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el matrimonio del artista y la obra de arte

   Las obras del arte son descargas eléctricas que nos obligan a percibir lo absoluto. ellos nosotros Cuestionar que nos quedemos dormidos obligándonos a cuestionar .

lo visto convoca al artista a maravillarse ante lo que ve y presionando. La materia revela sus secretos y se produce el contacto entre el alma paciente, observador y actuación del artista y el material que se domestica dejándose moldear . El artista penetra en lo visible, el sensible, lo real. Los hace suyos la vida que les da sin convertirlos en objetos. Él no sigue siendo un prisionero apariciones, des résistances et des habitudes de la pensée mentale. Il préserve l’aptitude à l’émerveillement face au réel en percevant en permanence la faille séparant le monde naturel et authentique de la matière chosifiée . Et derrière l’apparence de la création il perçoit le mystère de l’ordre caché. Il élève la science de l’art au niveau des qualités de l’esprit pur. Le feu d’artifice de son inspiration crée le moment poétique, contemplation innocente d’au-delà des certitudes connues tout autant qu’engagement sur le chemin de l’émerveillement .

L’admirateur, le disciple, par contagion intuitive, saisit l’interaction entre l’humain et l’environnement, entre los humanos y el universo .

El artista por un la doble observación de su interioridad y del entorno pone de manifiesto la forma poética eternamente renovada. Hay un diálogo imprevisto, improbable, entre el creador, animal-humano hombre de carne y sensaciones mezcladas y el materia. El artista se convierte, el tiempo de una zambullida en la luz de la alteridad del mundo, el sirviente de lo que lo prolonga, de lo que lo abruma tanto que lo que le glorifica. Resulta ser la memoria universal., Unión impensable del absoluto y su manifestación. Una cristalización de el evento provoca el estallido de una verdad enterrada, visible en este momento donde el amanecer de lo que está pasando está en el corazón de su misterio, Como una cita oculto que subyace a la apariencia de la creación. Continuando su búsqueda, la La curiosidad y la sensibilidad del artista lo guían hacia la percepción y la intuición de la estructura invisible de las cosas .

y el material se abre como una rosa en verano ante el alma activa, paciente y contemplativo del artista. La materia es domesticada, se hace acogedora y se deja forma. El hombre animal-humano, en una nueva intimidad de sí mismo se desvanece para dar paso a”Humano”, a una dimensión universal donde la belleza se expresa y existe. L’artiste est alors un. Il est instrument d’une énergie nouvelle et pleinement lui-même. Il révèle la nature humaine . L’artiste par son geste de création se vit. Il reçoit et est vécu. Il est mouvement du mouvement avant d’être une chose ou quelqu’un. Il aime. Il est intensément la diversité, la dualité et la multiplicité. Il est grain de poussière attentif aux bouleversements incessants de l’ordre universel. Il est le marié des nombreux mariages qui l’attendent au bout du bout du couloir d’ombre et de lumière de son parcours obligé .

152

Quelque chose d’avant le temps

 De tant et tant d'efforts
à la mesure des sollicitations
pour garder la tête hors de l'eau
et être en ressemblance avec le visible
sans être fermé à l'invisible .

De tant et tant d'efforts
à élever la viridité
sur le pavois de nos intentions
alors que sans puissance effective
l'amour sensible fait figure de désaffection .

De tant et tant d'efforts
à se mouvoir dans ce corridor
à distinguer le bien du mal
afin de réellement voir où l'on va .

De tant et tant d'efforts
à traverser
les gués du torrent de l'illusion
sans distinguer l'origine de cette poussière d'étoiles
où être hommes et femmes liges .

De tant et tant d'efforts
à se prévaloir d'un soleil éternel
alors que les confins de notre entendement
sont scarifiés sur les autels
du mutisme et de la surdité .

De tant et tant d'efforts
passés à attendre que la pluie s'arrête de tomber
alors qu'elle est partie prenante de la fructification .

De tant et tant d'efforts
à considérer le fin du fin de notre parcours de vie
comme étant le bonheur
alors que nous sommes éternellement en marche .

De tant et tant d'efforts
à accepter que le soleil se couche
avant que les blés ne mûrissent
implorant
en quête de moisson
le retour de la faux du père .


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se rejoindre soi-même

Il faut jeter par dessus bord
beaucoup de paresse, mais surtout beaucoup d’inhibition et d’incertitude pour
se rejoindre soi-même .

