Gerilim geliyor duygusal unsurlar beton şap buğday başağı ezmek. Gerilim geliyor yeni gerçekler dalgaların çukurunda une mousse superbe. Gerilim geliyor derinlerde bir arama daha fazla şekilde. Gerilim geliyor doğanın döngüleri sırasında serin bir bulut témoigne des migrations. Gerilim geliyor kendini arkadaşlarınla çevreleme hakkında sadece mikrop mu zayıf yönetim. Gerilim geliyor kalbin engelleri ne zaman cèdent et déversentsaçmalık ve ilgisizlik. Bu gerilimlere hoş geldiniz onların gerçekleştiğini o dağınık atlar styx'ten gel. hadi masa örtüsünü uzatalım tatil masasında gerçek ekonomik enstrümanları taçlandıralım üretken sürü.fitil olalım birbirimizle tanışmaktan bilgelik içinde sürekliliklerin defteri olalım. hadi çağrı olalım açık gözler imkansız mümkün oldu derin eğilimlerimizin evliliği. İz ve ışık olalım hedeflerimize ulaşmada adil kota mevcut à notre vie quotidienne. 251
bedenim parçalanıyor ışık yamaları dersin sonunu silmek. Maddi olmayanın hilelerine inanıyorum kalıyorum. bir tırıs menüsü biçiyorum Fındık , badem ve çilek aklın ormanlarında. Gülümsemelere ve hareketli dudaklara hoş geldiniz hassas karşılaşmalar yaparım boyun çevresinde geceleri görülebilen bir kolye. Otları ve ateşi kestim bir kalp ve ruh okşamasıyla kolyedeki harika zamansız olanı sakinleştiririm ve akbabaları besle. bir dava ile ilgileniyorum bana bankalar arasındaki bağlantı akıl almaz unutkanlığı izliyorum paradokslar ve mitler. Hayatım inanma yeteneğidir daha yüksek varlıkta gün katılmadan. Korkunç düşüncelerden önce radikal yıkım öneriyorum zulüm görenlerle tekil bir yakınlık içinde. ilgili mesaj yok bu onun özgür kararına atıfta bulundu mayın temizleme makinesi çalıştığı sürece. Pazar pazarı artık açık değil indirimli tezgahlar karnabahar sapları arasında temizliğin yaşayan suyu olarak kalır. sayfa çevrildi dikkatlice tırmanıyoruz sabahın erken saatleri güneş kardeş içgüdülerin demetinde metamorfozun parlak parlaklığına doğru. 250
Saten elbisedeki ışık titreyen çiçekler küçük sis jetleri ile tüketir bir sonbahar gününün biten baş dönmesi .
sayfa döndü geçmişin mermerine yansıyan endişe çok kez kutsanmış unutmanın başarısızlığından .
Kuru avuç içi boşluğunu ortaya çıkarır nazik okşamalarda ağacın pürüzlülüğünde açık göğüs şemsiyeden patladı rüzgarlarla birleşen sarılı pirincin şafağına doğru .
o harika memeler çatırdayan cıvıltılarla perde kalkmadan düğün partisi şamandırası .
Tüm romantizm nadir bir incidir tüm gülümsemeler bir güneş ışığının tutuşunda geceleri emekli olur ebe kurbağanın çığlığına .
Reflux de la mer avant un dernier saut le béton se fissure claquent les veines de verre sous la griffe salée les ferrures gémissent les oyats divaguent ce que racontent les marins aux temps lointains des terre-neuvas morsures d'un froid tenace le vent arrache les arbres les boues emplissent les fossés les barges se soulèvent les bouées volent en gerbes d'écume le long de l'estran les vagues claquent la digue les lisses brinqueballent le sable emplit le moindre trou le ciel se fait tohu-bohu en cette feinte d'estoc les mouettes pirouettent au profond du blockhaus la nausée aux lèvres un cri inouï de silence les heures sont bulles de savon cavalcade effrénée les chevaux caracolent les galets fricassent en surplomb du bastingage corrigeant d'un trait de plume l'œil des souvenances l'ombre se fait surface les creux emplissent de leurs suçons de vase les plate-bandes de la plage naissent brisures de terre les crocs de la bête écarlate en son outrance recroquevillée et mal aimée sale et refoulée rebelle et courroucée exposée aux quatre vents n'étant plus que souffle une charogne la plaie offerte en bordure de bocage aux nervures fossiles roulent les tambours craquent les lucioles sous le talon rempart contre le bitume effondré l'amertume d'alternances noires et blanches kendini yakalamada la mort dans l'âme .
