Le geste est lourd la pente raide les cailloux roulent les insectes stridulent l'orge d'une caresse ondulante signe le souffle invisible. Les pensées vol au vent s'offrent au silence primordial. La poitrine gonfle ես լացում եմ au passage d'un soleil absolu traces de goudron posées sur le pavement descendant vers le port à l'odeur exhalée par la vibration de l'ordre postural. Droit devant la Cène la nourriture jonche la table les mains se lèvent pour se joindre en plénitude au fil de la paix souveraine. Appel au plus haut degré Éclat de lucidité.