'N Lag in die donker De l’homme-tronc La provenance Pour épater la galerie Puis s’enfuir dans le blanc.
Accrocher à l’esse du couloir Le laissez-passer augure d’une évidence Il va falloir emmurer la douleur Récupérer les clefs de l’office Et pousser loin les effets du miroir.
À suivre son cœur Fait effleurer du regard La romance des jours perdus Quand dehors tremblent les grands blés De la vaste plaine d’Ukraine.
Assise sur la toute pierre Les cheveux emmêlés et pleins de sang Pleure la femme rousse Engendrée d’un coup de fusil Aux portes de l’église.
Activer ses humeurs Irriguer d’une tendresse de colosse La mémoire auscultée du réveil Conspiration clairement établie Humecte la bouche sèche de l’imagination.
Le vieil homme aux réalités perdues S’est ouvert au dernier serviteur De maints secrets d’alcôve Saisis à la pointe des mots Sans que se lève la brume carnassière.
Manège des rêves activés Accroc dans la besace Finissent par distribuer la poignée de grains Aux gens des maisons de paille et de bois Pitance éclaboussée d'une tristesse infinie.
Les doigts se rétractent Du tronc l’écorce rêche se déchire À trois reprises la résine suinte Perles de soie habillant la marionnette D’un dernier babil de cour de récréation.
La mousse s’éparpille D’une semblance l’autre Le long du chemin Longe mise au licol du mulet Durant la montée.
Tomber n’est point chose facile Sur la traîne de lumière Quand de toutes parts La foule vous exhorte D’aller y voir.
Hagard il devient un errant Perclus de choses à faire Sans que le jour finisse À suivre et resuivre Le joueur de flûte au coin des rues.
La dernière torsion Lui fit joindre le geste à la parole Éclats de bois giclant drus À la face du nouveau-né Exhumé de la falaise d’eau fraîche parcourue.
Goddelike omnipoot À l’aube des temps Symphonie immaculée D’une musique des anges Par grâce associée.
L’organon dépoussiéré Se gave de sons Sur ordre divin En la nef aux larges triforiums Dépossédant les grimoires de leur encens.
Écho plus large que prévu Sur lune fragile L’insecte prend place À cœur perdu Rien d’impossible.
Songeur et méthodique Indubitablement céans Il a franchi le pas de l’ours Pour saillir à la volée L’ombre de son ombre.
Cent oiseaux l’accompagnent À la pagination prête Où mourir pour de vrai Occasionne aux mystères Le tohu-bohu des bonne manières.
File vite tristesse infinie Par la petite porte de sur quoi Aux couleurs des marches ardentes Propulser de faim et de raisons Les plages odysséennes.
Arthur est là Passant discorde en Abyssinie Aux ardents millésimés De la fosse aux lions Des chorégies perdues.
Mêler le sang avec les songes Amène au point d’encrage Albatros du fond des océans À s’ébattre toutes serres dehors Sur la peau rose du poème.
Censée flétrir toute chair Il s’est doucettement posé Un matin d’été À la corne d’Afrique Sur la mamelon d’or.
Et quand le chant nous vient Que la graine éclate sous le trait de lumière Alors l’imagination survient Station debout offerte à qui de droit Stipulant de vivre éternellement.
Quant il me regarde Au profond de la nuit Son sourire me tient foi De juste errance Pour toute éternité.
Rêvant Ne rêvant pas Les choses curieuses ou d’avenir S’éveilleront À la lueur des feux de la Saint Jean.
Susters so mooi Ophélie retrouvée Eurydice éprouvée Sans panecote au matin Dès saut du lit D’une seule portée Elles eurent l’à propos De se conter Le délire amoureux Qui les fit marraines des astreintes Un soir Une nuit Une sieste Je ne sais Du côté de la cote 314 Troussées aux trayons de l’amour Alors que tout les destinait À se lire Uniquement se lire Dans le livre des images Pages tournées avec déférence Vives et blanches Sous la lune avertie Au doigt mouillé Figurines sorties de la crèche Se moulant à merveille Près de l’âtre Alors que d’autres Auraient saisi l’instant Pour partir en voyage Au partage des instincts À manigancer quelques incartades Mouches rebelles Cherchant fuligineuses réparties Aux sorties des maisons de plaisir Échappant par là au tailleur Tailleur de pierres s’entend Prêt à maintenir commande Contre vents et marées À l’entrée de la montagne Avec pour souci d’accomplir Le rituel des enfants obstinés Se livrant un duel Avec bâtons de pluie afférents Au foirail des biaudes bleues Avant que le cornet regorgeant de grappes de raisin Du grand-père le donateur N’enhardissent les gamins À cesser chamaillerie Pour à l’ombre des pruniers Enchanter l’ombre d’un silence bienvenu.
