Archivo de la categoría: Año 2013

Entonces, ¿qué realmente ?

 no se quien me dio a luz
 ni lo que es este mundo
 o quien soy .

 Veo estos años luz rodeándome
 y encuéntrame coit
 en un punto de esta inmensidad
 sin saber por qué estoy aquí y no en otra parte .

 No sé por qué este poco tiempo que me ha dado para vivir
 yace aquí a mis pies
 consagrado desde toda la eternidad
 en lo que me precedió
 y en lo que me seguirá .

 solo veo infinitos
 desde todos lados
 como remolinos de polvo en el rayo de sol
 como una forma borrada por la forma que sigue .

 Lo que sé
 es que me tengo que morir
 pero lo que no se
 es esta misma muerte que no puedo evitar
 y que me convoca a la vida
 como el hijo pródigo
 en los brazos del padre
 en este mundo de misterio
 donde la grieta de las promesas
 nos convoca a ser lo que siempre hemos sido
 en la cámara nupcial de los comienzos
 la sombra de tu sombra
 mi destino .


 167 

el tejido de lo psicológico y lo espiritual

El ser humano es ternario.. el es cuerpo, psique y espiritu.

Cuerpo, esto es lo que vemos de nosotros, el es débil y perecedero.

El psíquico es el nivel intermedio.. Él es el movimienot, emocional y mental. esta fluctuando. no podemos construir sobre él. Lo psicológico aclara las cosas.. Elimina obstáculos y puede poner a disposición elementos de autoconocimiento pero no de nuestro despertar, a ese estado de bienestar y unificación con lo que es, al final plenitud en el misterio insondable de lo que nos empuja en el fondo de nuestro ser, este impulso, este “verdancia” en marcha, tales como el diseña Hildegarda de Bingen.

El espíritu o la vanguardia del alma, o el corazón, es lo que está cerca y se comunica con los mundos superiores. La mente reconoce que es indestructible. Él es enorme, brillante y alegre.

El ser humano es como una lámpara de aceite. incluyendo el cuerpo de la lámpara, el aceite y la mecha serían sus tres pisos. la cuerpo sería el objeto de terracota de la lámpara, el frágil contenedor y necesario sin el cual el proceso de auto-crecimiento no comenzaría. Lo psíquico o psicológico sería el aceite., metáfora del movimiento, desde emociones, riqueza y belleza de ser, de lo que nutre. La mecha seria el espiritu, el mismo lugar que puede encenderse con fuego divino.

Todos estos componentes forman al ser humano en búsqueda de armonía con sin embargo una jerarquía entre ellos, la mecha ser espiritual el pináculo de nuestra búsqueda.

La mente es este lugar extendido hasta el infinito., esta luz, esa alegría que domina las inclemencias del tiempo de la existencia y todo los dolores del ser para encaminarlo hacia su realización.

166

( Texto libremente inspirado en Jacqueline Kelen )

Papá, Estás ahí ?

  


Papa tu es là ?
Papa t'es là ?
Tu as vécu en homme bon et généreux
93 y
en fidélité aux tiens qui te sont chers
93 y
de simplicité de modestie de silence même
93 y
de présence sur notre terre
reflet d'un ailleurs bien plus grand que nous
93 y
et puis rien
et puis nous
era
tes enfants tes petits enfants tes arrières petits-enfants
qui formons un microcosme dans ce grand univers
un monde en modèle réduit
un monde d'êtres en devenir
un monde en marche vers l'avenir .

Papa tu es là
ici
dans nos cœurs
en souvenir d'un temps passé ensemble
avec plein de moments qui remontent en surface
en rupture d'un passé révolu
en élévation d'un vécu à fructifier .

Dis Papa où t'es maintenant ?
Me revient ce temps où tu allais travailler à bicyclette
de Grenelle jusque dans les beaux quartiers
et que Maman disait
qu'on irait à ta rencontre
et que même sans te parler
même quand tu retenais tes émotions
même quand je comptais sur mes doigts
les additions et les soustractions
même quand je dessinais un cœur
sur la buée du carreau de la rue Saint Charles
je t'attendais .

