
Dans l'instant je rougis de ta venue et ne puis toucher ta main de mon souffle en épanouissement de la riante promesse de pouvoir te faire renaître. Il y eut cet accroc des hommages répétés à la porte des temples alors que je quémandais les caresses naissantes d'un soleil virginal arrosé de rosé. À même l'argile prégnante je rompis le cercle des sphaignes pour d'un arc murmuré écarter les lèvres aimées de cette mort entretenue baignant la mélancolique nuit d'étranges chevelures. Ko le sugbon yọ iho imu re kí o sì mú ìyẹ́ àdàbà mú kí ọkàn-àyà lù lọpọlọpọ lati ṣetọju iranti ti blooms pẹlu kan ti onírẹlẹ fẹnuko. 1105