カテゴリーアーカイブ: 年 2022

もつれ

夜の世界
時計の刻みで
心臓を排出します
耳鳴り
疑問と苦痛を初期化する
貧しい耕作者の
接続のインブログリオで
下から音を取り除く
上記のサウンドをグラフ化するには.      
 
このインベントリされた世界の
ミニマルアートのギネスで
開いたまま
夢の存在
おしゃべりの喧噪にスクランブル
心の茶色のジャケットで
満足に包まれた
賞品の配布の
バプテスマのヨハネの時代に.      
 
ありました
後退する海
砂の上
とげの髪の三つ編み
馬のたてがみ
津波で姿を消した
空気とエーテルの吸盤と接触している
半分の謎を集めた
落とし穴の半分暗い真珠.         
 
上昇中、バラは指さしていました
緑藻の匂いがする
言語効果
彼の完全な口を差し出す
メタンの泡
入浴キャビンのレベルで
その後、地平線に漂いました
ウィンドサーファーがオオカミを泣いている
崇高な波の前で.      
 
彼に答えた
セキュリティホイッスル
Relèveの推定歴史
街の門で永続する
侵略者への恐れ
彼らの鉄のブーツをクリックしてクリック
暗い路地の湿った石畳
悪臭を放つ
マスクレスの喉を切る.      
 
そこからそう遠くない
理由の金メッキの下で
待つことの焦りの餌食
リトルピエールが見た   
ろうそくの最後の動悸
レイトウォッチコンパニオン
忘却の狂気の首を絞って過ごした
カレの一番下にいる人に敬意を表する
白と白の小さな小石を大切に.      
 
 
1045


人生の贈り物

あくびをした
素敵なキスをせずに
the
努力の後のこの瞬間に
何もないこと
天と地の間
中間を熟考する
前と後の間
自己へのこの完全な可用性
進行中の
まだです
空虚のギャップで
息に敏感
未知に直面している, 名前のない人に, 表現できないものに
サイレンサーに直面している, 日陰に, à la claire lumière   
cette approche de ce qui fait tourner le moteur   
au Don de la Vie   
entrer en Relation avec la Réalité   
cette Présence de l'entièreté   
de la montagne au coucher du soleil   
tout autant que celle du Visage de l'Autre   
non réductible à soi   
mais qui me projette dans l'Ailleurs   
dans cette Présence qui m'accompagne.      
 

1044

すべてのフロアに傷跡

私は骨と肉でできています
授乳中の太陽をコミットする
ナレーションの偉業
生きてきたという甘い幻想.      
 
燃えているワイヤーについて
オークションで投げられたネット
私たちを岸に連れ戻した
理解の乾燥ミズゴケ.      
 
書かれたページ
心配せずに出ました
シシフスの真珠
状況の覆い焼きから.      
 
夜遅く
一つずつ飲み込んでいた
理性のスイーツ
最悪の事態はまだ来ていないと確信した.      
 
すべてのフロアに傷跡
荒れ狂う鉄と火
最初の植物を選んだ
新しい輝きが現れるために.   
 
極度のやけど 
苦しみの大混乱へ
夜明けのベールが付いたベランダの下 
砂漠の風に引き裂かれた.

〜達成された退行.
 
 ( ジャン=クロード・ゲレロによるドローイング )


1043
 

まだここにいない朝

Le matin pas encore là   
fait le malin   
comme de bien entendu   
derrière le tilleul   
dorment les gens de bien   
avant l'arrivée des merles tapageurs   
de leurs trilles rouges forge   
essayant d'éclabousser la coulée du silence   
qui sera mienne   
main dans la main   
avec les enfants
émergeant d'un passé pas loin du tout   
à la corolle fraîche    
de tant de bienfaits   
sitôt porte grinçante ouverte   
sur l'autel basaltique   
élever l'offrande en fin de partie   
alors que se bousculaient   
babil des poules mécontentes   
s'éparpillant devant la sortie   
des vaches de l'écurie   
Mareuille en tête   
bousant à qui mieux mieux   
sur les pierres rondes de la cour   
sermonnées en cela   
par Riquette aux jappements de lumière.      
 