Papa tu n'es plus de ce monde
paix à toi
en ce lieu éternel .
Et il y aura bien un jour
où nous aussi
nous disparaîtrons
et qu'on dira
si nous avons été formidables
si nous avons été détestables
car tout le monde sait com'on fait des bébés
mais sait-on com'on fait des papas !
D'avoir remis en marche ton être assoupi
en mon cœur rempli de lumière
j'exulte de mansuétude et d'amour
en reconnaissance de toi
mon papa à moi
notre papa à nous tes enfants
prolongeant par un simple détour d'être aujourd'hui en vie
l'obligation de poursuivre notre ouvrage
de ne pas craindre d'avancer sur notre chemin .
Faire
bien faire
faire ou se défaire
ne réduisons pas le monde
à ses aléas et à sa souffrance
il s'y passe aussi des choses magnifiques
et il serait criminel de banaliser ces choses
entrons en relation les uns avec les autres
raffermissons nos liens
collaborons célébrons gratifions glorifions la beauté
pour qu'en cette séparation d'avec toi, Lucien, qui nous rassemble aujourd'hui
pour que dans le tragique de la mort commune à nous tous
demeurer dans le recueillement
demeurer dans le silence
demeurer en cet instant de méditation
demeurer dans l'amour .


165

trois petites bougies

  Trois petites bougies
et que reviennent
le témoignage des heures passées en harmonie
le tressaillement des profondeurs de la création
la capture du souffle avant son jaillissement
la force d'un regard derrière la vitre
la présence subtile de l'être éternel
la marqueterie des souvenirs éteints
la perplexité effarée de l'illusion
l'éclat d'une comète à jamais advenue
le saisissement de l'apparence
le calme des gestes répétés
la romance des vieilles chansons échangées
l'au-delà des formes en instance de leur accomplissement
l'enchanteresse transcendance de l'instant
le calme devant cet être-là en partance vers l'ouvert
la blessure ressentie au contact d'une brisure de verre
le glissement des doigts sur une peau fraîche
la tradition perpétuée par les objets reconnus
l'expérience sans cesse renouvelée
le sable fluide de l'aridité nomade
l'éclos dense de la force sédentaire
la conquête de la matière en lumière d'être
la transparence de l'effusion de l'oeuvre aboutie
le lever du rideau devant le soleil
la montée en conscience vers le cœur du monde
l'intimité de l'être inscrite dans la loi
l'évidence des preuves accessibles à l'artiste
le brouillage des événements dans la brume rédemptrice
la restauration de nos terres intérieures
le long et humble travail de défrichage
la guerre contre les ombres
l'homme de bien en ses instances réparatrices
le teint frais de nos visages redevenus sages
la musique en ascèse contenue
la beauté en grâce d'être universelle .

Être vivant dans la vénération émerveillée du secret
se remémorer la trace des humains
pour respirer en la seule réalité qui vaille
le souffle si fin de la bonne posture
la louange faite au quotidien
la contemplation d'une simple pierre coloriée.


164

Bien sûr qu’il eût du courage

 Bien sûr qu'il eût du courage
 cet homme
 de vivre de longues années avec prudence
 simplicité et modestie
 à mener sa barque
 le long des berges quotidiennes
 sans avoir à demander où aller
 sans voir le temps passer
 en lente progression vers l'estuaire
 où les limites se dérobent
 où tout devient gris
 que la vue s'obscurcit
 que l'air manque
 que l'esprit ne répond plus
 mais où s'avance
 triomphant en ses attentes
 le mystère
 cette lumière incréée
 cette lumière intense venue de très haut
 cette béance
 habitée de vieilles âmes
 ce frêle esquif
 disparaissant dans les brumes
 ce point d'orgue
 se confondant avec l'horizon
 en souvenir de ce qui va et vient
 l'espace d'un souffle retenu
 en souvenir de ce qui fût
 traces de ton nom sur le tronc scarifié de l'arbre
 se retrouver assigné
 à transformer cette écriture douce amère
 en obligation de conscience
 en marche sur le chemin
 compréhension de ce qui est
 crépon de la plaie rouverte
 une fin d'été
 à mesure d'un regard échoué
 à marée basse
 chez celui dont le cœur demeure dans l'amour.


