yürüyüş yapmak Sur le chemin entre les blésPiquetés de coquelicots, yaban mersini ve papatyalar Houppes céréalièresQue le vent peignait, D'amples ondulations, Vagues d'un océan bruissantExhaussant le vert tendre des épis. kendi kendine hediye vardı L'abandon à la natureLa vie dans son mystèreEn sa sainte coquilleAu gré du sourire d'un soleilClignant des nuagesÀ mesure de son avancée. çapa vardı De la maison de pierres noiresVaisseau familial arriméEn bout d'horizonDerrière la ruine des Matillou.ısı vardı Du grand'pèreDes parentsDes enfantsTissantLes paroles de siesteEntre journal et tricot. " Il faudrait planter un frêne pour avoir de l'ombre. " yapıldı. 329
En descendant l'escaliercamdaki beyaz lekeler her gece adreste poz verdi. Sonsuzluktan hariç tutuldu uzaya karşı boş karşılaşma biçimleri ben yazı tipi aşırı soğukluk alçakgönüllülük çakılları sırlar kutusunda saklanan. terk edilmiş yolun kenarında yağmurlu havalarda darmadağınık saç yazı tipi plumes d'ange verandadan sonsuz bekleme. cicili bicili topla ilahi kıyafet pour cacher ces blessuresreddedildim bastırılmış, pikselli şeffaf sudan tek aynam. iyi yapmıştım güzel düğünler vaat edildi babam mantar toplardı annem kiliseyi dolaşırdı kız kardeşlerim korse giymiş çekicilik ve tedavi olurdu karnaval şamandıramızda. Sonra karar geldi cama karşı kırıldı yansımada meleğin beş tüyü marquant l'absorption par le néantsadece tavaların altı kaldı beklenen yemeği aramak için d'une l'enfance retrouvée. ( Caroline Nivelon'un fotoğrafı )327
Visage regard appel à celui qui viendra de la mer élever le chapiteau des connaissances ourdies, à celui qui brisant le miroir permettra de remettre à leurs places les musiques anciennes, les accords frileux de l'ombre et de la lumière, de l'aube au couchant, à pieds nus sur le sable mouillé, mon âme si tôt venue, déjà partie, arabesque dorée, je tends la main au vent des attentes, mon petit homme, douce fleur des prairies de l'enfance.
Escarde lâche fichée en la serrure au vestibule des attentes balayer les pensées sans permissivité. De longs filaments descendant de la ramure pendent ultime verbiage les falbalas de l'outrance en régurgitation des moments de l'enfance.
Sabir époumoné contre la paroi des châteaux de Thérèse les cris et bosses sont rassemblés au grand bûcher des vaines suppliques.
De mille manières l'habit cérémonial enfle devant la tempête bulles si tôt éclatées pour une protection désuète.
De givre point juste le roman des choses secrètes par devant les yeux brûlés au papier d'Arménie où ceindre de lumière la nudité tard venue cet effort à partager le nécessaire ce moment de doute en creux de déshérence ce voyage incarné de l'écriture dernière.
Vaguelettes proprettesmenuet sur le tapis des songesl'organiste plombe ses noteslevée de poussièreaccumulation dentellièreeffraction par le milieudu céans de ces lieuxoffre cliquetanted'un moment de douteassis sur le banc de pierreen retrait du bras de mer. J'hésite et je prieque d'hybride manièrenous conjuguionsl'emploi des motsavec le temps qui passeéraflure tendreofferte en dérisionà l'expérience bouleversantedu plein et du déliéentre chair et mousse. 325
gölgeler biziz aşırı uçlarda ebeveynler ortadaki çocuklar.
Ve sonra köstebek yuvası beyaz mavi bir gökyüzü uzanmış bir el l'index vif oraya gidiyoruz bir şüphe gölgesi olmadan biz değilsek görüntü yapımcıları bir je ne sais quoi'nin sınırlarında. bilge çizgiler sessiz renkler soldan sağa kuvvet bir şükür çıplak dallarla tatlı bir günün .
Ölçülen derecelerle güzellik ve coşkuya katıl gerçeğin kıyısında büyüyen şeyin orada ne var meridyen anında.
Écarter les fûts de la forêt dégager l'espace de lumière pour limite franchie laisser l'arbre effacer nos mémoires. Avancer à la tombée du jour proche d'une nuit d'audace en accoutumance trouver à tâtons la nef des oraisons s'élever en perfection. Chargé de souvenirs sur le rai de soleil par un matin vibrant compter les grains de poussière virevoltant dans l'entre-ouvert des persiennes.
Gambade piano didgeridoo mélodie miel rencontre sorcière danse du temps révolu farfadets et trolls se mêlant aux senteurs océanes file le vent par dessus l'horizon la pluie cloquette animal escarboucle baratte la nuit d'ordres en déroute souvent la rébellion des choses si longtemps contenues avance rampante entre ajoncs et genêts les murs s'ouvrent file le vent évidant l'espace file le vent poursuivant les bulles ensemencées file le vent en son élan royal file le vent bruissement terminal file le vent d'avant le grand silence.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Depuis, silence, commémoration en temps de crise petite ébréchure sur la tasse l'ampoule électrique clignote nous sommes en fin de ligne j'ai ouvert le tiroir à pain me suis coupé tranche de pain beurre et fromage façon de faire passer la pilule.
L'horloge sonne les cinq heures le jour ne paraîtra que dans trois heures prendre un livre jusqu'à ce que fatigue vienne.
La cuisinière encore chaude dans l'ombre sur laquelle mijote un reste de soupe un papillon de nuit se réveille pour se cogner à l'ampoule.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Sur la grande table ses collages sa vie de trentenaire ses souffrances amoncelées un regard de biche perdue un paysage en trompe l’œil je froisse le tout ça réveille le chat se dandinant vers ses croquettes.
Souvent paraît que l'aventure passe par la rupture que l'on franchit sans se retourner offert à la nuit frissonnante du frêne animé par un souffle.
Vite, refermer la porte la pièce se rafraîchit enfourner une bûche dans le foyer.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Seul au pas de porte se trouver entre vivants et morts à la proue du navire couvrant un avenir incertain sous les patères du vestibule vêtements dépareillés par l'errance obligée .
Claque l'oriflamme le temps qui cogne offre ses parenthèses au crépon de nos plaies sans qu'apparaissent les coquelicots de l'enfance mariage éternel d'avant le grand chambardement .
Dans l'auguste fissure en attente du jour d'une marche lourde s'en va le vieil homme sur le chemin poussiéreux des souvenirs à venir accueil radieux se détachant du trop connu . Alors offerte cet embrasement des couleurs à pleines brassées aspiration enchantée de nos pas comptés sur le gravier crissant de la douce venue de ton sourire .
Kar altında kırmızı kir sonsuzluğun siyahı için vers le blanc des évènements. Uçucuları izler hareket kristalinin altında don çatlakları. Büyük Şifreli Yazı rencontrée parfoisdağların içinde. kenarda kaybolmak çocuk kalbine karşı güzel düşüncelerin şişesini sıkmak. Tüketmeden tüketmek yükseklik inanmak olurdu ve iyi görünmesini sağla. mürekkebin karanlığında uzay boşluğu var cette page de silence pure. güveler için nokta sadece isyan aktif toka. Unutuşun kaldırım taşları yankılanıyor geçiş dehasının tırıs menüsü sur le lin blanc du poème. Ça crisse sous les pasillüzyon damarları azaldı bir hava boşluğunun sıçramasında. kartları karıştır faire un grand feuaşk step dansıdır. ( Photo de Caroline Nivelon )321