Visage émacié du jeune hommeau sortir de son éducationdéjà apte à saisirle contagieux imbrogliodes amoncellements de la connaissance. Et en effet il connaît le mondele jeune homme au visage émaciésans yeux, sans mains, sans jambes mais bouche fermeil capte l'au-delàlui le gardien du dehorset dans son for intérieuril est capharnaüm des accumulationslui le récipiendaire des turpitudes et des passe-droitsau nez et à la barbe des anciensil est le plus habileà combattre le jugementlui l'ingénieux à la destinée zigzagantele rouleur de rochersaux sources propitiatoireslui coupable de brigandageil offre sa vie par son supplice indicibleque s'emploientles faiseurs de rêves, 詩人, les mystiques, à ne jamais se méprendre sur les foudres célestespour s'entaillant le ventre une nuit ultimeêtre foudroyé par son ombre chaude. Calme et ivresseun masque gît devant nousriche en sa mythologie avéréeun masque d'accueil des reconstructionsoù rassembler les fragments de ce corps épars. Ô épouse sœurmême s'il me manque le sceptrej'ai interrogé et amorcé la vraie viecelle de la loi des bullesque seuls atteignent chamanes, poètes, prophètes, "cordeliers" et "bouclés" - (les tenants de la théorie des super cordes et de la gravité quantique à boucles) tous adeptes de l'espace lacunaire des eaux retirées. Il n'est de plus grand videque le chant des nuagesfenêtres ouvertesnous les oiseaux du verbenous les remueurs de la force de l'envol. 177
Visage émacié du jeune hommeau sortir de son éducationdéjà apte à saisirle contagieux imbrogliodes amoncellements de la connaissance . Et en effet il connaît le mondele jeune homme au visage émaciésans yeux, sans mains, sans jambes mais bouche ouverteil capte l'au-delàlui le gardien du dehorset dans son for intérieuril est capharnaüm des accumulationslui le récipiendaire des turpitudes et des passe-droitsau nez et à la barbe des anciensil est le plus habile des hommesà combattre le jugementlui l'ingénieux à la destinée zigzagantele rouleur de rochersaux sources propitiatoireslui coupable de brigandageil offre sa vie par son supplice indicibleque s'emploientles faiseurs de rêves, 詩人, les mystiques, à ne jamais se méprendre sur les foudres célestespour s'entaillant le ventre une nuit ultimeêtre foudroyé par ce qu'il voit . Calme et ivresseun masque gît devant nousriche en sa mythologie avéréele masque d'accueil des reconstructionsoù rassembler les fragments de ce corps épars . Ô épouse sœurmême s'il me manque le sceptrej'ai interrogé et amorcé la vraie viecelle des lois de bullesque seuls atteignent chamanes, poètes, prophètes, "cordeliers" et "bouclés" - (les tenants de la théorie des super cordes et de la gravité quantique à boucles) tous adeptes de l'espace lacunaire des eaux retirées. Il n'est de plus grand videque d'en appeler à la lumièrefenêtres ouvertesnous les oiseaux du verbenous les remueurs de la force de l'envol.
177
Cette remontée du centre de la terre
A belle allure vers le commencementdu monde
Cette perspective où s'essoufflele père invectivé
La brûlure des anciennes alliancesque l'on découvre à demi-mortes le matin
La plainte des animaux égarés end'étranges contrées enfin créées
Cette fuite vers des aubes promises
Cet élan brisé contre la vitre des immobilités
Cet éclair rouge sang du couteaucontre le ventre
Ce suçon de paix donné à la va-vitele temps de l'éructation
Ce court-circuit des émotions vraiesqu'un sourire enserre entre quatre planches.
Ils sont partis
Ils ont fuit
Le courage à deux mains repliées sousla chape des convenances
Ne les arrêtent que la fatigue etle soir qui tombe
Errant de ruine en ruine
Dans un chariot de bric etde broc assumé
Le rétameur s'est éloigné dansun nuage de poussière
Et la route fût longue et par trop inhospitalière
Père et mère confondus à la craiegraphés sur la carriole
Leurs noms écorchés à demi effacés
En vaines contorsions l'outil debraise fume en se mêlant à l'eau
Je bave et m'extrais hors de cettechape carencée
Pour la parole habileM'élever à la croisée des salvesde l'entendement et du vertige.La chaleur d'un désir tendusous la toile
Éclair blanc au zénith
La coquille éclate
Le jaune se fait soleil rayonnant
De cet éclat consacré au profonddes origines
De cet imbroglio d'os etd'organes disjoints
Je pus grandir entre fiente ethumidité
Poussé sur le devant de la scène
A noyer par l'alcool
Ces myriades d'étoiles alorsentrevues
Si puissantes si fascinantessi monstrueuses
Dialoguant avec ce corps douloureuxmon âme mon dieu .
J'ai conduit l'attelagejusqu'à son terme
Vers les plaines légères de pluiefine de vent soyeux de douce lumière
Ce ne furent que grâce et beauté
Entre les barreaux de ma celluleà ciel ouvert
Entre les rayons de mes rouesces interstices à mon déplacement si particulier
Mon chapeau de lutin vissé sur la tête
A dire et à redire des "je t'aime"
Aux pattes douces mes frères etsœurs en création
Mon unique raison
Ma déraison ultime.