
As torres de vigia vão acabar
nos échos lointains entendus
durante o sim do esquecimento.
Delicado por muito tempo
as olheiras do verão
passar as nuvens para a casca de noz.
Da noite envolvente
Boatos sinalizam a presença
da falta de narrativa.
363
As torres de vigia vão acabar
nos échos lointains entendus
durante o sim do esquecimento.
Delicado por muito tempo
as olheiras do verão
passar as nuvens para a casca de noz.
Da noite envolvente
Boatos sinalizam a presença
da falta de narrativa.
363
Peso mosca pintado
em escárnio da realidade
porta aberta.
Mãos se juntam
lista de lábios
fora de vista.
Meu NOME em letras grandes
fuga desesperada
passos batendo na ardósia da escada.
364
Ne cherchez pas
não durma
soyez la vigie éternelle.
D'un pincement au cœur
si la vie fuit
soyez le gisant de vos nuits.
Les créateurs sont durs
les solitaires sont vides.
Qu'il est bigarré de vivre.
365
Ces mains d'envie tenaces
poursuivent la question
sans que réponse vienne.
La fleur qui ose
clame son existence
à contresens du chemin proposé.
Purement fictive
la garde n'est pas relevée
sans l'appel du petit matin.
366
L'Art se chauffe des éclats de voix
en retombée des belles phrases
la nuit promise est susurrée à l'oreille.
A l'aube nouvelle
nouveau départ
entre doute et certitude.
A cheval sur le parallèle
le franchissement du gué
se fera malgré nous.
367
Cette poupée contre le mur apparue d'un clin d'œil mâche la déraison à dents crûes. Reviens le banal en sourdine sur le revers du veston papilles sèches mains dans les poches. Marchons relevons les clôtures sur la neige soyons ivre du vin à venir. 368
Minha mão no banco de madeira
veias versus alvéolos
a pedra ilumina o lençol branco.
Para implantar-se
dê alguns passos
no local.
Os lobos voltam para casa
ponto de traços frescos
apenas uma lanterna à distância.
369
Malgré lui, tenso le poitrail offert son œuvre fût amande fraîche. Chuintements à la porte la vaisselle s'entrechoque les mouches bousillent sous la lampe. L'enlever fût fait de preste manière ivre de rires à l'encan. 370
Défilent les nuages blancs
dans le ciel de Lozère
la neige a goût de nacre.
Au simulacre des enfants perdus
la cloche sonne
se dispersent les communiants.
Virevoltante
la poupée de cire
passe la tête par la porte entrouverte.
371
De la pluie sur la barrière des pleurs dans ses yeux mirabelles la main posée sur la pommelle. Le temps en sourdine fait la sourde oreille en panique les mots fuient. Reste par la porte ouverte la saison des flammes sèches. 359