 163 

Vieillir en vie

 recibir vida
 como un regalo
 como regalo.

 Habitar todas las edades de la existencia
 infancia
 la juventud
 edad adulta
 la vejez.

 Mejorar como el buen vino
 demasiado joven el vino es ácido
 madurar es obra del tiempo.

 No te obsesiones con el estigma corporal
 huellas del paso del tiempo
 la arruga amarga es solo el beso en continuidad del ser
 Habitar en la vida y en la inteligencia.

 Todos los días hacer descubrimientos
 intelectual afectivo sentimental
 Todos los días estar en lo nuevo
 Vivir.

 No mires el plato del vecino
 no seas celoso
 permanecer en uno mismo
 en la ventana de la maravilla.

 Crecer una y otra vez.
 Envejecer no es envejecer
 envejecer es ir en la vida
 envejecer es perder el gusto por la vida.
 
ser intelectualmente curioso
 mirar la existencia como un niño sin ser un niño eterno
 mirar la existencia desde la perspectiva de la juventud sin ser un eterno adolescente.

 Siempre ve más allá.

 Cuanto más vivimos, más construimos esta distancia
 que te permite estar ahí
 estando ya en otra parte.

 Con un solo trago apoderarse del polvo de las cosas
 antes de que la lámpara se apague
 para que llegaran a costas
 disolver
 el espacio de una sonrisa
 con el viento que sopla
 a la luz del día que viene .


 162 

pararse de puntillas

 Les mains hautes vers le ciel
à toucher les étoiles
et puis se rendre compte
qu'elles éclairent
ces mains
flamme hypnotique de la bougie
qu'on ne veut voir s'éteindre un soir de vent
des mains de cire d'abeilles
à épeler ton nom sur les nuages
se glisser hors du couloir de la mort
éviter les broutilles échangées à la porte du paradis
ne rien faire plus
pour tête nue
en humilité
recevoir
cette main tendue
dans le silence de la poésie
le son clair
du clavier de toutes les musiques
vers lequel se mettre en marche
lente déflagration des phrases
sur l'invisible de la rencontre
à rendre visible le joli bleu d'un ciel
que lissent des doigts de fée .


161

Un point sur le i

 Espace pur dans lequel fleurissent et se perdent les fleurs
 Le sens aigu de la citrouille se découvre calèche
 L'ange me convie à ne plus toucher terre de ses ailes diaphanes
 Un souffle
 Une caresse
 Un vertige tranquille empli d'exquises senteurs
 Les cigales stridulent
Tout concourt à la redistribution du livre d'heures
Du point pierre éclate l'envol soyeux de l'âme
Oiseau de passage et si présent
Éloquence élégiaque sans défense más comme un feu
Et si persuasif
Que ces choses vides et indifférentes en familiarité tendre
Me somment d'être en dehors de moi
Pour d'une mort éclose
Donner sens et amour
En retour de mission. 
160

l’imagination créactive

     L'imagination active
 l'imagination créatrice qui crée dans et par l'action
 l'imaginant se laissant porter par ce qui est
 il est l' " siendo " au vif du déroulement des choses
 il i-magine
 des lignes Maginot
 en leur béton figées
 pour défibrillation mesurée
 se mettre à la portée des ondes
 qui vont et viennent et s'espacent
 créant le vide intra-cellulaire
 du tissage des associations logiques .

     Il y a mise en portée singulière 
 chaque fois qu'un visage
 éclaire le haut du mur de schistes sombres
 visage aux yeux lumineux
 et à la barbe blanche
 que la voix douce fait vibrer .