Pour toucher les autres à travers moi, je dois y voir plus clair et je dois m’accepter moi-même.

Depuis des années j’emmagasine,
j’accumule dans un grand réservoir, mais tout cela devrait bien
ressortir un jour, sinon j’aurai le sentiment d’avoir vécu pour rien, d’avoir
dépouillé l’humanité sans rien lui donner en retour .

Tous les problèmes
que je traverse et que je tente d’expliquer, me tourmente et appelle en moi
solution et formulation. Car ces problèmes ne sont pas seulement les miens,
mais ceux de beaucoup d’autres. Si à la fin de ma vie je trouve une forme à ce
qui est encore chaotique en moi, j’aurai peut-être rempli ma petite mission.

Tout cela me semble bien prétentieux.
Je me sens parfois comme une poubelle tant il y a de trouble,
de vanité, d’inachèvement, d’insuffisance en moi.

Mais corrélativement
il y a aussi une authentique sincérité et une volonté passionnée, presque
nécessaire, d’apporter un peu de netteté, de trouver l’harmonie entre le dedans et le dehors pour se rejoindre soi-même .

A la longue il se pourrait que je trouve la paix et la clarté.
Mais oui ! C’est maintenant, en ce lieu, en ce monde,
que je dois trouver la clarté, la paix et l’équilibre.

Je dois me replonger sans cesse dans la réalité, m’expliquer avec tout ce que je
rencontre sur mon chemin, accueillir le monde extérieur dans mon monde
intérieur et l’y nourriret inversement je dois continuer d’écouter au-dedans
de moi – , mais cela est terriblement difficile et c’est pourquoi j’ai ce
sentiment d’oppression au-dedans de moi .

C’est alors que je fermais les yeux. Ne plus penser.
Je traversais un moment de paix, d’accalmie.
Ma foi indéfectible en l’homme ne peut faire en sorte que je me dérobe. UN
perspective de cohérence m’appelle. J’ai si tendrement à faire que je ne puis
qu’assumer pleinement mon destin et employer mes talents à soulager les maux de mes frères et sœurs .

150

par delà la frontière et le mal

La frontière entre le bien et le mal passe entre les deux rives de la rivière. Tout choix d’une rive plutôt que de l’autre ricoche et porte en lui son châtiment et son germe. Le châtiment maintient en enfer ; et le germe, cette force capable de fendre le roc, fissure le cœur. Aussi passons-nous notre vie à tergiverser sur une passerelle .

C’est le passage de l’une à l’autre rive qui reste pur mystère. Nous pourrions penser qu’il existe de chaque côté un abîme par lequel s’opère le passage à une autre dimension. Et peut-être la tentative d’échapper par tous les moyens à cette aspiration, à cette chute vertigineuse est-elle l’origine de nos pires souffrances .

Le refus acharné qu’oppose le connu à l’inconnu, le familier à l’inexploré, oblige le destin à user de violence envers nous .

Pour le foetus dans le ventre de sa mère, la fin du monde se nomme naissance. Nous appelons papillon l’anéantissement de la chenille. Toute vie est un drame cosmique qui ne finit, somme toute, pas si mal .

Passer le pont, c’est changer de nature. Voir autrement, c’est changer sa vision, c’est fissurer sa vision convenue des choses. Qu’il est douloureux de changer d’état. Cela nous fait cligner des yeux, avant de voir plus tard ces états se stabiliser .

Changer de bord brouille le regard que les autres me portent. Aussi de peur de passer pour dément, je me garde d’en parler à quiconque. Mais la vérité est à l’inverse, aussi suis-je sorti du monde qu’hallucine mon époque pour rejoindre une réalité sans temps et sans lieu. Et cette réalité est coulée de lumière, magma fluorecent qu’irisent toutes les nuances du plus sombre au plus lumineux. Et cette palette est piano des couleurs .

Et je l’ai vu comme je vois maintenant par la fenêtre éclater un été au zénith de sa majesté. J’ai vu que la matière n’était que lumière et vibration et Amour, pur Amour, Amour incommensurable .

Et je vois tous ces êtres humains aller quelque part alors qu’ils ne sont jamais partis de nulle part et n’arriveront en nul lieu où ils ne sont déja. Cette immense mise en scène sacrée et absurde me laisse à penser que les hommes sont des dieux quand, entre deux rêves, ils laissent leur regard vaguer sur le monde .

