Au ParadisIl y a de la bonne presse
Avec des livres en papier
Et des bonbons de porcelaine
Pour plus de béatitudes encore
Que de simples écritures
Et tout ça à la barbe de Dieu
Ce Convenu.
Moi j'aime les buissons ardents
Et puis les corons autour des haut-fourneaux
Aussi quant à Micheville
Les rails s'entrechoquent
Cela me conte la mine et l'usine
Et leur musculeuse ardeur
A écrire en lettres pourpres
La sueur et la souffrance.
Votre écriture n'est pas la mienne
Je compte les bouses en fin de foire
Solitaire parmi les prisons de fer
Pour aller quérir le Petit Prince Poète
Derrière les jupons de la ruse féminine
Qu'il convient de circonvenir
En substitution de l'attraction terrestreVers davantage de réalité.
Jeg klatrede op af højens trappe
Så ned til katakomberne
At smage stærke alkoholer
Den ottende dag i ugen
Skriver som en døv
På bliktromlen
Midt i læder og bly
Af mine venner i skyggen. Ordene
børns gråd
mave
Et gedeskind fuld af følelser
Ansigtet
Gennemsyret af fregner
Med løsrivelser
Jeg ignorerede det høje liv.
Humlen har givet plads
På de lokale vejeEsméralda m'appelle
Par le chas de l'aiguille
Pour que j'aille siffloter
Un air de la Renaissance
Sous les étoiles
Du berger de mon cœur.
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