Seisoene À toutes les saisons Je t’aime Reine Dans cet envol vers la lumière.
Reste à courber le chef Pour soulever la pierre qui m’enserre Moi l’emmuré vivant Immobilisé et englouti.
Ô force ténébreuse Caniche d’opérette à tête de canard Pattes d’oiseau, arrière-train de chien et queue burlesque Je t’abjure de m’extraire du marécage.
Tout semble perdu Pour l’homme dans sa chute Ligoté et paralysé telle la proie dans la toile Hormis les forces défaillantes.
Du fin fond de l’ombre Les énergies reptiliennes M’engagent au dernier moment À suivre le noble cerf de la guérison.
La marche vers l’infini commence L’exploration de soi est le cheminement La chute initie à la remontée La capacité de se transformer.