La leçon de cette métaphore de la passerelle entre deux rives est que la vie nous a été donnée, que nous nous devons de mettre le plus d’énergie possible à faire fructifier ce potentiel, le moins d’énergie possible à en souffrir et ne pas s’étonner quand ce qui semble être éternel clignote et disparaît .

149

QUE NOCHE ESTA NOCHE

 derrota sin palabras
bajo el vuelo de un espectro
vaciándose de sus atributos .

Exilio de una noche
devorado por la telaraña de los sueños
sin que el secreto corrompa la memoria .

El olvido entre la niebla y la luna
no vas a morir no puedes morir
todo el día glorias extinguidas
de las entrañas del valle
de donde surge el doble sonido de oboe y saxo .

embrujo prolongado
en los límites de un cruce
antes de hundirse en la oscuridad
donde lentamente se consumen
carne y uñas de la ternura del domingo mejor
caído en rocío de sangre
antes de que el amanecer se extravíe .

Trampa dispuesta entre las linternas
en medio de estos naufragios
que una orden misteriosa
tierra en este reino
donde el pedernal frío separa la carne de la piel .

la vida esta aqui
la vida es el lugar
mi vida en compañia de tu vida
tamaño XXL de la mediana trazada
entre la sonrisa del niño azul
y la perpetuidad de un desierto rubio .


146

el poeta y la humanidad

 En duda y esperanza .
Si existe un vínculo entre el artista y el resto de la humanidad
no puede ser que nada vivo se pueda crear
sin la oscura conciencia de este vínculo allí
lazo de amor y rebeldía .

La secuela solo puede venir después del final de la película.
una suite filtrada por la alegría de la luz del mundo
una suite para subir las escaleras cuatro por cuatro
en la amistad el aire espeso
como el tiempo se mezcla con el tiempo
como paso este dia que no volvera
como los afilados cuernos de un frío que agarra el borde de los bosques .

Vendrán o no vendrán
entonces se irán
sus vidas centradas en sus ocupaciones diarias .

Para estirar el cuello
hacia la proximidad de una finitud todo para uno mismo
sube el aroma de los sacrificios hechos a los dioses
cerca de una actitud humana que vale la pena - la risa .

se precipita en
por la puerta de la decepción
campos de concentración asesinatos y violaciones
el calvario inefable en que hay que dirimir
la cuestión del sentido de su vida
latidos del corazón
frente al libro rojo de las falsificaciones
donde escabullirse
donde escupir sus coágulos de palabras oscuras
sobre el cuerpo de mármol del padre desaparecido de la primera línea
donde el esfuerzo por participar
calificaría como atención primaria
el soplo divino para promover .

Se levanta
por encima de la ternura del amanecer
con acentos de mirlos cantores
el caduceo de la inteligencia y la cultura
unión rítmica con dulces aromas de jazmín
fuera de la soledad bituminosa
de la tinta negra palabra por palabra
fuera del palacio pictórico de los jueces otorgantes
fuera de la deformación de las travesuras de la estupidez
excepto este extraño nacimiento entre perro y lobo
donde leer verdad
es el momento final de la decisión
para recoger en su alma
la perspectiva de un nuevo impulso
para que la energía se adhiera al espíritu
trampolín
dónde rebotar aún más alto
en la vida sencilla .


148

Se donner un nom, un rostro

 eres tan transparente
fricassée de grillons dans la prairie
al anochecer
mira abierta al despertar de un cielo estrellado
fuera de alcance
en la fuente de los susurros .

Viniste de las profundidades de la tierra
de mil pétalos hechos
ante la agitada llegada de los estorninos
repetir
que la marée monte
las llamadas se van
ahogado en la bodega
Esperando la última gota de lluvia
en el ala de la noche
de follaje adornado
en las paredes de la nostalgia
acechar el paso furtivo
entre lo femenino y lo masculino
y renacer dentro de ti .


