Verwaaide lettergrepe à l'entrée de l'alléeah! que descendentà toute biseles pas de l'escalier du grenier. Dans mes brasle bébé des rosesau saloir ouverttâte quelques restes porcinsque la marquise aurait laissé. Et puis les voixdes vieilles antiennesétouffées à regretque le frêne des amoursenterre à nouveau. Un chapeau jeté très hautle chapeau d'Indochinevestige sans regretd'un bol de lait chaudsur la nappe à carreaux. Le silence des lieuxsous sa carapace de basalteaffole les blés blondsagitant un mouchoiraux pieds agiles de l'instinct. 731
brose vlerke hulle bedek een oggend van uitgebroeide newels. Aan die genade aanslae van die geskiedenis het die stilte verbreek die verlore saak. Duik na die lae vlaktes aan die vloede geld wat veronderstel is hulle het 'n paar bessies opgetel tyd om neer te sit. Die een agter die ander onder die glimlag van die winter hulle trek die jasse aan sonder 'n frons. Vryf die verlede is geen geringe saak nie wanneer uit die diepte opstyg hoë intelligensie lig. moet my nie verkeerd verstaan nie ploeg mense tot die plundering van die swart lande stem ooreen met die opheffing van gedagtes. Lê onder die heuwel wees die kiewiet lulu gestel om te tirlipotée te hê in meteoriete. Terloops onder die borsband klop die goue beker toekomstige beloftes. blou en blou onder die voer die skerp vurk van deugde skuur skouers met onskuld. Om die sagte deeg te roer brood vir môre in die uitspansel van die komende dag bietjie sout op jou wang. Trou, wees mooi uitgeklee in die koue wind verby die gloed van 'n verbondson. 730
Deur hele afdelings op die aand van duiseligheid deelgeneem mense aan die ander kant. Margoulette en geselskap die ongeleerdes as die welmenende hulle op die uitsny gegooi du cadavre des années passées. Daar was daar stokperdjies, uitsette, mistigris en sus de l'obligation à gagner sa croûteen almal was verheug. Die tou was grof en maak hulle seer om vryheid ten alle koste te oorweeg comme raser la barbe gratis. Van Aarde en Hemel het die wyse woorde van ons voorvaders opgestaan om te sukkel om vir hulle plek te maak sitplekke, stoeltjies en opvousitplekke. Het iets nodig gehad om te doen soliede, sensitief en hoorbaar en goed vir ons medemens die transparante van die Son. 'n Engel het verbygegaan hoe die dag van die haweloses verbygaan of kos onder die hond se neus wanneer buite die partytjie is in volle swang. Net van oupa se mes af merk die opstygbord af môre se aanbod hierdie verplig van die laaste slik. Sterf voor die mausoleum was die manier om in die toekoms gebore te word in die verwesenliking van 'n lewenswoord die stilte. 729
Allusionà cloche-merleparmi les voyageursaux brumes éveilléespar l'apport de l'aubeouverte au précipité de l'appelque la corolle crochèted'un amour bifidesur le talus encorbelléde nuages à tout va.S'imagined'accords aux épines adventicesla joie de nos rencontrespar l'écarté des doigtsplombant d'un ci-devant mystèreà la pointe d'équerreles masques apposés au clair-obscursur la flèche simagréedes mots se cooptant.Poignée d'herbes fraîchesen remontant de la fontaineop die basaltbladque l'ombre signed'une humeur cadenasséepar les bras écartés en surplombse balançant mollementsous l'ombre fracasséed'un jet de lave incandescente.728
Bille coloréecalot de l'enfancesous les tours de Merleval uitmekaarles amours sans détoursdu Seigneur prestatairede la terre et du cielpour de sanguine manièreembrasser le retour.Singulière écouteque celle des souvenirsmendiants emplis de douleurstraînant endimanchésles esprits de l'airau devant d'une obscuritéqu'écrase par le chantle chœur des promessesensemencées d'un répons.727
De grands espacesdevant les cavalesannoncent l'étendue de l'amour.Retour du passéaux fenêtres virtuellesun névé de lumière.Poussière d'étoiles à l'avenanten l'épanouissement de nos sourcesles vagues vont et viennent.A toi que je bénisaccueille l'au-delà de nos ombressur les arbres mouillés.Sois le voyantde nos foisonnantes floraisonsaux servitudes abandonnées.Ample murmureaux charmes dispersésretenons la brume nourricière.Se donner rendez-vouscoquelets en collerettes blanchesà l'aube d'un détour.Être naissance, être maternitévision sur le fil du mystèreà portée du fusil de la vie.726
Au bord de la rivière il l'avait giflée et elle s'était jetée à l'eau.
D'abord éberlué il l'avait rejointe et ramenée sur la berge.
Entrouvrant le sillon il avait déposé la graine comme l'éveillé se lie à son insomnie.
Puis elle s'était envolée pour que le balancier de son horloge soit l'âge d'or généreux.
Délivré, l'incendie finissait de dévorer la pensée mémoire de souffle frais.
Ecoutez et prenez garde la chair parfois mystifie les vents opposés pour gagner l'éther d'une flottille de libellules que la caresse des roseaux fait se dandiner à l'heure de la beauté hauturière.
Naît alors l'Insensé l'âpreté des mains calleuses que les cœurs voltigeants capturent à couvert au vertige des miroirs heureuse respiration d'un même combat quand passent les oies sauvages.
Des coulures sur la porteun gémissement dans l'entréeun ange entre les planchespasse un bout d'ailepuis le retiregereed om te weesle petit garçon sage de l'entresolqu'une bourrade envoya boulerà fond de cale du navire négrier.Si pauvre si sale si tendrequ'on ne pouvait l'entendre sur le pontdans la lumière crue du matinla lèvre sèchedans le dépliement des voilesun claquement secpuis un autredans l'élargissement des plaiesque le sel cautérisait.Je la garde ma sœur du Danubeaux cris retentissantstels trompette en offre abondantepar les travées de la sourceaux cintres de cuir marqués au fer rougeloin des larmes remontantesà la merci du sans-souciprélude à l'alternancevolets de cristal dépliés prêts à l'envol.724
Assignés au cortègeles masques et habits de couleurspermettaient griserie et pâmoisonaux grisettes et porteurs de casquettes. Éperdument épris de LiseMaurice le molosse rongeait son osen susurrant quelques mots lestesdans l'entre-chant du dispositif. Sous les lanternes de papierdes mouches bousillaientdans une odeur de moules-fritesmontant des plats fumants. Ça buvait, ça chantait, ça braillaitet quand la bagarres éclatail y eut en contrepointcris effarouchés et jurons bien sentis. Des tables furent renverséesdes chaises volèrentet quand la maréchaussée émergeaun vol d'étourneaux s'égaya. Lise et Maurice se garèrent des voituresles lampions vacillèrentrubans et colifichets jonchaient le solau loin d'autres estaminets bordélisaient. Lise empoigna le bordeauxMaurice force plaies au visage maugréaittous deux s'écroulèrent sur la bergeencanaillés de désir et de moustiques.
La Marne coulait avec langueur. 723
L'œil en caresse d'êtreécarquille le nuage. Fleure bon le pavementsous le cliquetis des roues ferrées. Le soleil itougros toutou d'amourpointe sa truffehumide, noire, brillante, vibrante. Immense paressetel parfum flottantà la page égosilléesombre de geléesdevant la visée brutedes parties mal léchées de notre conscience. S'en est ainsides mille mortsdont l'avantageest de naître en mitraille sèche. Sans soucismais de lumière feinteil s'est assisrassuré par le poids du Puy. 722