     Balanza de la vida
 arrachée au reptile premier
 que le vent écarte de la sente aux bogues piquantes .

     Corne de brume entendue
 lorsque de la vallée
 monte le souffle de la bête .

     sangría estampada
 El número de Avogadro
 dont la veste ouverte laisse voir
 le cœur suint de myrrhe .

     Élan au vol si lent
 ángeles arriba
 castaño y encina
 candélabres de ma maison .

     Pensée verticale
 fuera de la onda impulsiva
 des effluves empreintes
 de la rugosité des échanges glabres .

     Retour monosyllabique
 des ahanements de l'animal
 au sortir du bois
 orée des commencements .

     solo tu
 en qui l'autre sans ankylose
 ôte l'enflure de la tradition
 sous le voile de l'acceptation .

     Sagacité au risque d'être
 juste un retournement
 à l'aube du jour nouveau .


 159 

Psychologie, ce qui soigne

 Du point de la personne qui rencontre un psy :

L’intention. Vouloir que des choses changent dans mon comportement, que des souffrances s’apaisent .

La relation, la qualité de la relation, être en face l’un de l’autre, là où l’individu devient une personne. La qualité de personne est toujours interpersonnelle ; il ne peut y avoir dejesans untu”.

Je ne deviens vraiment une personne que lorsque je vous regarde dans les yeux et que je vous permets de regarder dans les miens .

Etablir le lien, un lien par lequel l’on se sent accueilli et accepté dans son être, un lien ressenti au profond de soi-même, bien au-delà de ce que nous pouvons dire et exprimer, un lien qui fait que l’on se sente naturellement chez soi, et qu’un échange essentiel va avoir lieu .

Le langage.Être accueilli avec son langage propre. Mon langage c’est moi. C’est ce qui me fait être dans le monde, me protège et me définit. C’est une partie essentielle de mon identité. Mon langage, ce sont mes mots mais aussi ce que mon corps physique donne à voir par des mouvements et des micro – señales .

Soigner c’est êtreécouté, c’est rencontrer un professionnel qui soit dans un état présent et non crispé devigilance, dont l’attitude de bienveillance active peut m’émouvoir et me donner envie de me confier. J’attends que l’autre soit calmement centré en lui-même et que son acceptation inconditionnelle à ce qui est soit pleine et entière .

C’est être entendu etaccueilli sans jugement.

C’estexperimentar par mon corps, ma psyché, mon âme et mes affects ce qui se passe en moi à propos de ce qui se passe là, si différent par le cadre de la rencontre et pourtant si proche de moi parla confianza qui s’instaure .

C’estnommeravec concision et le plus clairement possible ce que je ressens .

Pour le praticien :

C’est repérer par une écoute la plus large possible tous les éléments du processus de la rencontre, dans un continuum de conscience, dans le contact en train de se déplier là entre nous, dans le contact qui s’instaure ici et maintenant mais qui néanmoins éclaire le passé et l’avenir .

C’est créer un climat de légèreté et de liberté pour l’autre, qui permette aussi le repérage d’éléments d’analyse .

C’estcréer un cadre tout autant concret que symbolique et imaginaire, clair et sécurisant, mais qui ne doit pas être un mur mitoyen afin de permettre d’accéder au cadre réel .

C’est lancer des pistes, des hypothèses, des jalons, dont l’autre pourra se saisir s’ils sont à sa portée, sans être redondants avec ce qu’il est, ni trop éloignés de ses capacités émotionnelles et de compréhension du moment. C’ests’ajuster créativement et avec pertinence à la situation .

C’est aimer tout l’avoir de cet être-là devant soi dans ce qu’il donne .

C’estaimer l’être de cet être-là, sa richesse accumulée dans son histoire de vie, ses potentialités et ce qu’il est dans le déploiement de lui-même, dans son dépliement vers sa croissance d’être, dans son ouverture au monde .