147

Mándame una postal

DSC01279

 Con azul por doquier sin azul en el alma
con viento sin aliento pero sin realmente perderlo
con una ternura del aire sin mosca carnívora
con un arbol tropical que no pica
con el mar pero no demasiado frio y sin tiburones
con barcos en los que podrías montar
con vendedores quisquillosos que se ven bien y no escupen arena en tu bronceado
con niños que no gritan
con un sol que no hace demasiado calor
con un puesto de papas fritas no muy lejos
con un polar para leer que no da mucho miedo
con una toalla de baño suficientemente grande
con gafas de sol sin huellas dactilares
con una sombrilla que no vuela todo el tiempo
con un teléfono inteligente con un tono de llamada no demasiado agresivo
con incontables horas por delante
con una dulce sensación de hambre que recuerda a la barbacoa de la tarde
con el sonido de las olas acariciando la orilla sin raspar antiestético
con un cielo donde los aviones no arrastrarían sus anuncios ilegibles
con una barriga no muy grande que me permita ver los dedos de los pies
con una crema bronceadora que no tira de los pelos mientras se seca
con la cantidad justa de sudor que muestra que la grasa se derrite pero sin gotear
con una relajación tranquila con cada respiración esperando que no sea la última
con una zambullida en un medio sueño acompañado de mariposas volando en cielos azules
con la capacidad de agarrar un puñado de arena sin encontrar un trasero
con el proyecto de no hacer nada a pesar de esta mente que nos roe
con una pizca de infinito sin pensar en lo que vendrá .


145

Dios es metáfora

 Dios es una metáfora de todo lo que trasciende los planos pensamiento intelectual.

El pensamiento intelectual es una flor que no anula a Dios.

Dios a veces en sus thurifers pueden parecer la planta raíz de todas las cosas.

Ese pensamiento intelectual que hacia atrás inicia la huella inquisitiva del desbordamiento divino es la rampa a la verdad.

su pistilo del amor al borde de la congestión arroja la flecha del conocimiento fuera del permisividad del pecado.

sabiduría a medias enterrada en las premisas de la belleza está la antecámara de la gran conmoción.

Preguntar el insecto forrajero podría descubrir el tiesto de rosas de la libertad.

la fragancia crepitando con mil chispas de amor al borde de la lengua de fuego marca el viniendo del que dice.

Poesía en su la búsqueda de la maravilla es la metáfora del Misterio.

144

La doncella de los mares

 El crudo mar azul de los orígenes
me tiré
Dejé la balsa de conveniencias
y sostuve a mi dama en mi regazo
el agua era tierna y propicia para el avance de la situación
holgura en alta mar sin tierra en el horizonte
inmensa con finas ondulaciones regulares y estremecedoras
donde transparente
Pude distinguir guijarros desde el fondo.
nadé sin rumbo sin rumbo
tiempo infinito .

costillas aparecidas
Me acerqué
el paisaje era yermo
todo quedó blanco de cenizas después del cataclismo
árboles triturados
sin hojas sin vegetación
Caminé por la costa
un arroyo que atraqué
una casa al borde de un montón de plantas fosilizadas
vestigio de un bosque de antaño
gigantesco cementerio levantando sus muñones hacia un cielo de bronce
una casa con andamios por todas partes
los seres humanos debieron recuperar la posesión del lugar después de la terrible experiencia
Estaba dejando a la gente damisela
y la siguió a su casa
un edificio de piedra de dos pisos
fuera de la puerta cuando estábamos a punto de tocar
abierto como una ráfaga de viento
un soplo que nos absorbió
un manantial nos rodeó
una mujercita vestida toda de negro
con un paño suave, la cabeza cubierta
pies descalzos en gruesas sandalias de cuero
rostro con gafas y arrugado apareció
para arrastrarnos rápidamente a un interior oscuro
las dos mujeres parecían conocerse
Sólo tenía derecho a una mirada furtiva
Como si yo no existiera
pero yo era realmente visible ?
por esta travesía que realicé sin esfuerzo
impulsado por una tarea
¿No era yo un espíritu? ?
cometido allí ante mí simple testigo
una conversación animada
lleno de alegría de variaciones en la voz
dos ramos de flores multicolores cantando pájaros alegres entrelazados
en el juego de manos y ojos luminosos
una graciosa canción hecha de alegría
cuyo idioma no entiendo
No era uno de elllos
Yo era el barquero que permitió que se encontraran
así que desaparecí
fuerza del trabajo realizado .

Desde este tiempo
el murmullo ya no es el simple acorde melodioso de los elementos de la vida encontrados
él es una enramada gruesa en la vida regresó y los niños se ríen
en la subida del camino pedregoso
que corre a lo largo de la casa ahora familiar .


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