 
1041


感情が転がる

感情が転がる
休暇に行く途中
コルクが弾けるとき.         
 
最初から彼女はそこにいました
巨大な闇
湿った昆布ひげ.      
 
Elle avançait   
comme un battement de cœur sourd et lent   
en ne pouvant faire que ça.      
 
そしてそれは何年もかかりました
彼女がいた場所
レモンの木陰で.       
 
Le temps des bordures horlogères   
clignait de leurs étoiles   
comme on fume un pétard.      
 
習慣や習慣なし
壁紙の切れ端
ベルを鳴らします.      
 
私の夜の落書き
街の壁にテープで留める
余分な丸い脚.      
 
目の光の紙吹雪
手が胃に交差した
幸せな言葉を待っています.      
 
ノースブリッジ
そこにボールが与えられます
いくつかのダブルゾーン.      
 
夢の小さな男
足の細い
クマのトレーナー
しぶしぶ
美しい地平線に向かって
後方に行った
ボールの神経
抽象化
球の土地で
そのような汗の滴
不当に落ちる
金属のふたに   
オフピーク時間.      
 
Plein le ciel   
les yeux de Marylène   
inondèrent de pensées   
les sommets enneigés   
de tendres roucoulades   
d'étreintes et de choses écloses   
l'espace d'une nuit   
à parer le bouquet de flamboiements   
alors que le Verbe infini du poète   
effaçait l'objet de l'étreinte  
pour se dépouillant   
être une pincée d'herbes folles.      
 
 
1040

Quelques pas de plus

Se suivent en dansant   
Les points et les virgules   
Collusions de l'esprit.      
 
Les enfants remontent quelques galets   
Enfouis dans la vague qui sourit   
Le temps des bulles frissonnantes.      
 
Sur le parterre en lisière   
Éclatent les pâquerettes   
De mon cœur tâches de rousseur.      
 
De plumes et de duvet   
L'alouette est au zénith   
Dans la fibre du matin.      
 
Haute et courte   
L'ombre des ombres   
Embrase le mystère.      
 
Fleur évoquée   
A la lumière du printemps   
Le temps marche avec mes pas.      
 
Campagne douce   
Que ne t'ai je évoqué   
Plus tard le soir.      
 
Glisse le fin sourire   
Au déplié tendre   
D'un regard bref.      
 
Sortir enfin   
Du noir satin de la chambre   
Être demain les mains dans les poches.      
 
Marcher à demi pas   
Pour revenir dans le bois des souvenirs   
Rencontrer la feuille et le soleil conjoints.      
 
Dentelle des fraîcheurs   
A la corne d'abondance éclose   
Calmer l'air du lever de nuit.      
 
En se retirant du buisson des soucis   
La pensée s'est éprise   
D'une goutte de rosée.      
 
Quelques pas encore   
A même la cour de création    
Un trait de craie calme l'horizon.      
 
Pour signaler   
Au zig zag du papillon   
Les tressaillis du jour qui vient.       
 
 
1039

Agissez !

Avec peur mais promptitude   
avons franchi   
les champs de roses et d'épines amères.      
 
Avons butté   
sur la Seigneurie des outrepassés   
Que l'univers peine à situer.      
 
Franchissant le Léthé    
avons modelé la ronde des principes   
à l'encan du frémissement des feuillages.      
 
the " ママン, ママン ! "   
et le désir sexuel   
ont persiflé comme millénaristes en goguette.      
 
Décapant le mental   
à fortes brassées du passé   
avons vaincu l'espérance.      
 
" Agissez, agissez ! "   
qu'ils disaient   
les " propre sur soi " de la raison.      
 
Aussi avons le cercle   
si large en son rayon infini   
que la droite apparut.      
 
De sagesse oui   
sans le désespoir l'attente   
mais avec la parole juste.      
 
Seulement le présent   
Cocagne entre passé et futur   
conjugue le " je suis ".      
 
Le Griffu de l'avenir   
ordonne et cadenasse   
l'homme en sa descendance contrariée.      
 
Voir ce qui est   
est orgasme majeur   
pour les terre-neuvas des mers froides.      
 