C’est maintenirla bonne distance entre lui et moi afin de mettre à jour et de faire travailler les perturbations de la relation entre lui et son environnementavec un maximum de clarté dans le ressenti et de lisibilité dans l’expression sans contraindre l’autre a être autrement que ce qu’il est ou/et donne à voir à son entourage .

C’est dégager tous les éléments deconfluence, deprojection, dintrojection, derétroflexion et dégotisme dans ce qui se joue à propos de notre rencontre. C’est être le mécano plein de doigté qui démonte et remonte tout en sensibilité les petites pièces de la mécanique humaine qui reste bien vivante durant la transaction existentielle qui nous relie, nous conjugue, nous décline et nous grandit .

C’est considérer l’autre comme un être humain en croissance, comme un pélerin sur un chemin initiatique, engagé sur un chemin de conscience ininterrompu. Etre un homme, c’est être un voyageur, toujours en mouvement .

C’estpartir du commencement, de là où l’autre en est, avec son histoire de vie, avec ses émotions qui nourrissent l’émergence de ce qui éclot comme à son insu dans le creuset de notre contact. La qualité d’être une “persona” et non un individu implique une quête de sa véritable identité à des fins d’individuation effective constante vers ce qu’on est vraiment .

C’est tenir le cap et être legarant du cadre, afin d’inscrire ce qui se passe, era, dans l’espace-temps de la rencontre présente et dans la succession de nos rendez-nous .

C’estexpérimenteravec pertinence, des situations qui adviennent au rythme de celui qui vient en confiance se faire soigner et sous la guidance de celui qui est en responsabilité de le soigner. Alors vont pouvoir émerger ces éléments de la mécanique psychologique à l’oeuvre dans notre psyché, non en assénant à l’autre des diagnostics péremptoires et des baumes réparateurs mais en le dirigeant vers des voies où lui-même pourra être en mesure de donner sens à ce qui se passe .

N’utiliser sesconnaissances théoriques qu’avec circonspection. La théorie et la technique ne peuvent embrasser l’ensemble de la psyché, le traitement psychique étant unerelation totalequi engage le praticien autant que le patient bien au-delà de la théorie et de la technique .

C’estêtre patient sans être attentiste .

C’estêtre stimulant sans précéder l’autre sur son chemin de vie .

C’estêtre juste dans ses interventions dans le sens de“justicia” afin de ne pas leurrer l’autre et lui donner envie d’aller plus loin encore dans la connaissance de soi .

C’est être en justesse d’ajustement créateur con lo que hay, juste là, dans l’ici et maintenant et après ducontact .

C’est vivre en simplicité, en humilité et en éveil la séance de psychologie où le travail se fait aussi au-delà de nos capacités cognitives à clarifier les situations, bien au-delà de ce qui se dit là, et où le changement qui se produit là est autant affaire de compétences, que de la vitalité et descapacités d’auto-guérison alors stimulées que la personne possédait en son fond .

C’est préférer la valeur incertaine et sensible de l’activité humaine expérimentant ce qui arrive là, à la tranquillité rassurante pleine d’a priori, d’inférences et de fausses certitudes de celui qui sait comment s’y prendre pour soigner, de celui qui calmemême si cela est parfois nécessaire – , à défaut d’inscrire la personne dans une démarche deresponsabilité et de conscience pour construire elle-même son bonheur .

Poétiquement votre c’est savoir que dans les brumes du matin tout autant que dans le crépuscule du soir, il y a tout autour de nous tout ce qui n’est pas nous, que vivent ou ont vécu de multiples personnes et que le monde est plein de possibilités de rencontre et de dialogue .

S’ouvrir dans le respect de soi à ce qui est autre ne peut être que relation qui soigne .

C’est êtrel’aventurier de son devenir, enpreguntarse et au regard de ses comportements, en marche vers un mieux-être sur sa ligne de vie. C’est êtrelibre, ce qui n’est pas chose facile car comme le dit Kirkegaard : ” La chose la plus terrible qui ait été octroyée aux hommes est le choix, la liberté . “

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