Aiguillon à la pointe acérée Infligeant par petites piqûres L’opprobre et la dérision Mesdames jeunes et belles Avons trouvé pour vous complaire Geste de mots de soie et de guipures Roulant des yeux de braise Sur la plaque de cheminée En proie aux levées de flammes Levées de troupes fraîches Hors conscription avérée Au bureau des entrées Madelons coopérant Au moral des armées Reines d’un foyer possible Sitôt guerre terminée Le ventre plein des fruits de la terre Encensées par le ministre des cultes Faconde permissivité Offerte le temps d’une visite Au grand livre des obligés de la glèbe Tenant comptage des naissances mariages et décès À la plume ébréchée Par devant soi Femmes de bonté Au sourire de Joconde Rencontrées au jardin Entre groseilliers et cassissiers.
Kapstan Die stroppe het die mas getref Die briesie was koel Julie het 'n sonbad geneem Naked Chest Verspreide hare op die strandmat.
Ek het deur die bladsye van "Love Spraak" geblaas De Roland Barthes Ek het meer en meer van die teks weggeloop Ek het Julie gekyk en nie na haar gekyk nie Om te wees, die lug, die see Voorwerpe vibreer soos ek in my aangaan Dit lyk asof alles 'n beklemtoonde geskenk weerspieël Ek was kalm Ek het nie beweeg nie In my bors 'n gevierde vuur Op swart en rooi houtblokke Ek draai my kop na haar toe.
Tot die punt van die boot verleng Ek het die son aangebied Ek was verfris deur 'n sagte en welwillende wind Die dop het opgestaan en neergedaal Klap tong as die golf dit bepaal Ek het geraai Charles leun teen die deur van die binneland Ek het die aanbod aanvaar om 'n wandeling op see te gaan Vir water, vir die boot, vir die son, vir die briesie ... en daar was iets anders.
Sy kyk op Begin op die brug Verwerp haar hare met 'n nekbeweging Dit het gelyk of dit na my kyk En het selfs vir my geglimlag Toe draai sy na die kant En teen die lig kon ek die druk sien Bene, sy swembad, sy grootte, Sy bust, Sy nek, Sy kop 'N landskap 'N musikale betekenis Ek het nie beweeg nie My hart het baie hard geslaan.
Nadat hy na hom teruggekeer het Ek het sy blik vermy Om nie verlief te wees nie Te vroeg Ek het gevoel dat my maag gurgel Die son het my rug verhit Sonder om te wag het ek die hede geleef En as dit nie daar sou stop nie Dit was aan hom om iets te doen Het die oomblikke toe ons al gekruis het Ek onthou die leemte wat ek gevoel het Tussen sy blik en sy gemerkte liggaam Dit het vir my nie baie gemaklik en tog teenwoordig gelyk nie Sonder om haastig te wag, het ek vir die res gewag.
Toe besluit ek om hom aan te bied om te drink Ek gaan 'n glas water by die reservaat vul En hom dapper weggehou 'Wil jy 'n glas water hê? ? » Sy kyk na my en vertel my baie saggies : "Ek is lief vir jou" Ek was uitmekaar En die glas water op die brug omvergewerp.
'N Couina seemeeu aan die punt van die mas 'N Klein wolkpas Neptune die niere het van varchs afgordel Uit die water wat 'n trident brand.
Binne vyf minute Herhaaldelik Ek het gelieg Oop oë Die operasionele intellek Om die verskynsel te waarneem Deur 'n slotgat Klein stratagem Posisioneer Om sekerhede af te sny.
Jy Gisteraand Om jou te vertel dat hy sal terugkom En dat ek hom sal help Sonder om daar te verskyn Om sy navorsing te verleen Stilte van woud Soos nou Aan die einde van die wegbreek.
Land Om nie terug te kom nie Gratis om te beweeg Om u manier te kies Sy opdrag teen die bome -stam Kwota houtskool À retoucher l’esquisse Frotter, nettoyer, doen goed Pour relocaliser la personne Entre les murs branlants.
J’écris Un cas typique de névrose À s’identifier avec la lumière À force d’élans spasmés Se soulever hors sol Jusqu’à toucher terre Sans espace Aux temps révolus En résonance Avec le parfum de l’expérience.
Où est-elle ? Om vir jouself te sê Qu’il faut se boucher les oreilles Devant cette image Roides et tous pareils Pour élever le texte énigmatique Au commun des mortels Léger et poétique Tel l’étang sous la neige Craquant en sourdine pour de bon.
S’encourager À se laisser distraire Par le chant du pinson Perle arborée Au déboulé d’un face à face Avec son destin vibratoire Étonnamment étalé Suint de printemps En toutes petites lettres Dans la paume de la main.