Séparés par jouissance   
de l'ego rapetassé   
sommes ouverts à tout.      
 
Se libérer de soi   
permet d'être là   
ici et maintenant.      
 
Point de corde de rappel   
seulement manger boire et faire l'amour   
est rivière qui s'écoule.      
 
Ne biberonnons pas   
la vérité n'a de frontières   
que celles du vent des steppes.      
 
Le réel est vrai   
l'idéal est mensonge   
la sagesse frappe à la porte.      
 
Ne pleurez pas   
ne croyez pas aux " sèche-larmes "   
soyez le fruit de votre histoire.   
 
Le grain de nostalgie qui nous accable   
est le rappel d'où nous venons   
nous les enfants du mystère.      
 
Dire la vie comme elle est
écope les souffrances   
et rassemble les connaissances.      
 
Chaque pas engagé   
est grâce en rejet du progrès   
Pour plus d'assurance encore.      
 
Et passe le frisson de la mort   
l'occasion d'être tendre avec la vie   
nous les proches de nos proches.      
 
 
1038

Le Patou blanc

Creusée à même le sol des solstices   
Appel réitéré d'une voile soulevée en carême   
La Très Chère de son ombre la proie   
Mena tapage exquis sous le mur de pierres sèches   
Comme lumière étrillant la croupe d'une cavale   
En retour de vague sur la plage insolite.
   
Après solifluxion des atermoiements   
Et saisie immédiate de l'innocence   
Au pradou des colchiques remontantes   
Se dressa calme et contemplatif   
Le Patou blanc aux yeux verrons 
Le Maître de ces lieux.
     
 
 
1037

De simples écritures

De simples écritures    
A la santé mentale assumée  
Se sont jointes aux orages   
En paradis   
Loin du pilon des illusions.      
 
Mordillant l'œillet de poète   
Il cueillait de ses ailes d'argent   
Les fruits confisqués par les Grands   
Pour sans autorisation   
Écarter le verbiage.      
 
Son sang   
Etait un singulier brouet   
Fait de marchandages    
De post-vérités et de courts circuits   
A se brûler la couenne.      
 
Peu de beauté   
Juste un peu de boue   
En bas des pantalons   
Pour statuer sur l'inique mesure   
Prise au son du tambour.      
 
Point de maraude   
La gitane envolée   
Pour garder en lieu sûr   
Les silences reassemblés   
Sur la vitre embuée.      
 
Les pièces de monnaie   
Du Mont Saint Michel   
Trébuchèrent une à une sous la lune   
A quémander l'eau et le pain   
Aux trémies de l'oubli.      
 

1036

1対2

A la une à la deux   
Au passage des années   
S'impose   
De ne pas justifier   
L'ordre et le désordre   
Du mucilage des actes.      
 
D'avoir été   
Dans l'été de la décision   
Attire sur le devant de scène   
L'éparpillement des mots d'amour   
Comme d'être mâchonné   
Permet au vent d'extraire poussière.      
 
C'était hier   
Le ciel et les étoiles avaient brassé  
Des ans et des ans   
A ne plus se souvenir   
Des caresses d'anges   
A la pointe du sémaphore.      
 
Point de retour en arrière   
Désormais le trou bleu   
Promeut de subtile manière   
Retrouvange Nouvelle   
L'accaparement des lumières   
Que n'effraie plus notre raison.      
 
Point de salut   
Juste du petit bois   
Pour démarrer le feu   
Et patatras   
Voila au delà des ratures   
Le Retour de l'âne gris de Buridan.      
 
Il est   
De supposer infinies   
Les routes à venir   
Par le pont aimanté   
Des amitiés considérées   
Se perdre en Cocagne.      
 
Magique   
Tout est folie   
Quant partent en déraison   
Les fruits amers des canicules   
Lâchés comme vieille peau   
Sur le quai noir des mouettes blanches.      
 
Mêlant ses bras   
Au tournoiement des saisons   
L'irrationnel fuit   
A supposer que Raison vienne   
Entre danses et chansons   
Prêter le clair à l'ombre de nos décisions.      
 
 
1035