kapı benden sonra. yürümeye devam et. Baktı. sen olabilirsin
copu tesadüfen yol ayrımında geçirmek için Öteki ile tanışın
hüznün gülüşünde.
L'Esprit est ce qui engendre, transforme, met en œuvre les idées. Il est l'apport extérieur dont on ne sait d'où il provient, et qui peut même provenir de l'intérieur.
Le Réel est l'ensemble de toutes les "choses" qui existent ; il est la chose qui contient et lie et met en œuvre toutes ces choses. Il est le kit reconstitué et qui fonctionne.
Il n'y a pas de réel sans idée puisque ce qui est réel a forcément une forme : l'informe pur est le néant. L'information est au point de complexification du contact avec la matière une sorte de pulsion subliminale venue d'ailleurs et qui pourtant fait poids. Le Réel est donc Esprit ; le Réel est un Esprit qui pense des idées, y compris l'idée de substance par laquelle les idées s'incarnent en choses pour les consciences particulières qui participent de cet Esprit.
Ici sur la photo, il y a les choses qui semblent exister, mais qui pour vraiment exister, c'est-à-dire se pourvoir vers l'extérieur - ex-istere - et se montrer, ont recours à l'Idée, composé complexe rassemblant l'observateur, son intention et l'outil appareil photo. Ainsi la scène prend forme avec l'Esprit débarqué par la sollicitation active de l'inventeur plasticien. Et c'est à ce point que l'on peut parler du Réel. Un Réel, composé de matière ou substance ou chose, d'Idée sollicitante et de l'Esprit.
Du Réel à l'Esprit il n'y a qu'un pas propice à un changement de niveau de conscience, à une stimulation de la raison en vue d'être là, en accord non duel, pour faire un pas de plus.