De part et d'autre à l'avenant d'un participe présent je fais mien le " qu'en dira-t-on " des choses de l'esprit mais sans nuire à autrui .
D'autre part je racle les fonds de casserole en crédence je pose mon vertige sur le pas des portes j'argumente en ronds de jambe .
Je maugrée parfois bir şüphe gölgesi olmadan mais choisis mes flèches pour qui de droit à l'envers des atermoiements .
Passé le moment de dire je crêpe de noir la nature bafouée je frissonne sous l'averse et fausse compagnie pour dire peu avec peu de traces afin de pas rouiller l'avenir .
Que dirait-on de moi à mi-mots des choses encerclées au carrefour des timbres millésimés si je m'offrais en cadence accélérée au miroir du pas de l'oie .
" Passez votre chemin , y'a rien à voir " .
Et si revenant en arrière l'homme qui pense s'inscrit dans la romance il y aurait sur le linteau de ma fermette ces mots de glaise , ces mots d'amour :
" Arrêtez-vous , prenez votre temps , y'a tout à voir ,entrez dans ma caverne cruche oreille et Saint Esprit de mon ventre en poésie rebellez-vous tapez du poing apostrophez le patron mais jamais , ô jamais , ne manquez l'écoute du verbiage des souris du lieu " .
Un cirque de montagneavec devant soi le déploiement de son histoire .De perplexité en désarroidemeure le vague à l'âme .Une maladie du corps à corpsavec en dérobadecette habitude de ne rien voir .Les hauts sapins inaccessibles à la tronçonneusegreffent le musc des mouflonssur la sente parcourued'un matin bitumineux .Je sais que guérir n'est pas chose facile ,que guérir le mal par la sourceest semé d'embûches .Nous risquons alors de surseoir aux erreurs grossièrespour en révéler d'autres plus insidieuses .Il est des perspectives sans issueque le charme d'une idée baladeuse séduit ,et rend propre à la consommation du chercheurplus apte à cueillir la fleur qu'à la laisser grandir.Le creux de ma main recèle ences jours de deuilles perles de rosée d'aujourd'hui ;transformation où les gouttes d'eau clapotentsur la houppelande du berger .Accéder à l'illimité de sa visionoblige à l'arrêt devant ses propres limites .Il est préférable de rechercher ses défautsà petits coups d'intelligence soyeuseque d'exploser le cadenasdes choses invisibles ,qui seront éternellement voilées .Le défait d'un lit se mire dans un ciel de traîne ,à reculons des plaisirs mondains .Sur le sentier de cailloux , de végétauxet de flaques d'eau mêlés ;dans la fraîcheur généreuse du sous-bois ,ilerledim ...quand soudain des branches craquèrent ,des pierres roulèrent ,le temps balbutia ,une odeur de suint mouillé s'éleva ;l'ours dévalait la pente ...fuyant tel un bulldozer saccageantun champ de maïs .J'étais cloué sous séquestre .Le séducteur de l'Invisible mettait basce qui lui restait d'intention .Alors passèrent les diablotins de l'orgueil, de l'envie, de la cupidité ,puis celui du désir secret de faire partiedes puissants , puis encore celui de la volontéd'être reconnu , de dominer ,de discourir sur les connaissances subtileset élevées ,afin de pouvoir transmettrenos savoirs accumulés ,à qui de droit , nos enfants aveuglés .La procession n'en finissait pas ,les gémissements d'êtres blesséscourbés sous leurs hardes déchiréesaccouraient des quatre coins de la forêtvers le corps et le sang de la régénération .Vision une et ultime .Pleurent nos ancêtresau creux des souvenirs éteints .Le souffle apocalyptiqueabat les temples .La soupe des originesagrège de prime manière les accordsd'une musique légère .Nouvelle forme que prennent les atomesdans leur bain de lumière .La Vérité est au-delà de toi-même .Elle attend ,inouïe dans son principe ,et c'est elle qui te guide .244
Dis ce que dit l'ami mon allié des frayeurs et des rebellions Souffle lèvres contre lèvres la parole phylactère montre de ses mains généreuses lesportes qui s'ouvrent .
Ne t'étonne pas il fait jour les oiseaux grésillent sous le soleil naissant nul autre ne saurait abandonner cet envol nourricier hors de toi-même .
Laisse monter la sève du profond de tes racines échange la coupe de vin jusqu'à l'ivresse nous délivrant de la raison . Saisis le talisman sans poser de questions resserre tes doigts sur le cou du démon sans le quitter des yeux .
N'est-ce-pas cet espace d'entre les êtres espace des âmes en voyage que toute chose éphémère requiert à qui sourit le cœur-cri du colibri .