Les mots que rient ma mèredouces fleurs des champsgrappillées de main de fersans crainte ni ortiesad hominemcouvrent l'horizonreliquesensevelies à la truelledans le béton des souffles courts. Les objets se dissolventles gadgets s'entassent sur la plageun drapeau claque son opprobrela capsule sauteau vestibule des agonisantsle chien précède l'hommel'homme précède l'âmele jour s'estompeun visage jaillittelle une carte postalela sacoche du bergerpleine d'oignons et de dignitépour exposer en bord de rivièreau frais cresson d'une petite musiquesans présagemais tout en surplomble trou noir du passé. 293
Ficelle brune accrochée paquet cadeau pour l'amant des varechs indéfinie au passage immédiat captatrice de lumière offerte offrande empaquetée hors les mots question posée façon d'être en évaporation du visible connivence entre l'éternel et le fugace un rai de joyeuseté sans obstacle à la voie témoignage aux limites du stérile et de la grâce sans énoncé par un jeu d'algues se pourvoir en Babel ਵਾਈਬ੍ਰੇਸ਼ਨ ਅਦਿੱਖ ਮੰਦਰ ਦਾ ਸਮਰਥਨ ਕਰਨ ਵਾਲੇ ਥੰਮ੍ਹ ਇੱਕ ਕਰਾਸ ਨਾਲ ਚਿੰਨ੍ਹਿਤ ਜਗਵੇਦੀ ਕਵਿਤਾ ਦਾ ਬਦਾਮ ਅਸਲ ਜ਼ਿੰਦਗੀ ਦੀ ਕੁੰਜੀ .
En toute légitimité il vint sans mot dire au plus charmant moment dialoguer de l'astucieux charpentier paré de sa colombe .
Mon âme en exaltation de conciliations en actes propitiatoires répand sur la tourbe des moissons noyées le voile des hypothèses que l'engagement concède aux peurs .
Écartant toute chair je m'enquis d'une rivière souterraine jaillissant à l'air libre œuvre de joie hors le cloaque du monde létal pour méditer sur la passementerie tissage des sillons blonds de l'esprit .
Ne pleure pas sois le doux écart entre le chant du troglodyte mignon et la perle de rosée posée sur la campanule ma belle éphémère de l'éphéméride quotidien.
La herse abrasiveCoupa court au crâne pelé . Puis agrippé au murPétrifia les ressources migratrices . Pommelée d'orelle enfreignit la règlene conservant de la crème acryliqueque quelques moignons hiératiques . Nous ne pouvions rester làਵੀ , pupilles dilatées , nous approchâmes de la jugulairepollens en suspensdes stèles coopérantà la dégringoladevers le pourpre des nuits fauvesdu couteau d'Abraham . Flanqués de notre armadail se fît que le minerai des originessoit extrait des sources ardentesde nos vitrifications . Ô brillance ! sous tes sabots demeure la sécheresse de l'oublisous la fourrure des nuits , un jour blafardsous ta lèvre , l'inimitable espritsous ta plume , le bourgeon johanniquesous les minéraux calcinés , l'avenir émergésous les baies énuclées , l'architecte du souffle . Ma déchirure ! cette plaie où refléter nos visagescette volée de clochesrappelant la fumée des bûchersd'une cosmogonie du tempspassé . Notre futur , la résine épiphaniquerésiliant les frisures de l'épidermele pas de deuxsur l'horizon arc-en-cieltelle une balle perforant l'Absolunotre enjambementcette énigmeoù se fondre dans la vision . 284