Ti njade lati inu omi ìmọ si niwaju ro idi ti o wa nibẹ ye ohun ti n ṣẹlẹ ma ko adaru inú ati ohun ti o jẹ ya aye re si awọn gbólóhùn ti ga kikankikan fomula. Asan iranṣẹ ṣe ojúṣe ẹni fifun awọn ọmọ kekere nipa idabobo awọn ọmọ kekere rẹ. Igbesi aye n beere nkan miiran Igbesi aye nbeere Ife bee ni mo je Ife okan mi si gbona nitori Ife ni ounje Ifẹ ni Ẹmi. Di Ìránṣẹ́ Ìránṣẹ́ ṣãnu fun Olukọni ti ko ye ohunkohun ba wa ni akoko lati lọ kọja ojuse kuro ninu iwa yi ohun lati oke de isalẹ orukọ igberaga daruko Olodumare jẹ imọlẹ, imọlẹ devant la brise qui se lève. Alors, provenir de ce qui a été afin d’être à nouveau dans le provenir de ce qui vient le bien céans des choses de l’Esprit.
A la tombée du jourQuand le vieil océan racle les galets. Oui j'accepteD'être de mots démuniDevant le vol ultimeD'avant la raison. Marcheur obstinéD'arbres et de pierres sèches constituéLa mer devant soiÊtre verticalÀ l'appel du dernier regard. D'ivresse pointJuste cette douleur à la hancheStigmate du dernier combat. Je rejoins les miettes du festinDisposées tôt matin. 435
Au fil tendu monte la verte raison. Quand passe la huppe reviennent les souvenirs. Le clapot du ruisseau reflète la note souveraine. Au plein bleu du ciel la découpe sommitale. Le vent frais du matin courbe la houppe des arbres. Deux doigts posés sur le hublot pour que vive la mère morte. Le mugissement rauque de l'avion fait se lever la noire image. Le volet crisse il va falloir se lever. Illustre moment que celui de la remise des prix quand le pas se fait lourd pour gravir l'estrade.
C'est le sel qui fait ça c'est le ça qui fait mien c'est le mien pour le tien. Passent la fricassée des étourneaux aux pépiements de nos instincts une remontrance et pffft ! sans préséance la chair à vif empoigner le manche de l'outil pour enfoncer le fer dans l'œil du cyclope. Il est des colères qu'embrase le trop dire lorsque se lève le vent mauvais.
De toutes partsMontent des gouffresLes animaux tristes. Hors de l'assembléePoint de joieJuste du papier froissé. Dans les couloirs de l'amourRonfle l'assentimentDu jeu de perfusions. Trop de vagabondageNous élirons le plus charmantL'homme au polo blanc. Il n'est d'avis qui demeureFace aux tragédiesLes circonstances provoquent les dérapagesQue les vrilles de la vigneEncanaillent d'un sourire. Passagers clandestins en sursisLes fleurs du printemps suffirent à nos désirsD'alignement du temps en syncope. 434