Piétinements Des idées hors vasque Poussant du doigt Le bovin des circonstances En écho Du jet d’urine approprié Au territoire des origines.
Réponse d’avant la chute Vers la rivière des gargouillis Enjambée par les traverses de chemin de fer Ajourées et moussues Dans l’ombre de la frondaison Sans que pointe le moindre museau À la corne de cerf attenante.
L’enfant traversera la passerelle La bouche rouge de myrtilles Du miroir scintillant de l’onde sautillante Au surplomb de granite Vierge de toutes les couleurs Échancrant reins et cœur Parmi les genêts d’yeux constellés.
À reculons Agter die Cul of Cows Avons manigancé Maintes adaptations Clairon des astreintes Nos assignant à résidence Pour ne pas entendre l’appel.
Lancé de lune en lune Le boomerang est revenu Sourire entendu Au gré des souvenirs Collecte des fragrances et regrets Prompte à recouvrir d’une pluie d’été La coquille souple des enfantillages.
Diaprés De fleurs à déraison Les bas-côtés recèlent Le jailli de l’esprit Touche et retouche Des psalmodies Cédant à nos silences.
Pirouette de l’alouette Pirouette de lumière Pierre fraîche Au vide bidoche Du couteau froid Dans le ventre Du crocodile mon fils Uit die bed spring À enfiler les perles de l’espoir Sur l’opinion des quatre saisons.
Parodie millimétrique Au lac de la Crégut Parmi les arbres diaboliques Sans que la sente ne soit tracée Par quelque animal Foulant la feuille sèche Au pas de l’oie D’un profond silence Juste blacksonné par les frisures de l’eau Tenues à distance par la mouche.
Pêcheur pêchant Dans l’assentiment des instants fragiles Centre du cercle de sorcières Issues légères et poudrées Du contenu de la pensée Pelouse plane En sortie de boîte Lune déferlante Sur dalle de basalte D’éclats de quartz constellée.
Porté parfois Illuminé d’un désir sans remède Il eut été céans de claudiquer Devant l’obstacle Avant d’effacer de la main Les accès au lendemain Chose vraie Passage obligé pour qui ne sait rien Pincée de sel Pour avoir soif.
Jetèrent par la fenêtre Table et chaises Sans oublier la cuisinière Enfouie dans les sables du mystère Rideau de plastique jauni Au fil de la radio Étoile des neiges mots torsadés Courage élevé Comme doigt sur les lèvres Appliqué au mieux-disant.
Criez Vautrez-vous dans la fange Mais ne paraissez pas bien mis D’une personnalité affublée Du tablier de cuir paré Proférant quelques élucubrations De cendres blanches Tressant couronne Aux obstacles Mes frères de secondes noces.
Parousie cyclique Des enfantements Avant de nettoyer les portes de la perception Il fût admis De flatter l’être de soie Soumis aux sourires de la loi Pour que débarque du cargo Le miroir clair et réceptif D’une réalité D'argile et de papier mâchée.
Mime-moi L’accord mélodieux Gebruike en gebruike Là où je suis Pour que s’esclaffe Le Dieu des bonhommies Agitant le drapeau blanc Quête du bien De douceur et de délicatesse Mis à disposition de soi.
Die Mareuille Cloches et genêts associés Chants d’oiseaux Rais de soleil Bleu du ciel en réception Les pissenlits finissent d’essaimer Au travers de la rosée.
Peu de vent Cheveux frisant l’œil D’une caresse ténue La chaîne du Sancy Estampe de fond d’horizon Dans un gris absolu Danse au balcon.
Die Mareuille descend Vers l’Eau Verte Cloche-clochant D’un pas régulier Pour disparaître derrière la brassée de feuillage Du bord de rivière Ensoiffée de fraîcheur.
Yeux fermés Le vert passe au rouge Bêtes descendant par la draille Vers les stratus de la défesure Réseau en résonnance Assemblage de débris morainiques Que les siècles froids ont parsemé.
Elle m’appelle L’oiselle des prairies Et se rit des réponses À son chant Que mon cœur accompagne D’un liseré de dentelles Coupant court à la Beauté.
Il fût, hy sal wees La couperose du matin À prêter main Une collerette d’orchis En bord de chemin Pour plus d’une année dévolue Ceindre la parure de juin.
Grelots des ovins Cloches des bovins Le soleil darde Ses flèches de lumière Fichées roides Contre les gouttelettes d’argent Au plus offrant destinées.
Un roc dans la prairie Capte l’énergie cosmo-tellurique Sous le frémissement des frênes Basses branches ondulantes Synapses verticaux ouverts En proie au déploiement De l’éther mon frère.